ᴛᴏɴ ᴄᴏʀᴘs ᴇsᴛ ᴍɪᴇɴ. [ 𝘋𝘳𝘢𝘳𝘳𝘺 ]

ᴄʜᴀᴘɪᴛʀᴇ xᴠɪɪɪ

Bonsoir à tous.

Premièrement c'est énorme ce qu'il se passe ??! La fanfic à atteint les 80k de vues ?! J'ai toujours rêvé pendant mes années de collège d'une forme de reconnaissance à un travail fourni, comment vous dire que j'ai réalisé ici un rêve d'enfant.
Vous avez réalisé mon rêve d'enfant en m'envoyant votre soutien simplement par votre présence sur cette fanfiction, par vos likes et surtout vos commentaires.
J'ai l'impression que rien n'est suffisant pour exprimer la gratitude que j'éprouve envers vous en ce moment.

Je sais que certains vont passer ce message par pure flemme, je comprends mais sachez quand même que si vous prenez le temps de lire, l'auteur vous remercie avec la plus grande sincérité dont elle est capable.

Une dernière chose avant le début de ce nouveau chapitre, il est très émouvant, et c'est la musique qui m'a donné l'inspiration :

~

Mes paupières s'ouvrent lentement au premier rayon de lumière, les cheveux en bataille et le corps endormi de Drago contre le mien me rappelle la douce nuit que nous avons passé.

Le souffle lent de Drago vient briser le silence apaisant, ma main vient machinalement se glisser dans ses cheveux et mes doigts viennent jouer avec ses mèches d'or.

Mon regard scrute chaque élément de son visage endormi. Il est si beau. Si calme... Si innocent quand il dort. Bien loin du Drago sournois et pervers que je connais habituellement.

Hier, il était si doux et si innocent que j'aurais cru voir une autre personne. Est-ce sa manière de s'ouvrir à moi ? Sa vraie personnalité ?

Je soupire lentement en me torturant l'esprit de mille et une questions sans réponses pendant que Drago ouvre lentement les yeux à son tour.

- « Harry... »

Je relève lentement la tête à l'entente de mon prénom, nos regards se croisent et ne démordent pas l'un de l'autre. Les battements de son cœur résonnent contre ma peau, provoquant en moi une vague de chaleur.

C'est une sensation vraiment agréable.

- « On devrait peut-être se lever...? »

Je fronce les sourcils.

Je pensais que dans sa vie de gosse de riche il faisait des grasses matinées.

Il soupire un instant en me voyant peu coopératif, puis fait un signe de tête en direction de la fenêtre pour m'indiquer d'y jeter un œil.

Je me redresse légèrement et me penche vers la fenêtre, lui assis à califourchon sur mon bassin.

La surprise fût de taille en voyant les premiers flocons tomber du ciel. Un sentiment de joie m'envahit en voyant le paysage se camoufler de blanc.

Je me sens comme un enfant devant la splendeur de cette neige blanche. C'est magnifique. Il faut qu'on aille vite déjeuner et profiter.