Après avoir passé 5 ans loin de sa sœur pour faire des études à Londres, Chloé Natalia Romanoff est de retour à New York.
Entre lutter contre un pouvoir qui est enfermé en elle et qui ne demande qu'à sortir, être pourchassée par une activité terror...
Bonjour à toutes et à tous ! Voici le cinquantième chapitre. Nous sommes désormais à dix chapitre de la fin de ce premier tome (outre le chapitre bonus qui arrivera après celui-ci). J'espère que vous serez toujours aussi nombreux à me suivre sur le tome 2 !
Après des chapitres tristes, on se retrouve avec un chapitre léger et peut-être même drôle. J'espère qu'il vous plaira, j'attends vos retours avec impatience !
Bonne lecture !
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« Aller Alia, fais un sourire à maman ! »
J'étais penchée au-dessus d'Alia, faisant des grimaces ridicules pour la faire sourire. Loki entra dans la chambre des jumeaux. Depuis que j'avais frôlé la mort, Loki et moi avions eu besoin de retrouver notre intimité et avec les jumeaux dans notre chambre, c'était impossible. Nous avions donc commencer à les coucher dans leur chambre.
« Qu'est-ce que tu fais ?
- J'essaie de la faire sourire. Clinton sourit depuis une semaine au moins, elle non.
- Elle sourit.
- Je ne l'ai jamais vu sourire.
- Je te dis qu'elle sourit. »
Loki s'approcha de nous, je m'écartais du berceau pour le laisser faire. Il tendit sa main, la paume vers le haut et fit apparaître de petits feux d'artifices. Alia se mt à sourire instantanément. Je me reculais et me laissa tomber sur un fauteuil.
« Ma fille préfère son père.
- Ne dis pas n'importe quoi. Alia nous aime tous les deux.
- Tu te sers de tes pouvoirs, c'est injuste et c'est de la triche !
- Ce n'est pas de la triche, ils font partie de moi. Pourquoi tu ne te sers pas des tiens ?
- Arrête.
- Chloé, pourquoi tu ne veux jamais parler de ça ?
- Parce que je me sens coupable ! J'étais morte, j'aurais pu ne pas être là aujourd'hui, je t'ai fait souffrir, j'ai fait souffrir Wanda, Natasha... Tout ça pour quoi ?! Pour rien, rien du tout ! Je n'ai pas mes pouvoirs, je n'ai rien retrouvé !
- Ça ne fait que deux semaines, tu n'as même pas encore vu Tony pour des analyses et tu as encore moins repris les entraînements. Ça reviendra au moment voulu.
- Je n'y crois plus.
- J'y crois pour nous deux. »
Il s'avança vers moi, me tendit la main pour me lever et s'assit dans le fauteuil dans lequel j'étais. Il tira mon bras pour m'asseoir sur lui et me prit dans ses bras. Je calais ma tête dans son cou.
