La soeur cachée (Drago Malefoy x Reader)

Chapitre 13: Réunion

Je me réveille tranquillement le lendemain et me rappelle que je ne serais pas obligée de supportés les autres élèves pendant deux jours, ce qui me mit de bonne humeur dès le matin. Je pars prendre mon petit-déjeuner tranquillement quand un hibou arriva, je le reconnais très rapidement, c'est le hibou de mon père. Il m'apportait une lettre, elle portait le sceau familial je l'ouvre et commence la lecture :

Ma chère fille,

J'aimerais que samedi après-midi (vers 12h30) que tu viennes au manoir pour une réunion, ta mère (Bellatrix Lestrange, c'est ma belle-mère mais je devais la considéré comme ma mère), sa fille (Lilia Lestrange), Narcissa, Lucius et leur fils Drago, les Nott et leur fils Théodore, Les Parkinson et leur fille Pansy, les Zabini et leur fils Blaise et Serverus seront présents. Je veux que tu sois présentable et que tu sois à l'heure. Cela nous permettra de parler de ton premier mois à Poudlard et de voir ton avancement dans la mission que je t'ai confié. Nous parlerons aussi de nos plans contre l'ordre du Phénix et Dumbledore.

Le seigneur des ténèbres

Je me hâte vers ma douche et la prends, me dirige vers mon dressing et commence à choisir mes habits. Après 10 minutes je trouve la tenue parfaite : Une chemise noire, un pantalon vert très élégant, des bottes noires et hautes, je lisse mes cheveux et je mets une rose blanche dedans, des boucles d'oreilles argentée et avec des émeraudes, un collier et un bracelet au même couleur et une bague avec des serpents et une rose entremêler. Je prépare ma sacoche, j'y range un livre, un carnet et un crayon. Il était déjà 12h15, je patiente en lisant puis vint 12h28. Je me téléporte devant le manoir Jedusor, franchis les barrières magiques et m'arrête devant la grande porte. Je prends une grande inspiration et ouvre la porte, je connaissais le manoir comme ma poche donc je me dirige sans difficulté vers la salle à manger. Je m'arrête devant la porte, on pouvait entendre des discussions de l'autre côté de la porte, je reprends une grande inspiration et ouvre la porte. La plupart des mangemorts étaient déjà attablés, les regards se tournèrent vers moi et mon père dit :

-« Bien pour une fois tu es à l'heure », j'ignore sa remarque, -« Eh bien je vois que comme souvent tu as perdu ta langue » continua-t-il sur un ton cinglant, je serre les poings.

Les autres personnes présentes dans la pièce nous observaient en silence. Je scrute la salle et me rends compte que les Serpentards n'étaient pas présents.

-« Tes camarades se trouvent à côté » me dit-il,

-« J'avais compris », répondis-je sèchement,

-« Ne t'avise pas de me répondre ainsi jeune fille »,

J'ignore à nouveau sa remarque et je me dirige vers la porte qu'il m'avait désigné, l'ouvre brusquement, j'étais consciente de ce qui allait se passer mais je m'en fichais bien. Je claque la porte et me retrouve devant la bande des Serpentards.

-« Quesque tu fous là Jedusor » s'écria Zabini,

Je lève les yeux au ciel puis je lui réponds sur un ton sarcastique,

-« Quelle question intelligente Zabini, c'est pas comme si le seigneur des ténèbres étais mon père »,

Il ne répondit pas, je regarde les flammes dansantes dans la cheminé et m'installe dans un canapé à côté. Je pousse un soupir et attendit que quelqu'un parle. Je me sert une tasse de thé et attendit, je pouvais voir que mes chères camarades étaient stressés et je ne manquent pas de leurs faire la remarque :

-« Alors on est stressés », dis-je sur un ton moqueur,

-« Ferme-là Jedusor » cria Malefoy,

Le ton qu'il utilisa me surpris et je faillit faire tomber ma tasse de thé,

-« On me donne des ordres Malefoy », dis-je sur un ton supérieur,

-« Alors comme ça tu daigne à nous adresser la parole, nous ne sommes pas si inférieurs à toi qu'on le croyaient » me dit Malefoy sur un ton sarcastique,

-« Oui, Draco à raison, madame parfaite daigne à nous parler c'est un exploit » dit Lestrange.

Là, ils venaient de touchés un point sensible et comme j'ai toujours du mal à contrôlée ma magie ma tasse explosa et les flammes dans le feu grandirent. Je me lève de mon siège et me dirige vers le miroir qui se situe dans la pièce

-« Vous voulez parler mais avec plaisir, mais ne venais pas pleurer après »,

Je sentais que la discussion allait être longue. Je remonte mes cheveux en queue (elle était un peu désordonnée mais je m'en fiche à un point que vous ne pouvez pas imaginer), je remonte mes manches laissant apparaitre ma marque, je ferme la porte à clé et je me tourne vers eux plus déterminer que jamais.

-« Premièrement : Vous êtes en train de protester car je ne vous parle jamais mais vous n'avez jamais essayer de me parler autrement que pour m'insulter donc fermer là, deuxième chose : Je vous parle pas car j'ai peut-être une raison de le faire. » débitais-je d'une traite assez agacée.

Je leur avais cloués le bec avec un certain plaisir. Quelqu'un toqua à la porte pour nous prévenir que l'on pouvait rejoindre les adultes. Cela coupa court à notre discussion. Je me dirige vers la porte et entre dans la salle à manger.

-« Louise t'a tenue »,

-« Lâche-moi ! »,

-« Que viens-tu de dire jeune fille »,

Je l'ignore (encore), défait ma queue et remet mes manches en place puis m'assoie à côté de mon père. Les autres entrèrent prudemment dans la pièce et quand ils se retrouvèrent face à mon père, ils se raidirent et restèrent silencieux. Je reste sans expression face à la scène qui se déroulais sous mes yeux puis mon père pris la parole :

-« Bonjour mes enfants, vous devriez savoir pourquoi vous êtes présents ici et maintenant n'est-ce pas ».

Il se leva et s'approcha des autres et leur tourna autour en leur disant :

« Vous allez devenir des mangemorts, vous allez porter ma marque, la marque du mal, vous devriez être heureux »,

Ils acquiescèrent en silence,

« Dans quelques semaines, je déposerais ma marque sur votre bras, soyez en fiers ».

-« Bien maintenant que notre discussion est terminée allez-vous assoir à côté de vos parents »,

Il retourna s'assoir à sa place à côté de moi et dit :

-« Louise ma fille, viens devant pour que l'on parle mon enfant »,

Je me place devant mon père en croisant les bras.

-« D'après ce que m'a dit Serverus, tu n'as pas essayé d'avancer dans ta mission, ça me déçoit jeune fille »,

-« Oui et. Je m'en fou, je ne suis arrivée à Poudlard qu'il y a un mois, je pense que j'ai le droit de prendre mes marques et prendre mon temps, n'est-ce pas »,

-« Ne me répond pas ainsi jeune fille »,

-« J'm'en fiche ok. »,

-« Tu vas payer pour ton insolence, idiote ! Endoloris ! »,

Le sort m'atteint en pleine poitrine mais je reste debout sans avoir montrer aucune douleur ni avoir bougé d'un seul centimètre.

-« Il va en falloir un peu plus pour me faire ressentir ne serais ce qu'un minimum de douleur, tu le sais bien en plus »,

Je décide de partir sous le coup de la colère en sachant que la prochaine fois je subirais la colère de mon père. Je me téléporte dans mon dortoir et au moins j'avais sauvé mon après-midi.