Elle a arrêtée de crier.

- Donc depuis tout à l'heure, tu pleures pour un câlin ?

Elle m'a serrée contre elle et elle m'a regardée.

Andry - Ah ouais, elle kiffe sa daronne hein.

- Contrairement à toi.

Andry - J't'aime pas moi ?

- Pas du tout.

Andry - Alors toi.

- J'dis pas la vérité crari ?

Andry - Tu mens de ouf, j't'aime trop sale moche.

- T'enchaîne une déclaration avec une injure... très intéressant, tu vois comment il est ton père ?

Je me suis adressée à Abi.

Andry - J'suis comment crari ?

- T'as besoin d'un dessin ?

Andry - Eh vas-y, ta race.

- T'as vue comment il me parle ?

Andry - Wesh ?

Je l'ai dévisagée, et j'ai continuée de regarder Abi.

Faut voir comment elle était à l'ouest, elle était en train de manger mes cheveux et elle a commencée à tirer dessus.

- Aïe, putain tu fais mal.

Elle a tirée encore plus fort.

Y'a l'autre qui s'est mise à rire.

Andry - C'est la fille à son père ça.

- C'est drôle ?

Andry - Clairement oui.

J'ai enlevée sa main et sa bouche de mes cheveux.

Elle a continuée de sucer ses doigts en me regardant.

- J'suis jolie hein ?

Andry - T'es trop moche.

- Qui t'as demandé toi ?

- Personne, mais j'aimerais le dire, t'es trop vilaine, y'a pas plus ganzou qu'toi, tes cheveux mêmes pas coiffer.

C'est vrai que je n'étais pas coiffée, mais je devais juste accoucher, pas défiler au festival de Cannes.

- T'es même pas drôle.

Andry - T'es vilaine, t'es vilaine hein... c'est pas grave.

- D'accord le plus beau.

Andry - Effectivement, vilaine va.

- Saleté.

Andry - D'accord, poussière, t'as accouchée à quelle heure ?

- J'ai accouchée vers trois ou quatre heures du matin, elle a prit son temps pour sortir.

Andry - Et y'avait qui avec toi ?

𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 [𝐈𝐈]Where stories live. Discover now