Aïma: T'as fini ? Tu viens faire la femme forte alors que tu chiales bien pour faire la miskina avec ton viol. Elle est où l'égalité avec les hommes là ? Soumets toi aux lois de la nature et ferme la. De toute façon ça m'arrange que tu sois une tapette, j'aurais qu'à donner moi même ce qu'il faut à Zak. Après ça ton visage pourra plus rien y faire. Et puis entre nous, qd tu te retrouveras à la rue parce que Zak il t'auras tej, j'suis sûre que tu mettera a profis ton petit corps fragile pour gagner ta vie et là tu feras plus de manière. Franchement je sais pas si ce scénario ou celui où te te feras violer par celui en qui t'a confiance serait le mieux ? Tu mérite vraiment pas vrai ? Après tout le viol maritale c'est légitime dans ton cas non ? Le viol tout court ça devrait être autorisé si c'est pour remettre à sa place des petites pouffiasses comme ta mère et toi qui se prennent pour des créatures sacrées juste parce que vous êtes bien faite. Il devrait t'arrive la même chose qu'à ta mère grosse pute.

À ce moment là j'ai vu rouge. Je ne repondais plus de moi. J'ai attrappé sa main et chopper ses cheveux et de là, grosse bagarre. Je voulais juste la tuer rien d'autre. Mon cerveau a entendu tellement de connerie qui méritait que je lui casse sa bouche que j'ai eu la pulsion.

Elle était sauvage mais rien d'assez agressif comparé à la haine que je mettais dans mes coups.

[....]

La bagarre a duré quelques minutes, le temps que Zak arrive. Il nous a hurlé dessus mais vraiment j'étais trop concentrée surtout que je m'étais cogné la tête au sol j'étais vraiment plus en état de réfléchir.

Zak a fini par me tirer en me portant par la taille, je persistais et j'ai même fini par lui mordre le bras.

Au bout de quelques secondes de lutte il a fini par nous séparer.

Il m'a éloigné d'elle en me sortant dans le couloir puis m'a reposée au sol, je tenais à peine debout puisque j'étais sonnée. J'avais tellement la haine que je ne le voyais pas lui, que cette conne et ses paroles.

Zakarya: Ney'! Neyla! Eh j'te parle !? Ney!

Moi: Oui Zakarya, oui ?

Zakarya: T'as rien de cassé ?

Moi: Non ça va, lâche-moi que j'aille lui arracher sa langue à cette bouffonne... pousse toi !

Zakarya: *en me tenant* ARRÊTE ÇA vient mets tes chaussures on rentre

Moi: Lâche moi et me crie pas dessus. [ on sort de l'appartement] je peux rentrer toute seule, vas t'occuper de ta bff elle doit être dans un pire état que moi enfin j'espère mdr

Zakarya: Neyla vous avez pris heja ou c'est comment ?

Moi: Arrête de me prendre pour une gamine

Zakarya: Il s'est passé quoi pour que tu deviennes hystérique à ce point ?

Moi: Fallait pas me laisser avec cette conne. C'est de ta faute. Te plains pas de moi c'est pas comme si c'était quelqu'un d'autre qui m'avait appris à me défendre.

Zakarya: *soupire* Vas-y tu vas m'expliquer à la maison parce que je sens que j'vais devenir fou.

Moi: Je rentre toute seule.

Zakarya: Tu vas nulle part toute seule t'es dans les vapes

Moi: Non j'ai pas besoin de toi lâche ma main s'il te plaît

Zakarya: Neyla arrête de m'rendre ouf

Moi: LÂCHE MOI ZAKARYA JE VEUX PAS TE VOIR LAISSE MOI TRANQUILLE J'AI PAS BESOIN DE TOI POUR MARCHER ENFAITE

NEYLA :《Détestée de tous : il n'y a que lui qui a su m'aimer》Where stories live. Discover now