Andry s'est aussi posé sur le lit et il a commencé à regarder ce que je faisais.

Mais alors que j'entrais dans l'application Snap, j'ai reçue un message d'Elias.

Du mois de mai jusqu'à juillet, il ne voulait pas me lâcher.

J'étais vraiment dans l'angoisse à longueur de journée à cause de lui.

- Attends, j'arrive.

Je me suis levée et je me suis dirigée dans la salle de bain.

Elias:
T'es où ?

Chez-moi.

Elias:
T'es censé dire "et toi"

Ah.

Elias:
Bah dis-le.

Et toi ?

Elias:
J'suis dehors, tu connais.

Mh.

Elias:
C'était quoi la robe de tain-p que tu portais hier ?

Comment ça "robe de pute" ?

Elias:
La robe rouge que t'avais, tu crois que j'l'ai pas vu ?

Et alors ? C'est quoi le rapport avec le fait d'être une pute ?

Elias:
C'est une robe de tchaga, c'est tout.

Si tu veux.

Elias:
Bref, c'est la dernière fois que tu portes ça.

À mes dernières nouvelles, je mets ce que j'veux.

Elias:
Pas avec moi en tout cas.

Je pense pas avoir besoin d'un deuxième papa.

Elias:
Eh, arrête de m'prendre pour ton vieux gars de merde, j'suis pas ton petit.

Si tu veux.

Elias:
Et arrête de faire la maline.

👍🏾.

Elias:
Bref, mets plus ça.

Je suis pas ta fille, arrête de vouloir jouer au daron avec moi.

Elias:
J'vais le faire à sa place.

Si ça t'amuse.

Il a continué d'écrire mais j'ai fermée la conversation.

Il n'allait sûrement pas gâcher ma dernière journée avec Andry pendant presque une semaine.

Pour revenir au présent, j'ai éteins mon téléphone et je me suis redirigée dans ma chambre.

Andry était toujours là, en train de m'attendre.

- Désolée, j'étais au téléphone avec ma grand-mère.

Andry - Ah okay.

𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 [𝐈𝐈]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant