La voix rauque des garçons réveilla Beomgyu, cela faisait quelques jours qu'il était rentré de son séjour chez sa mère, avec qui étrangement tout ce passe pour le mieux, ce qui le rend plus qu'heureux. Les garçons avait compris qu'il était parti chez sa famille à leur grande surprise mais ils étaient sûrement plus heureux que lui de voir son ami affrontait ses problèmes. Le garçon encore endormi, marché vers l'université après une absence, le ciel était toujours aussi sombre changeant de l'atmosphère de sa ville natale, les réverbères sont encore allumer, il marche seul comme l'autre fois, musique dans les oreilles espérant que cette jourée ne commence pas aussi mal que la dernière. Cette fois, le campus n'était pas désert, Beomgyu vite parti se réfugié du froid à l'intérieur, c'est le seul de ses amis à commencé à cette heure. Il scroll les publications de son fils d'actualité attendant la sonnerie qui annonce le début de la journée, quand soudain des mains douces se posent sur ses yeux, il les effleura du bout de ses doigts la faisant frissonné, cette douceur ne pouvait n'être qu'une personne, une personne qu'il ne pouvait plus attendre de voir, Hana. Il se retourne vers elle, elle est toujours aussi fascinante, Beomgyu songe à la prendre dans ses bras mais il estime qu'ils ne sont pas assez proche pour ce genre d'accolade.
« - Tu nous a pas abandonné finalement ? sourit la brune
-Non j'était parti chez ma mère quelques jours, désolé de pas t'avoir prévenu
- J'aurais voulu te parler après les cours par rapport à ce qui c'était passé l'autre fois mais tu étais déjà parti, et je n'avais pas ton portable, et en parlant de ça »
Hana sort de sac son portable et affiche son numéro sur celui ci que le brun enregistre, depuis le temps qu'ils se connaissent il vient seulement d'avoir son numéro.
« - C'était qui le garçon ?
- Ah lui ? C'est Yong-sik, il est hyper gentil mais trop collant, en était en groupe dans une matière en commun »
Beomgyu se sent directement rassuré, toute ses appréhensions s'envolèrent en un clin d'œil, pour le brun, c'était le jour, le jour où il allait se confesser, il ne pouvait pas passer un jour de plus ne sentant pas les lèvres de Hana, ses mains, sa chaleur et de son corps. A travers la vitre, le ciel sombre laisse place à des nuages grisâtre annonçant un changement de météo, il allait neigé, il prit délicatement le poignet de Hana pour retourner dehors, tout le monde se bousculer pour vite rentré évitant la tempête de neige, à la surprise du brun, Hana se laisse faire, se laisse amené dans un endroit qui lui est encore inconnu. Beomgyu ne peut pas attendre plus longtemps que les premiers flocons de neige tombe sur la peau de la brune, les flocons paraissait invisible au contacte de sa peau, Beomgyu essuie de son pouce le flocon s'étant déposé sur sa joue, les papillons dans le ventre du brun se réveillèrent l'empêchant de pensé consciemment.
Il passe sa main derrière la nuque de Hana, lui chatouillant les cheveux, il ferme délicatement ses yeux pour ne pas voir sa réaction, approche ses lèvres des siennes et y pose, Beomgyu frissonne au contact des lèvres glacé de la brune, il reste comme ça quelques secondes lorsque les battements de son cœur double de vitesse quand il sent la langue de la brune caressé gentiment ses lèvres pour demander poliment un baiser plus langoureux. Pour la première fois leurs langues se rencontrèrent. Le baisé devint de plus en plus langoureux, Hana avait passé ses bras autour du cou de Beomgyu, qui lui, appuyé légèrement sur la nuque de la brune pour demandé un baisé plus sensuel, les mains de la brune se pose sur ses pectoraux le repoussant pour qu'elle puisse reprendre son souffle, leurs regards se croisent instantanément, comme si tout deux espéré autant que l'autre. Beomgyu pris de ses mains glacé l'écharpe blanche de la brune pour bien lui remettre autour de son cou cachant ses lèvres, où il y avait regoûtait. Ses doigts doux entrelace les siens, ses joues s'empourprèrent mais Beomgyu pu difficilement le définir du à l'écharpe, un sourire narquois sur le visage, il mit leurs mains dans sa poche pour les réchauffer et finalement rejoindre leurs premières classe.
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Sa main fragile caresse ses mèches décolorées tombant sur sa nuque, Beomgyu dessine des arabesque sur la peau clair de sa compagne, leurs corps collé remplit de sueur sur le divan beige, tout semblait calme comme si le temps s'était arrêté, les laissant dans leur bulle. Pour un mois de janvier, dans la ville d'enfance de Beomgyu le ciel bleu est tout le temps présent et le soleil tape sur le sol ciré du salon où leurs vêtements sont éparpillé, le silence régné dans la pièce, les mouvements de Beomgyu se ralentisse fatigué à rien de tombé dans les bras de morphée, Hana pensé, à eux, de comment elle avait désiré de vivre ce moment trahissant son apparence innocente, intérieurement Hana bouillonné quand les rumeurs du brun circulé, elle ne voulait pas y croire, mais malgré elle, elle savait comment était Beomgyu mais elle préférait se voilé la face.
« - Tu vas pas me laissé n'est ce pas ? »
Il s'endort en chuchotant des mots doux et réconfortant dans son cou, si ses paroles étaient tracées à l'encre noir, sur la peau de la brune, il ne resterait plus un blanc. Il s'était trouvé, pour la première fois de leurs vies, ils vit la chance d'être au coter de son âme sœur.
Fin
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