Blows...

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Pénélope fut surprise de cette intervention brutale dans son moment d'intimité. Elle lui répondit sans se démonter.

- Je pense que vous faites erreur, je ne suis pas ici pour séduire le roi.

La belle blonde s'avança pour se mettre bien devant la frêle jeune femme.

"Pourtant les ragots disent que vous allez intégrer l'aile Est, sachez que je suis déjà sa concubine favorite, souvenez-vous bien de ceci."

- C'est au roi de choisir la meilleure, pas à vous d'intimider les femmes ici.

"Je n'entre en compétition avec personne, si le roi m'apprécie, il saura quoi faire"

Voici une première altercation qui annonce des relations complexes pour l'avenir. La favorite sortit de la pièce sur ces mots. Celle ci se dirigeait vers le bureau du roi, elle entra sans frapper.

"Bonjour votre Altesse, je tiens à vous parler absolument, alors ne me punissait pas de ma venue si tardive"

Antoine : "Que faites vous ici ? Vous n'êtes pas dans l'aile Est avec les autres ?

"J'étais avec votre nouvelle concubine, pitoyable, j'espère que vous ne comptez pas me remplacer par cette chose insignifiante."

Antoine : "Excusez moi mademoiselle Tristi, mais je ne crois pas devoir me justifier sur les nouvelles venues dans le palais. Il est vrai que je vous apprécie mais n'oubliez pas que je suis roi, je ne suis pas n'importe quel autre homme."

"Je ne suis pas n'importe quelle autre femme non plus, ne l'oubliez jamais, par ailleurs, je vous prierai de ne pas revenir vers moi si vous vous rapprochez d'elle"

Elle partit sans rien dire de plus.

Antoine : "Quel sale caractère"

Il décida de se lever pour rattraper mademoiselle Tristi, Antoine détestait les conflits, son objectif était de régler ce malentendu avec la femme qu'il avait choisi comme favorite royale.

Antoine: "Attendez moi Lana"

Lana : "Vous venez de m'appeler par mon prénom ? Merci de respecter une certaine distance avec ma personne. Je n'ai pas besoin d'un homme qui collectionne les femmes, surtout les étrangères"

Antoine: "Faites bien attention à ce que vous dites"

Lana : "Je n'ai pas peur de vos représailles. Je vous dis seulement le fond de ma pensée, je ne vois pas quel mal il y a à ça."

Antoine continuait à marcher assez rapidement derrière elle, jusqu'à la rattraper et la plaquer contre un mur. Il savait que c'était la seule solution pour que cette petite effrontée l'écoute enfin.

Antoine :" Ecoutez-moi maintenant. Je suis le roi, tu fais partie de MES concubines. MES ! Ce qui signifie que vous êtes donc plusieurs, comme dans tout les royaumes. Sans moi, vous n'êtes rien, alors arrêtez de me désobéir."

Le roi n'avait pas l'habitude de parler d'une manière aussi crue, mais il détestait être accuser de quelque chose qu'il ne faisait pas. En l'occurrence, il ne collectionnait pas les femmes, il suivait juste les traditions et les coutumes royales.

Lana : "Lâchez-moi, vous me faites mal"

Une larme coula sur sa joue droite.

A Dry Blanch Despite The Hundreds Tears Tahanan ng mga kuwento. Tumuklas ngayon