CHAPITRE N°24

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Simon et moi sommes maintenant sur le sol français.

Nous sommes arrivés il y a deux jours et nous avons déjà fait quelques petites choses.

On a marché dans les rues de Paris et bu beaucoup de cafés dans les petits restaurants le long des jardins.

La tour effeil à été l'endroit où nous avons le plus passé de temps et où nous avons certainement le plus rigolés.

Malheureusement, grande ville rime avec beaucoup de monde.
Beaucoup de fans de Tom sont venus me voir en me demandant pourquoi on ne se répondait plus mutuellement sous les publications.

Nous ne sommes pas encore aller voir ma mère. Alors avec mon frère, nous avons décidé que nous allions aller la voir aujourd'hui.

Il est donc 15h et nous sommes dans un bus en direction de l'hôpital.

Simon envoie des messages à quelqu'un et je regarde par la fenêtre lorsque j'entends mon petit frère lâcher un petit rire niais.

Moi: Qu'est-ce qu'il y a? Ta copine t'as dit qu'elle t'aimait ?

Il ne me répond pas alors je me tourne vers lui et vois qu'il a l'air de ne plus rigoler, il a même l'air gêné.

Moi: Naaan, ne me dis pas que tu es en couple et que je ne suis pas au courant?!

Simon: Et bah... Je voulais t'en parler mais vu que tu étais en dépression dans tes draps je me suis dit que c'était peut-être pas le moment sachant que je croyais que la cause de ta déprime était parce que Tom t'avait quitté...

Moi: Mais c'est trop bien! Elle s'appelle comment?

Simon: Juliette...

Moi: Je la rencontre quand?

Simon: Ça fait que 3 semaines qu'on est ensemble alors je suis pas sûr qu'elle soit prête à faire la rencontre de sa belle sœur.

Je le regarde et notre petite discution est interrompu par l'arrêt du car en face de l'hôpital.

Nous descendons donc du bus et nous nous dirigeons vers l'entrée du grand bâtiment.

Simon: Tu penses qu'elle va être comment aujourd'hui?

Moi: Je sais pas trop... Y'a une semaine elle allait assez bien mais bon... D'une fois à l'autre elle peut avoir changé.

Simon: Hum...

Nous entrons et nous dirigeons directement vers la chambre de notre mère. Certaines infirmières nous salut et nous leurs rendons leurs sourires.

Pour la mauvaise cause, nous commençons à connaître les infirmières car nous les croisons toujours à la même heure.

Mon frère étant devant, il ouvre la porte et entre en premier. Je passe à mon tour le pied dans la pièce avec cet odeur si puante et pose mes yeux sur ma mère.

Elle est endormie et à l'air d'aller bien  malgré tous les fils branché sur son corps.

Nous restons quelques minutes en silences et un infirmier arrive dans la chambre pour apporter une compote à la pomme pour ma mère.

Infirmier: Voulez-vous quelque chose à manger?

Moi: Non merci c'est gentil.

Il part et la pièce repart dans un silence assourdissant. Mon frère à les mains crispés sur son jean et on voit bien à sa tête qu'il a envi de pleurer.

Moi: Tu sais tu peux pleurer... Personne ne va te voir...

À cette dernière phrase, ma voix se brise et mes larmes commencent à me monter aux yeux. Simon enfouis sa tête dans ses mains pour pleurer et je sens des gouttes d'eau salé couler le long de mes joues pour ensuite s'égouter sur ma machoir crispé.

Je m'approche de mon frère et le prend dans mes bras lorsqu'une petite voix nous sort de notre activité peu joyeuse.

Lucie: Ne pleurez pas mes enfants... Je vais bien...

Lucie est ma mère, et elle a toujours été là pour nous aider. Même dans les pires moments comme celui-ci.

Moi: Salut... Tu veux manger un peu?

Lucie: Je veux bien merci.

Je prend le pot de compote et l'ouvre lorsque ma mère me prend tous des mains.

Lucie: Je ne suis peut-être pas au top de ma forme mais je peux comme même manger toute seule!

Voilà ma mère dans son état naturel!

Elle a trop de fierté pour que les gens l'aide à faire quoi que se soit.

Elle mange lentement sa compote et lorsqu'elle l'a finie, elle se tourne vers mon frère et lui sourit.

Lucie: Simon mon ange... Vient s'il-te-plait.

Mon frère s'assoit sur le bord du lit et ma mère le prend dans ses bras.

Lucie: Je me sens beaucoup mieux qu'il y a quelques semaines, ne vous inquiétez pas les enfants. Je sens mes forces me revenir petit à petit. Je ne suis peut-être pas totalement sortie d'affaire mais j'aimerais que vous gardiez le sourire quoi qu'il arrive. D'accord ?

Simon et moi acquiesçons et notre mère nous prend chacun sous ses bras, allongés à trois sur le lit.

On aurai pu croire que nous étions retourné dans notre enfance quand notre mère nous lisais une histoire le soir et que je finissais toujours par m'endormir avant la fin du livre.

Nous étions dans cette position depuis quelques temps, lorsque quelqu'un toque à la porte.

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