"𝙴𝚝 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚖𝚎𝚝𝚝𝚛𝚎 𝚊̀ 𝚕'𝚊𝚋𝚛𝚒 𝚖𝚎𝚜 𝚙𝚛𝚘𝚌𝚑𝚎𝚜, 𝚓'𝚑𝚎́𝚜𝚒𝚝𝚎 𝚙𝚊𝚜 𝚊̀ 𝚝𝚒𝚛𝚎𝚛 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚟𝚘̂𝚝𝚛𝚎𝚜"
𝗜𝗿𝗲𝗻𝗮🤱🏾.
Un jour de pluie et de vent, j'étais chez moi avec Carlos, je m'occupais d'Abi.
Carlos - Wesh, t'es dépressive ou quoi ?
- Pourquoi tu dis ça ?
Carlos - Tu t'habilles tout le temps en noir, tu souries presque jamais, tu veux pas qu'on te touche et la seule personne qui peut te toucher c'est l'autre là.
- C'est qui l'autre là ?
Carlos - Ton gosse.
- Je rêve ou t'es en train de me pomper les ovaires parce que j'ai des traumas et que malgré ça je m'occupe de ma fille ?
Carlos - J'ai pas dis ça.
- Mais c'est c'que t'insinue. Carlos si tu ne comprends pas le fait que je ne veuille rien faire avec toi, la porte t'es grande ouverte.
Carlos - Bah azi.
Il s'est levé et il s'est taillé.
J'ai eue les larmes aux yeux.
Je n'en pouvais plus, il fallait que j'en parle.
Mais à qui ?
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Naïssam - Irena, j'suis désolée...
Je continuais de tout lui raconter avec les larmes qui coulaient partout et la voix tremblante.
Naïssam - Oh c'est horrible...
- Elle était dans la pièce à même pas cinq mètres de moi, ils ont eus aucune pitié, ils m'ont violée un par un et c'était limite sous les yeux de ma fille.
Naïssam - Mon Dieu.
- Quand ils ont tous fini, ils m'ont laissés par terre et ils m'ont dit de pas bouger et qu'ils allaient revenir. Dès qu'ils ont quittés la pièce, je me suis détachée, j'ai pris ma fille et...
J'ai commencée à avoir les larmes aux yeux.
- J'l'ai vue toute rouge et ses yeux étaient tout rouge.
Naïssam - Oh... et t'as réussi à fuir ?
- Ouais, j'ai réussis à retrouver mon chemin et tout le long du trajet j'entendais Cataleya crier, elle m'agrippait de toutes ses forces.
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𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 [𝐈𝐈]
General Fiction"𝙴𝚝 𝚜𝚒 𝚝𝚞 𝚍𝚘𝚞𝚝𝚎𝚜 𝚂𝚒 𝚝𝚞 𝚍𝚘𝚞𝚝𝚎𝚜, 𝚗'𝚘𝚞𝚋𝚕𝚒𝚎 𝚙𝚊𝚜 𝚚𝚞'𝚝𝚞 𝚎𝚜 𝚖𝚒𝚎𝚗𝚗𝚎 𝙲𝚊𝚛 𝚓𝚎 𝚜𝚊𝚒𝚜 𝚚𝚞'𝚝𝚞 𝚜𝚘𝚞𝚏𝚏𝚛𝚎𝚜, 𝚝𝚞 𝚜𝚘𝚞𝚏𝚏𝚛𝚎𝚜 𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚜𝚒 𝚝𝚞 𝚍𝚘𝚞𝚝𝚎𝚜, 𝚗'𝚘𝚞𝚋𝚕𝚒𝚎 𝚙𝚊𝚜 𝚚𝚞'𝚝𝚞 𝚎𝚜 𝚖�...