L'enlèvement du coeur. ( tome 1 Gabriel

.7... L'étranglement

"7" L’étranglement

il était dix heure du matin, quand madame Sullivan et venu me prévenir qu'elle partes faire les course et que je ne devais pas sortir tent qu'elle ne serai pas rentré. mais en réalité je n'avais nullement l'intention de sortir aujourd'hui, aillent l'intention de resté confinai dans ma chambre bien en sécurité, mais au bout d'un long moment, et malgré ma ferme intention de ne pas sortir aujourd'hui, je commencé a m’ennuyé et a trouvé le temps très long, m'étant réveillé a six heure ce matin, a cause de mon cauchemar habituel, je me suis levé, j'ai était prendre ma douche, j'ai rangé ma chambre, puis je suis descendu pour prendre mon petit déjeuné, apprêt avoir fait la vaisselle que madame Sullivan m'avez chargé de faire, je suis remonté dans ma chambre et je l'ai rangé une Foix de plus, malgré qu’il n'y aves absolument rien a rangé, puis je me suis mise sur mon lit, et j'ai commencé a lire, et une heure plus tare, madame Sullivan, est venu me dire qu'elle partes, dans l'apprêt midi, je n'avez toujours pas bouger de mon lit, écoutent de la musique avec mon mp3, les yeux rivé sur le plafond, quand sur ma gauche aperçus Monica qui ce tenais devant la porte de ma chambre, je me suis tourné vers elle, en enlèvent mes écouteur,

_ tu voulez quelque chose, demandé-je sur un ton pas sévère mais qui n'était pas très aimable non plus,

_ je viens te remercier, ma dit-elle, d'un air qui ressemblé a tous, sauf a un remercîment

_ oui mais pourquoi, demandé-je étonné,

_ merci beaucoup de m'avoir gâché mes vacance, a cause de toi je suis la riser de toute la ville, je la regardé abasourdie ne comprennent pas de quoi elle parlé.

_ je Vien de cher mon ami Jessika, continuât-elle et j'ai était ridiculisé par toute les fille qu'elle avez invité cher elle, et tous sa a cause de toi et de cette stupide lanterne que tu ma rapporté avant-hier. en regardent les photo de la fête d'hier sur son ordi, toute mes ami avez une lanterne rose en forme de fleure, et moi j'ai passer pour une ringarde, a leur yeux, tous sa a cause de toi,

je la regardé sens dire un mot réfléchissent a toute les bêtise qu'elle venais de dire. voyant que je ne redondé pas elle ma demandé,

_ Alor tu n'a rien a répondre, tu n'a rien a dire pour t'a défense.

je la regardé en haussent les épaule, puis je lui est dit.

_ je pence que tu devrai changé d'ami.

sur ce elle ce transforma en gros pivoine d'un rouge vif, j'ai souri en la regardent et je lui est demandé,

_ ho mais comment tu a fait pour changer de couleur aussi vite, moi je n'ai jamais trouvé le secret des caméléon,

sur ces mot, et sans prévenir elle ces mis a hurlé a gorge déployé, et moi qui la regardé surprise qu'une t'elle voix puisse sortir d'une aussi petite personne, et en la regardent hurlé je ne pouvez croire qu'elle aves le même âge que moi, une vrai gamine pansé-je et la elle ses arrêté puis elle ma de nouveau regardé folle de rage,

_ salle petite garce, tu ne mérite même pas d'être sous mon toit, tu est qu'une pauvre petite orpheline qui n'a plus de famille, on serai bien mieux si tu ne serai jamais venu cher nous, tu te la raconte avec tes million sur tes conte en banque, mais malgré tous sa personne ne veut de toi, même tes propre parent, on préférait ce tuer plutôt que de te supporté.

sur ces dernier mot qu'elle avez prononcé je me suis levez d'un seul bond, et je me suis jetait sur elle, je lui serais le cout tout en l'éjectent dans le couloire et la claqua contre le mure, elle hurlé d'une voix étranglé, et moi qui ne prêter aucune attention a ces crie, j'était entré dans une colère noir, mais tout juste avait-je eu le temps d'apprécier ce petit moment, qu'une main ma tiré en arrière et ma claqua contre le mur opposer, messieurs Sullivan essayé de me tenir a distance de sa fille mais avec in peut de male car je n'avez qu'une idée me jeté sur elle a nouveau apparemment les parent de cette peste avez tous écouté la dispute entre moi et leur horrible progéniture, ( ou juste les couinement étranglé de leur fille.

madame Sullivan a prie sa fille dans ces bras, pour la rassuré, mais Monica ces retourné vers moi et elle hurlé

_ elle a voulu me tuer, cette singlet a voulu me tuer, maman papa, vous être témoin elle a voulu me tuer,

_ té toi Monica répliqua son père, si tu ne l'aurai pas provoqué rien ne serai arrivé,

_ mais Quesque tu raconte, répondit madame Sullivan, cet elle la fautif, continuât-elle en me montrent du doit, ces a cause elle tous ce qui arrive, ci seulement elle aurai obéit en lui apportent la lanterne qu'elle voulez, je les regardé estomaqué ne sachent que répondre a cette Amat de bêtise,

_ il faut la privé de sortie, bégaya madame Sullivan. je l'ai regardé choqué qu'elle puise croire qu'elle avez des droit de punition sur moi, soudain la colère ma monté plus haut que nécessaires,

_ mais pour qui vous vous prenais commencé-je d'un ton supérieur, il ce tourner tous vers moi, et je me tenait droite comme un ( i ) avec la fierté et la dignité que ma tente m'avez légué,

_ vous n'aves aucun droit sur moi, vous croyez de me punir et que je vais me léser faire sans rien dire,

_ nous t'avons recueillis dans notre maison, tu vie sous notre toit, tu doit nous obéir sinon tu n'a rien a faire ici. j'ai ressenti un sentiment de tristesse d'être rejeté, mais comme d'habitude ma colère prie le dessus, et jais répliqué sèchement.

_ et bien si ces comme sa que vous le prenais, je me barre. sur ces mot je fit volte face j'ai prie mon sac a dos sur mon lit, fourra quelque affaire a l’intérieure, prie mon ordi, et mon mp3 sur le bureau, tous sa devant le regard ahurie des Sullivan, j'ai sortie de ma chambre aussi vite que jetait entré, j'ai dévalé les escalier, j'ai prie ma veste dans l'armoire de l'entré, puis j'ai ouvert la porte a la volé, et je suis sortie, laissent les Sullivan sans voix a l'étage.

je prie mon sac a dot sur mes épaules en commencent a me dirigé ver le centre ville d'un pas décidé.