De retour à Monaco

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La tête complètement dans les nuages, je ne prête pas attention au valise qui défile devant moi. Fabio voyant que j'étais très loin dans mes pensée, pris nos valise sur le tapis avant de me ramener à la réalité.

- Célina...

- Hein ?

- Ta valise... me dit il en me la tendant.

- Désolée je suis un peu ailleurs...

- T'inquiète, tu veux qu'on aille manger un truc ? Lewis m'a dit qu'il arrivait dans 30 minutes.

- Je n'ai pas très faim...

- Au moins se prendre à boire, puis pense à Maurice ! dit il en me montrant mon chien qui mâchouille le plastic de ma valise.

- Ok... dis je dans un soupire.

Fabio me prend la main, et me guida à travers la foule vers une petite boulangerie. Il commande deux croissants, avec deux cafés et nous partons nous installer un peu plus loin à l'abri des regards à une petite table.

La première gorger de café passe mal tellement que je suis anxieuse... tout le long du voyage je me suis imaginer les pires scénarios catastrophique. Je ne peux pas m'empêcher de penser que nous sommes arrivés peut-être trop tard, au point que je me demande «qu'es ce que je fous là ?».

Les chances de retrouver Mick sont minces. Il ne répond ni à mes messages ni à mes appels, c'est tellement frustrant d'être dans l'ignorance total. Retrouver Mikilson est peut-être la seule option que j'ai pour le retrouver et je prie pour le croiser en chemin avant d'y arriver.

Fabio s'amuse à donner des petits bou de croissant à mon chien, et cette vue si innocente dénote complètement à la réalité des choses, mais je ne peux pas m'empêcher d'apprécié ces moment débile car... il ne se passe rien.

- Comment tu te sens ? me demande Fabio en sirotant son café.

- Fatiguer et nerveuse... et toi ?

- Fatiguer et nerveux ! Wow mais on a plein choses en commun ! dit il ironiquement.

- J'aurai préférer qu'on aille Heureux et Epanoui en commun, mais ce n'est pas le cas...

- Pour l'instant... mais quand on aura retrouvé Crétin numéro 1 et Andouille 2.0 on pourra avoir cela en commun.

- En parlant d'andouille 2.0... sa ne te fait rien de devoir chercher Mick ?

- Je ne vais pas dire que sa me fait plaisir, mais si je le fait c'est pour toi.

- Tu n'es pas obliger...

- Je sais qu'il compte quand même pour toi, et... je ne peux pas te priver de l'aimer juste parce que moi je le déteste, c'est ton ami et les ami se font de plus en plus rare.

Je regarde l'homme que j'aime avec un sourire en coin et les yeux pétillant.

- C'est pour cela que je t'aime.

- Ah bon ?

- Oui... car avec toi je n'ai pas peur d'être humaine.

- Et moi je n'ai pas peur de regarder devant...

Le vibreur du portable de Fabio coupa notre conversation. Il sorti celui-ci de sa poche et regarde l'origine de cette notification...

- Lewis nous attend dehors.

- Ok...

- Va falloir se dépêcher car les paparazzis sont déjà au aguets...

- Ils sont chiant ceux-là !

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