For Save The Magic World // Tom Jedusor //

Chapitre 8

... : Aileen ? Harry ?

On regarde derrière nos amis et on peut voir nos parents avec Sirius, Remus, Severus, Nymphadora, un brun que je pense être Regulus et surtout Peter mais il n'est plus aussi hideux, il est moins gros et il fait moins peur. Je souris et avec Harry on se jette dans les bras de nos parents. Cela fais tellement de bien de pouvoir les serrer dans nos bras. Je me détache ensuite de mes parents et vais dans ceux de mon parrain qui caresse mes cheveux roux.

Moi : J'ai eu tellement peur parrain.
Severus : C'est fini ma princesse, on est tous là, grâce à toi.
Sirius : Vous avez même réussit à ramener mon imbécile de petit frère.
Regulus : La ferme Sirius.

Je recule de mon parrain et regarde les deux frère Black.

Moi : Je vois que c'est l'amour fou chez les Black.
Remus : Tu n'imagine même pas petite louve.
James : On est fiers de vous les enfants, on savait que vous réussiriez...
Lily : Mais on ne pensait pas à ce point là.
Moi : Disons que remonter dans le temps à été bénéfique.

Je regarde Tom qui discute avec les Serpentard. En parlant de Serpentard.

Moi : Tom !
Tom : Oui trésor ?
Moi : Il me semble que nous avons quelque chose à faire pour restaurer définitivement la paix à Poudlard.
Tom : Tu as raison, viens.

Il s'approche de moi et me tends sa main que je prends. On cours jusqu'à la salle commune de Serpentard et on s'arrête devant le tableau de Salazar.

Salazar : Vous êtes tous les deux au même endroit mais à une autre époque.
Moi : La paix est revenue dans le monde sorcier et il faut qu'elle revienne aussi à Poudlard, donc vous allez déménager cher fondateur.
Salazar : Déménager ?
Tom : Votre place doit être dans la plus grande salle de tout Poudlard.

On décroche le tableau et je fais attention à ne pas trop le secouer. On prend la décision de l'accrocher juste derrière la table des professeurs dans la Grande Salle. Les trois autres maisons font pareils avec leurs fondateurs.

Le soir même, pour fêter la victoire, nous décidons de faire un immense festin et pour se faire je prends la parole et m'adresse aux quatre fondateurs sous les regards de tous.

Moi : Chers fondateurs, depuis la construction de Poudlard et votre querelle des siècles ont passés. Aujourd'hui, nous avons réussi à instaurer la paix, je vous demande donc de faire également la paix entre vous.
Helga : Cette jeune sorcière à raison. Godric ?
Godric : Je refuse de faire la paix avec lui.
Moi : Godric écoutez, quand je suis allée dans le passé, j'ai discuté de longues heures avec Salazar et il m'a expliqué certaines choses et maintenant je comprends mieux beaucoup de choses. Regardez les frères Black par exemple, Regulus à Serpentard et Sirius à Gryffondor, un énorme conflit familiale parce que l'un d'eux était chez les lions. Tout ça parce que vous deux, vous avez eu un conflit entre vous.
Rowena : Il t'a sûrement manipulé jeune sorcière.
Moi : Il me semble que le mensonge n'est pas une qualité chez Serpentard, nous sommes beaucoup de chose mais pas des menteurs, vous avez banni Salazar parce qu'il à émit l'idée de ne faire venir que des sang pur à Poudlard, il voulait que ce soit une école de prestige, mais il a comprit que cette école est 100 fois mieux comme elle, avec ses différences et ses bizarreries aussi. Vous êtes quelqu'un d'intelligent Rowena mais vous avez banni votre propre mari car vous n'aviez pas les même idées. Et vous Godric, votre propre frère. Vous étiez une famille, censée se serrer les coudes pas se déchirer. Alors maintenant faites la paix où je vous enferme tous les quatre dans un seul grand tableau. Allez !!

Ils se regardent tous les quatre avant que Godric ne traversent son tableau pour aller dans celui de son frère et le prendre dans ses bras.

Moi : Bah voilà c'était pas compliqué. Maintenant tout le monde à table, j'ai une faim de loup.
James : Quel goinfre !
Moi : Je tiens ça d'oncle Sirius.

Je vais m'asseoir à ma table avec mes amis et mon petit ami. Ce dernier entoure son bras autour de mes épaules et pose un baiser sur ma joue. J'étais heureuse. J'avais retrouvé ma famille et j'avais un petit ami extraordinaire, bien qu'un peu sadique sur les bords. J'avais tout ce qu'il me fallait.