3 jours plus tard

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« Pffff encore une arriviste qui est là juste pour son noms »

« Elle porte peut-être le noms Senna mais elle ne sera jamais à la hauteur de son père ! »

Rien que d'imaginer cela me répugne.

Je m'écarte de Fabio et repart dans la chambre un peu contrarier. Je m'affale sur le grand lit et plonge ma tête dans le coussin tels une ado exaspérer par tout ce qui l'entoure. Débile hein ? Et pourtant même à mon âge ont fait encore des caprices...

Fabio me rejoignis perplexe et s'installa à coter de moi ;

- J'ai dit un truc qui ne fallait pas ?

- Tu m'a juste foutu la pression, rien de grave... dis je à moitié entrain de m'étouffer dans mon oreiller.

- Et c'est une raison pour t'étouffer ?

- Oui !

Fabio pris son coussin et commença à me frapper avec.

- Et là c'est une raison ?

- Arrête ! dis-je en riant

- Alors arrête de déprimer ! dit-il en me donnant un énième coup d'oreiller.

- JAMAIS! dis-je en prenant mon coussin à mon tour et riposte à ces attaques.

La guerre est déclarer et une longue bagarre semer d'étouffement et de coup moelleux dans la tronche raisonne dans toute la chambres. Mais notre bagarre fut vite interrompue par une frappe assourdissante à notre porte.

- Merde... disons-nous en cœur.

Je me lève à la hâte et réajuste mon long t-shirts et attache vite fait mes cheveux.

- Vite dépêche faut qu'on range! dis-je en ramassant les couvertures sur le sol et cachant les plumes d'oreiller sous le lit.

- C'est bon ! Vas y, je m'occupe du reste ! me dit-il se dépêchant.

- Pourquoi moi ?! T'a qu'a y aller toi !

- Parce que... euhh... la chambre est à ton noms donc...

La personne contrarier frappe de nouveau à la porte violement et je me décide à y aller sous le regard rempli de supplice de mon copain aux courage inexistant.

- Tu sais m'accompagner pour des trucs suicidaire mais pour ouvrir une porte ces chacun sa merde... dis je en allant vers la porte.

J'inspire un grand coup et l'ouvre avec un sourire innocent.

Oh nonn...

- Vous avez fini avec vos conneries ! Non mais vous vous croyez ou ?! dit-il sans prendre la peine de voir qui il a devant lui.

- Salut Alain...

Il se stoppa net dans ces protestations et me regarda décontenancer. Un silence presque désolant s'installa entre nous provoquant un léger malaise... Son visage est fatiguer et ses cheveux poivre et sel tire plus vers le blanc désormais. Quelques choses dans son regard m'indiquent qu'une souffrance lointaine se réveilla en ma présence.

- Si j'avais sue que c'était toi, je ne serai jamais venu toquer... me dit il.

Wow... sa je ne m'y attendais pas.

Sans que je comprenne se qui nous arrive et la nature de ces paroles, il se détourna de moi et reparti en direction de sa chambres le regard désespérer, mais je refuse qui se défile... c'est beaucoup trop facile.

Auprès De ToiWhere stories live. Discover now