Je n'avais même pas envie de m'habiller, j'étais très bien en short, mais bon...

J'ai mis un ensemble noir, des claquettes et des chaussettes noirs.

J'étais clairement pas dans un état correct, même m'habiller était devenu compliqué.

Après m'être habillée, je suis sortie et j'ai rejoins Andry dans sa voiture.

On s'est embrassé et le dégoût que j'ai ressenti en moi était incalculable.

Je me paraissais répugnante...

Andry - Ça va ?

- Tranquille et toi ?

Andry - Ouais... t'as les yeux tout rouge, t'as encore pleurée ?

- J'ai pas pleurée, j'ai juste dormi.

Andry - Tema comment tes cils ils sont humides.

Il avait raison, mes cils étaient trempés.

Andry - J'espère qu'il se passe rien de grave.

- T'inquiète.

Il m'a embrassé pour me rassurer.

Andry - D'ailleurs, ma daronne elle vient d'accoucher.

- Jure ? J'avais oubliée qu'elle était enceinte, c'est un garçon ?

Andry - Non, encore une pisseuse qui va m'emmerder.

- Oh... c'est trop mignon, fais voir.

Il m'a montré une photo de sa petite sœur.

- Elle est trop mignonne, elle ressemble à ton père et à ta mère, c'est le mix des deux c'est trop chou.

Andry - Si seulement elle savait quel genre de parents elle a.

- Bah j'aime beaucoup tes parents, ton père il est super drôle et ta mère aussi, quand ils se battent c'est trop drôle, mais c'est mignon.

Andry - Si Dieu le veut, on sera pareil.

Si seulement...

__

Après un long moment ensemble, je suis remontée chez moi.

Et mon humeur a tout de suite changé.

J'ai recommencée à pleurer en entrant dans l'ascenseur du bâtiment.

Je prenais l'ascenseur parce que j'avais encore quelques séquelles des événements précédents.

? - Eh Irena !

J'allais fermer la porte pour éviter d'être avec la personne qui venait de m'interpeller mais elle a bloquée la porte.

J'ai levée le regard et j'ai vue Elias...

Elias - Bien ou quoi ?

J'ai appuyée sur le dernier étage pour éviter qu'il sache où j'habite.

Mais à peine la porte fermée, qu'il m'a attrapé le bras.

- S'il te plaît, lâche-moi.

Elias - Attend wesh, tu dates de ouf. Pourquoi tu m'esquives ?

Il m'a serré le bras.

- Elias...

J'ai encore pleurée.

- Lâche-moi.

Elias - Et si j'te laisse pas, tu vas faire quoi ?

Il serrait encore plus fort et il a commencé à ouvrir mon ensemble.

Encore ?

Mais j'ai entendue son téléphone sonner, donc il s'est arrêté et il m'a finalement lâché.

𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 [𝐈𝐈]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant