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La pièce était sombre, Noah, assis sur son siège contemplait en silence son écran d'ordinateur. La lumière produite par la machine suffisait a laisser apparaître les contours des meubles. Il était 22h et la seule occupation qu'il s'était trouvé résidait dans la comtenplation d'une série Netflix particulièrement addictive. Les épisodes défilaient vite et la fatigue de même.

Le sommeil avait fait son apparition, et les bâillements a répétition l'avait convaincu d'éteindre son ordinateur. Pourtant lorsque il appuya d'un geste sûr a l'emplacement du bouton on/off l'ordinateur ne répondit pas, Cependant dans un tintement caractéristique, une fenêtre apparu...

L'onglet, semblait être un spam quelconque. Le fond rouge était surmonté d'un lien long comme un bras, Noah s'empressa de fermer la page, et le tour était joué. L'adolescent réitèra son action et renfonça le bouton on/off. En d'épis de son geste le spam réapparu.

l'incompréhension de Noah allait croissante. Il appuya encore et encore sur ce fichu Interrupteur mais a chaque fois l'onglet faisait son apparition. Alors, agaçé il empoigna sa souris d'ordinateur et dans un geste d'agacement, il cliqua sur le lien...

A la place de la pub insidieuse que Noah aurait cru trouver, il vu tout autre chose. La page était pratiquement identique à la première, sauf que à la place qu'occupait le lien bleuté se trouvait une formule autrement plus inquiétante.
En effet sur l'écran d'ordinateur, dans une écriture semblable à des coulées de sang figuraient deux mots :
"BONNE CHANCE"

Soudain, alors que l'ordinateur s'était enfin éteint et la pièce revenu au ténèbres, une sirène retentit. Au travers les volets semi fermé on apercevait les lumières bleu et rouges qui défilaient, vu la luminosité produite par ce défilé il était probable que le criminel que ces policiers pourchassaient fut un voleur de renom. Peut-être Arsène Lupin, pensa Noah un sourire en coin.

Il s'assit sur son lit, mais a peine eu t'il posé sa tête de sur l'oreiller qu'on frappa violemment à la porte. ''police, ouvrez'' criait la voix. Noah pensa a une erreur et s'empressa d'aller ouvrir la porte.
Erreur fatale, devant lui se dressait a présent un géant d'au moins deux mètres, et possédant des muscles a faire taire un gorille.
Une goutte de sueur commença a perler sur la joue de Noah, mais celui-ci arriva tant bien que mal à dire :
Bonjour monsieur l'agent..., je crains que... ce ne soit une erreur...
Le bégaiement de Noah fit légèrement sourire son assaillant qui dans un geste brutal empoigna le col du jeune homme.
Et lui vrilla les tympans en criant :
"Tu crois pas si bien dire minus.
Hacker le site gouvernemental de tout les pays du monde, en même temps, c'était une très très grosse erreur''.
A ce moment là Noah ne put s'empêcher d'éclater de rire, la fatigue peut-être ?
Il commença une phrase pour stopper le malentendu, mais le fonctionnaire ne lui en laissa pas le temps, avec sa main libre, et tenant toujours Noah. Il le frappa violemment de nombreuses fois jusqu'à le faire saigner.
La colère, la peur, l'incompréhension, la tristesse, tant d'émotions qui assaillirent Noah, il était défiguré par un policier bodybuildé et ne connaissais en rien la raison de cet acte, pourtant il sentait au fond de lui que cela avait un lien avec son début de soirée qui fut tout aussi étrange.
C'est à ce moment que survint la délivrance. Un autre policier plus maigre cette fois et la mine moins antipathique s'approcha et se mit à engeuler son collègue. Noah n'entendais plus rien, ses oreilles    étaient pleine de sang, il se sentait au bout du rouleau, mais lorsque la poigne du psychopathe se relâcha, il trouva une force au fond de lui, une force si puissante que malgré sa fatigue il trouva le moyen de se dégager. Il courut du pas de la porte à l'intérieur de son studio et s'empressa de verrouiller les trois cadenas qui était présent sur sa porte. Il savait éperdument que cela ne les retiendraient que très peu de temps, et qu'il aggravait son cas.
Il saisit un grand sac a dos, l'empli de nombreux vêtements de quelques conserves et de bouteilles d'eau. Il se rinca le visage ouvrit une fenêtre, sonda les environs et plongea dans l'obscurité. La maison, enfin le cabanon qu'il avait trouver pour ses études, était sûrement encerclée mais, Noah passa par des fourrés dans l'ombre des gardes postés aux alentours, et lorsque qu'enfin il put se dégager des ronces. La voie de l'homme qui lui avait déjà fait mal  physiquement l'acheva mentalement en lui criant :
N'OUBLIE PAS PETIT DORÉNAVANT TU EST NOTRE CIBLE PRINCIPALE, LE NUMBER 1 !

Et c'est en entendant cette terrible annonce que Noah s'élança dans la nuit, a présent, il était livré à lui même et personne ne pourrait revenir en arrière...

Number 1. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant