- Euh... oui. J't'ai appelée pour que tu puisses voir ma tenue d'aujourd'hui.

Andry - Fais voir.

J'ai posée mon téléphone sur un support et je me suis éloignée pour qu'il puisse bien voir.

Il a sifflé.

Andry - La miss des miss, la mousso des mousso, tu vas où ?

J'étais flattée.

- J'vais marcher.

Andry - Comme ça ?

- Bah de base je devais pas sortir.

Andry - On t'a forcé ?

- Ouais.

Andry - Mh, retourne toi vite fait.

Je me suis mise à rire avant de me retourner.

Andry - Oh... attend, c'est quoi que t'as dans le dos ?

Oh merde.

- C'est des griffures de chat, il a dormi sur mon dos.

Andry - Mh. Sinon, tu reviens quand ?

Il m'a regardé très bizarrement.

- Demain.

Andry - Oh... on dormira ensemble ?

- Ouais, chez-moi.

Andry - Euh... on fera que dormir ?

- Mh... qui sait ?

Andry - Jure ?

Je me suis mise à rire.

On a continué de discuter, on a fini par raccrocher.

En sortant de ma chambre, je n'ai vue personne au salon, ils étaient sûrement dans leur chambre.

Je suis donc sortie de la maison, écouteurs dans les oreilles.

__

Quand j'ai décidée de rentrer, il faisait déjà nuit.

Une fois arrivée devant la porte d'entrée, j'ai pris la clé de la maison et je les ai insérés dans la serrure pour les faire tourner à l'intérieur.

Quand la porte s'est ouverte, j'ai remarquée qu'aucune lumière n'était allumée.

J'ai donc fermée la porte derrière moi et j'ai avancée vers ma chambre dans l'obscurité.

Ma chambre n'était pas loin donc ça ne me dérangeait pas d'avancer dans le noir.

J'ai appuyée sur la poignée et je suis entrée dans ma chambre.

Elle était aussi plongée dans le noir.

Mais quand je suis entrée à l'intérieur, j'ai sentis une odeur familière...

Celle de bonbon.

La seule personne qui pouvait avoir une odeur pareille était...

? - Ça va ?

Oh non...

Je me suis immédiatement figée.

Je ne le voyais pas, il n'y avait même pas le moindre signe de sa silhouette.

Malgré ma peur, j'ai eue le réflexe de saisir la poignet de la porte derrière moi et je suis rapidement sortie.

J'ai essayée de me diriger dehors, mais arrivée au niveau du canapé, quelqu'un m'a violemment attrapé et m'a posé sur le canapé.

𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 [𝐈𝐈]Where stories live. Discover now