Salima à demandé d'aller à l'infirmière elle à supplié le prof elle disait qu'elle avait mal à la gorge, j'ai demandé au prof pour l'accompagner et il voulait bien.

Et elle se dirige en courant vers les toilettes et non l'infirmerie. Elle me regarde avec le regard vide mais alors vide ! Et là elle à éclaté en sanglot, j'ai rien compris c'est aller très vite sur le coup, je l'ai pris dans mes bras.

Moi : Salima...

Salima : Pourquoi... Il me fait ça.. Pourquoi...

Moi : Il faut que t'arrêtes de le voir..

Salima : Mais.. Je l'aime..

« Je l'aime » pour moi l'amour existait que dans les films.

Moi : Il faut que tu le fasses, demande à Allah demande lui. C'est Le Seul qui te connaît mieux que toi tu te connais, c'est Le Seul qui peut t'aider Salima.

Elle a hoché la tête et elle a essuyait ces larmes, elle me donnait trop de peine, ma Salima qui pleurait pour un vieux garçon comme ça.

Je finissais tôt mais j'allais rester jusqu'à 18h comme d'hab je mentais à mon frère, je voulais vraiment rester seule j'en ressentais le besoin.

Alors, il pleuvait encore j'avais mes écouteurs et j'ai commencé à réfléchir, je cherchais tout les moyens pour m'en sortir déjà pour mes problèmes de cœur car je détestais l'hopital, aussi pour mon mal-être car j'arrivais pas à faire semblant sa devenait tellement invivable pour moi. Je me comparer sans cesse au autres filles j'étais tellement complexée par moi, je me dégoûtais je ne savais pas pourquoi. Je pleurais toujours sur ce banc car j'arrivais pas à me comprendre de pourquoi j'étais comme ça. Je me sentais « différente » « bizarre » « incomprise » devant ces gens..

Je suis rentré chez moi, y'avais Mehdi, Adil, Sofiane, Amine, ma mère et Nesrine à table.

Amine : Tu faisais quoi ?!

Moi : J'ai raccompagné Salima elle était pas bien..

Sofiane il m'a lancé un regard comme si il allait me tué.

J'ai pas compris, j'avais dit quoi de mal là ?

Maman : Ya un tigre il a mangi ton jean où quoi ?

J'avais un jean troué.

Moi : Mais c'est la mode.

Vous voyez la mode d'avant, les pantalons avec pleins de trous l'une sur l'autre. J'sais pas si vous voyez bah j'avais ça mddr c'était grave moche.

Maman : Guelek mode.

Amine : C'est trop moche sah.

Moi : Toi tu mets toujours le même survêtement alors tais-toi.

Amine : C'est faux.

Mehdi : C'est qui qui à fait les pâtes ?

Moi : Moi.

Mehdi : Ah ok, elle sont ignobles.

Amine : Affreuse tu voulais dire.

Moi : C'est pour ça que vous avez finit votre assiette ?

Amine : Mon ventre avait faim c'est tout.

Nesrine : Ton ventre a surtout kiffait les pâtes.

Amine : T'as gueule toi. Va avec ton homosexuel.

Nesrine : MDDDRRR mais laisse le !

Mehdi : Hein ?

Amine : Bah elle a un shab homosexuel wsh. J'attends qu'il viennent me galoche hein.

Mehdi : Amine tu nous fait un coming out ?

Moi : Je suis sûr Amine il finira avec Louis

Amine : ASTARFIGULLAH YA RABI ME SOUHAITEZ PAS DU MALHEUR.

Mehdi : On te jugera pas t'inquiète.

Amine : Je préfère marié une vieille.

Nesrine : Guelek marié, personne veut de toi.

Je l'ai ai laissé parler et j'ai débarrassé la table et j'ai fais la vaisselle.

J'étais dans la cuisine et Sofiane est rentré, il c'est approché. Il à mis 3 fourchettes et 1 verres mddr alors là. J'avais tout débarrasser et j'avais finit la vaisselle j'allais peter un plomb.

J'ai soupiré.

Sofiane : Fait bien la vaisselle hein.

Mddr il se croit où lui ?

Moi : Tu veux la faire à ma place peut être ?

Sofiane : Non.

Moi : Ok bah ferme là alors.

J'avoue que je lui parlais mal, mais je vous jure je détestais sa présence, qu'il sois dans la même pièce que moi me dégoûtait.

Sofiane : J'sais pas t'as quoi pour avoir d'la bouche comme ça, mais sah un jour j'vais te niquer.

Moi : Bah t'attends quoi ?! Tu dis ça tout les jours.

Sofiane : C'est quoi ton problème ?

Moi : Et le tiens ? Tu me pousses, tu me parles mal, tu me renverses de l'alcool, tu me balances à mon frère et tu m'insultes de bandeuse à longueur de journée.

Sofiane : Je préviens juste ton frère que t'es une bandeuse.

Il est insupportable c'est pas possible.

Moi : Mais va t'fa....

Et j'ai même pas eu le temps de finir ma phrase qu'il m'a pousser contre le mur et il a glissait ces mains sur mon visage.

On c'est regardé droit dans les yeux pendant quelques secondes avant qu'il me chuchote :

Insaf - S'aimer pour pouvoir aimer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant