/Arrêté\Je me venge... Mais à quel prix ? [FNaF/Afton Family]

Repas familial

C.C. : Um... Coucou Papa...!

Elizabeth : POURQUOI TU BÉGAIE, GRAND FRÈRE ?

C.C. : Je. Ne. Bégaie. Pas.

Elizabeth : Pas besoin de t'énerver sur moi...

C.C. : D- DÉSOLÉ LIZ ! J- JE VOULAIS PAS !

C.C. : J'ai juste mal dormi..

Michael : C'est vrai qu'essayer de me planter des morceaux de verre dans le corps, ça aide pas vraiment à s'endormir !

C.C. : Co- Comment ça ?

Michael : Tu sais, C.C. ,je suis pas idiot à ce point !

Elizabeth : Uh...?

Mrs Afton : Terrence, enfin Michael, pourquoi dis-tu ceci ?

Michael : Peut-être parce que j'ai trouvé des morceaux de verre dans ma chambre, entendu quelqu'un dedans pendant la nuit et que la seule personne capable de faire ça est C.C. !

William : Si C.C. à réellement essayer de te tuer... C'est qu'il a certainement compris que la violence peut servir plus souvent qu'on ne le pense ! Et j'en serais réellement très fier !

Mrs Afton : Wi-William... Tu ne tient pas la promesse que tu m'as faite !

William : Et bien... Je n'ai tué personne pour le moment ! Donc je ne l'ai pas rompu !

Mrs Afton : "Ne pas tuer de personnes ou encore influencer les enfants".

William : Je n'influence pas C.C., je le félicite.

Michael : Moi, je vous ai donné mes preuves qu'il a bien essayé de me tuer et tout ce que tu trouves à faire, c'est de le féliciter ! Bordel... Cette famille est vraiment merdique..

C.C. : Je suis sûr que Liz et Papa on essayer de tuer plus de fois que moi !

Elizabeth : C'est vrai..

Elle se mit à regarder tristement la table.
Sans dire un mot de plus.

C.C. : Si ça ne vous dérange pas, je vais m'en aller.

Michael : Tu ne va pas partir tout de suite, petit frère !

C.C. : Et pourquoi donc ?!

Mrs Afton : ARRÊTEZ ! J'AI BEAU ÊTRE AVEUGLE, JE PEUX ENCORE VOUS ENTENDRE ! ET PERSONNE NE PARTIRA DE CETTE TABLE TANT QUE JE NE VOUS AURAI PAS DONNER L'AUTORISATION !

C.C. : Sérieusement Maman. Tu crois vraiment que je vais t'écouter ? Si Michael et Liz veulent attendre bien sagement comme des moutons, moi, je ne resterais pas !

William : Tu as vraiment changé ses 46 dernière années...

C.C. : Seul les idiots ne change pas ! À part Michael, il a changé mais il est toujours un idiot !

Michael : C'est moi que tu traite d'idiot, espèce de... de... psychopathe ?!

C.C. : Exactement, petit con !

Michael gifla son frère en le foudroyant du regard mais C.C. garda un très grand sourire.

C.C. : Tu crois sérieusement me faire mal "grand frère" ?

Mrs Afton : CRYING CHILD AFTON ! TU TE PRENDS POUR QUI À TRAITER TON FRÈRE DE LA SORTE ?!

C.C. : Pour un enfant qui à besoin de venger sa mort peut-être.

Il tira sa langue toute noire à sa mère.

William : Tu te comportes comme un gosse de 4 ans, là, C.C..

C.C. : À deux ans de différence, je les avais encore ! Encore heureux que je sois pas mort à cet âge là ! Pas vrai, Michael..

Il se mit à son tour à fusiller son frère du regard.

Sans qu'on ne s'en rende compte, Elizabeth était en train de pleurer sur la table : elle n'en pouvais plus de cette dispute.

Michael : Je t'ai dit que j'étais désolé..

C.C. : C'EST PAS DES EXCUSES EN L'AIR QUE JE VEUX ! CE SONT DES VRAIES !

Elizabeth : A- Arêtez...! Je ne veux plus que v- vous disputiez...!

C.C. : Pardon Lizzy ! J- Je voulais pas te faire pleurer.

Il sera sa soeur dans ses bras.

Elizabeth : Tu sais que s- si tu tue Mikey, ça va aussi m- me faire pleurer. Hein ?

Tous les autres étaient en train d'observer la scène sans rien dire. C'était étrange de voir le "nouveau C.C." éprouver de la vraie affection pour un membre de la famille Afton.

C.C. : Shhh... T'inquiète.. Si tu ne veux vraiment pas que je lui fasse du mal, je ne lui en ferais pas...

Elizabeth : M- Merci C.C...!

C.C. : De rien Liz..

Il garda Liz dans ses bras pendant un long moment et finit par s'endormir.

Dans les rêves :

C.C. : Huh ? Où suis-je ?

C.C. ne se trouvait, en effet, pas dans la chambre habituelle mais dans une pièce en mauvais état. Il avait un mur juste à côté de lui et il y avait une porte un peu plus loin.

Au bout d'un moment, il finit par reconnaître le Part and Service : l'endroit où on l'avait laissé pourir pendant des années...

À suivre...