PARTIE 45-46

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PARTIE 45:

J’ai hochait la tête, j’ai enfilé un survêt, et je l’ai rejoint en voiture, direction l’hôpital.

Pendant le trajet personne ne parlait, en meme temps parler pour dire quoi ?
Son père allait etre appelé par l'ange de la mort, et quoi que je puisse dire rien ne changera l'état dans lequel était Aymen.

Il roulait vite, trop vite à mon gout, et insultait tout le monde dans la voiture, puis son téléphone qui n'arretait pas de sonner le stresser encore plus.

Pour moins le stresser, j'ai pris son téléphone et j'ai repondu:

Moi: Allo ?

Houssem: Oh Isleym vous etes ou puta*n ?

Moi: On arrive, on est sur la route.

Houssem: Depechez-vous mer*de!

Moi: Oui Houssem, t'inquiète.

J'ai racchroché, deja le téléphone c'est bon il risque plus de sonner, vu qu'on leur a dit qu'on était sur la route, par contre pour la vitesse c'est un autre problème.

Aymen: C'étais qui ?

Moi: Houssem, il nous a demandé ou on était.

Aymen: Puta*n.

En disant cela, il a encore plus acceleré.

Moi: Aymen, ralenti.

Aymen: ....

Moi: Ralenti, tu comprends pas ou quoi ?

Aymen: FERME LA COMMENCE PAS A M'ENERVER LA !

Moi: Aymen c'est pas en faisant un accident sur la route que tu verras ton père, ralenti juste un peu Aymen parce que tu vas trop vite là.

Apres sa il a un peu ralenti, mais toujours pas assez à mon gout, mais je n'ai rien dit.

Une fois arrivé à l'hopital, il a garé la voiture n'importe comment, et est descendu direct.
Nous voilà dans le hall de l'hopital, et il y'a Houssin qui nous attend dedans, Aymen se dirige directement vers lui.

Aymen: IL EST OU PAPA ?? COMMENT IL VA ?

Houssin: Vasy venez on monte.

Aymen: REPONDS MOI QUAND JE TE PARLE ! COMMENT IL VA ?

Houssin: IL EST SUR LE POINT DE MOURIR ! SA VA LA COMME REPONSE ?

Aymen a serré les poings, et je suis arrivé à coté de lui, je lui est pris son bras, j'ai essayé de déplier son poings et j'ai serré très fort sa main, pour lui dire que j'étais là ! Qu'il ne sera jamais seul.

On est monté, il était au 2eme étage, quand nous sommes arrivé dans sa chambre, il était très faible . Sonia avait la tete posé contre les mains de son père et pleuré, cette image m'a fait beaucoup de peine.

Aymen: (en courant vers son père): Papa, papa sa va ?

Son père: C'est bon mon fils, c'est l'heure pour moi ! Hamdoullah je vais très bien.

Aymen: Dis pas sa papa, tu va rester avec nous, jusqu'a la naissance de la petite, tu la verra grandir, et tu lui crieras dessus quand elle courra à la maison !

Son père: Mon fils je suis fière de toi, c'est à ton tour maintenant de fondre ton foyer. Soit un exemple pour tes enfants, et soit un bon mari avec Isleym.

Moi j'avais les larmes aux yeux, mais je n'osais pas trop m'approcher.

Son père: Approche toi Isleym, vient ma fille.

Je me suis approché de lui doucement, et je me suis retrouvé à coté d'Aymen.
Son père nous a prit les mains et nous les a serrés fort.

Son père: Faut etre heureux dans la vie, ici c'est qu'une epreuve, y'a pas de raison de se detester entre nous. Je regrette pas de vous avoir marié, Isleym cette petite fille quu tu as dans ton ventre protège là, et protèges mon fils. Ne l'abandonne jamais.

Isleym: Wallah que jamais je le laisserais, et votre petite fille je la protegerais.

Son père: Quand je vais partir Aymen, ne soit pas trop dur avec ta femme, tu souffres mon fils je comprends, mais tu es un homme maintenant ta souffrance ne doit pas passer par la violence.

Aymen: Je te le promets papa.

Son père: Isleym, je te confie mon fils, et ma famille. Parce que je sais qu'ils n'arriveront à se relever sans quelqu'un qui puisse tout porter sur ces épaules. Et toi tu es ce quelqu'un.

Sonia : Dis pas sa papa, tu resteras là encore longtemps. Je me suis meme pas encore marié, ni les jumeaux. Tu peux pas partir.

Son père : C’est comme sa ma fille, c’est ecrit. Je resterai pas ici eternellement tu sais.

Chacun restait dans son coin, et Mon beau-papa parlait à chacun.

Mon beau-père : (a houssin, et Houssem) : Posez vous les garçons, devenez des hommes. A Votre naissance j’étais fière de vous avoir, et à ma mort je le suis encore plus. Vous etes mes fils et je vous aime. Faites pas souffrir votre maman, mettez la comme une Reine. Et mariez vous, de la ou je serai je vous verrez.

Les jumaeux : Promis papa, wallah on fera tout comme tu nous a appris.

Mon beau-papa : Sonia, ma petite fille vient dans mes bras.

Le père d’Aymen a prit Sonia dans ses bras, et elle, elle pleurait .

Mon beau-papa : Pleure Sonia ma fille vassy, mais tu es une femme maintenent je m’inquiète pas de te laisser ici. Tu es ma fierté ma fille, tu as su rester droite, j’ai jamais baissé les yeux lorsque jeparlais de toi. T’es ma princesse, ma seule fille !

Sonia ne repondait pas, elle suffoquait dans ses larmes, elle me tué le cœur. Meme si on ne s’aime pas forcement, perdre quelqu’un de cher, et encore plus son père sa fait mal, et elle aura besoin de soutien de beaucoup de soutien.

Mon beau-papa : Aymen, fils je te l’ai déjà repeté, et je te le repeterais tant que Dieu m’en donnera la force ! Je suis fière de toi mon fils, continue à etre un homme ! je veillerai sur vous tous de la haut.

Tout le monde pleurait, c’étais trop émouvant.

Mon beau-papa : Sortez s’il vous plait les enfants, laissez moi parler à votre mère.

Nous sommes tous sorti, exepté ma belle-mère.

Nous voilà dans le couloir, Sonia est assise à meme le sol la tete dans les mains.

Houssen et Houssin sont parti prendre un café, pour se donner un peu d’energie.
Et Aymen est debout , il regarde dans le vide.

Je me suis mise près d’Aymen et je lui ai dit :

Moi : Aymen, tu veux qu’on sort un peu pour que tu prennes l’air ?

Il m’a regardé, ses yeux étaient vides, et sa m'a planté en plein cœur.

Aymen : Vassy j’en ai besoin en plus.

Il est parti devant moi, et on a commencé à avancer, quand j’ai entendu Sonia renifler.

Non je ne suis pas naif, elle m’a fait la misère, mais je ne peux pas la regarder souffrir et ne rien faire, surtout qu’on parle du décès proche de son père.

Moi : (en tenant Aymen) : Dis à ta sœur de venir avec nous, on peut pas la laisser toute seule.

Aymen : (en me regardant choqué) : Euh Ouais .

Il c’est approché de Sonia et lui a dit :

Aymen : Vassy vient So’ tu sors un peu avec nous.

Sonia l’a regardé puis m’a regardé et à dit :

Sonia : Non c’est bon, je reste là c’est mieux.

Si elle a dit sa, c’est uniquement à cause de ma presence

Aymen : Vassy demerde toi !

Il c’est avancé vers moi, et m’a prit par le bras.
Nous sommes descendus en silence jusqu’en bas, puis on est aller derrière l’hopital et on c’est posé sur un banc.

Personne ne parlait, jusqu'à que :

Moi : Sa va ?

Aymen : Sa va super, mon père est sur le point de mourir mais tout va bien !

Moi :…

Quelle conne je suis, moi aussi pour lui poser des questions comme sa !

Aymen : Désolé, mais wallah je me contient là !

Moi : …

Aymen : J’ai envie de tuer quelqu’un Isleym, je vais devenir ouf je le sais.

Moi : T’es pas tout seul Aymen, pleure sa te fera du bien !

Aymen : Je pleurais jamais c’est clair ?

Moi : Pourtant t’en aurais bien besoin !

Aymen : Allez vient on remonte.

Chronique d'Isleym: C'est toi et moi contre eux, toi et moi à jamaisWhere stories live. Discover now