𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 [𝐈𝐈]

-𝟓𝟖

Andry - Éteins ton téléphone et dors Irena.

- Je peux vivre ?

Là j'ai commencée à parler fort.

Andry - Irena, dors.

- Mais laisse-moi respirer.

Andry - Il est cinq heures, tu veux pas dormir ?

- Nan.

Andry - Tu vas dormir de toute façon.

- J'ai pas envie.

Andry - C'est bien, donne ton téléphone alors.

Il a tendu sa main vers moi.

- Tu touches pas.

J'ai reculé avec.

Andry - Donne ça là.

- Même pas dans tes plus beaux rêves.

Il a tiré mon téléphone et il a réussi à l'avoir.

- Donne-moi mon téléphone.

Andry - Nan.

- Donne le moi.

Andry - Si j'te le donne pas, tu vas faire quoi ?

- J'rentre chez moi, j'prends mon autre téléphone, j'te bloque et j'reviens plus.

Andry - Eh vas-y toi.

- J'suis sérieuse, donne-moi mon téléphone.

Andry - Tu vas rien faire Irena, dors.

Il a posé mon téléphone sur la commode qui était de son côté.

- J'ai pas envie.

Andry - Tu veux faire quoi alors ?

- J'veux regarder le truc que j'guettais.

Andry - Nan, dors.

- Eh vas-y toi.

Je me suis tournée et j'ai "fermée" les yeux.

J'ai sagement attendue pendant neuf à dix minutes, en attendant qu'il s'endorme, et je me suis levée pour discrètement retourner au salon.

J'avais déjà ouvert la porte quand soudainement...

Andry - Repose ton cul ici, j'te laisse dix secondes.

- Si j'le fais pas, tu vas faire quoi ?

Andry - Si j'me lève Irena, il te restera que tes yeux pour pleurer, donc c'est mieux que revienne t'allonger, et on en parle plus.

Il me connaît mal lui...

Même si mon deuxième blaze c'est Serena, aujourd'hui mon deuxième prénom c'est: provocation.

Je me suis dirigée au salon et j'ai rallumée la télé.

Et à peine allumée, que j'ai vue sa grande taille apparaître.