Tu veux mon caleçon ?

Un Peu D'aide

Mardi, neuf heure quarante cinq, sa faisait pas moins de huit jours qu'Elio et moi on ne c'était pas adressé la parole, huit jours depuis le cours de sport...

Pendant les cours ou nous devions travaller ensemble, ou on était a côté l'un de l'autre, il y avait cette peur que les personne autour de nous ne face de remarque ou que le professeur nous insulte... Mais on restait fixer sur le cours devant nous. On ne se regardait pas et Lou ne nous parlait pas, on était un groupe de trois et chacun faisait le travail de son côté. Le midi on mangeait a des tables diferentes, de la ou nous étions on pouvait se voir mais que se soit lui ou moi on détournait le regard. Je ne savais pas pour lui, ce qu'il vivait en ce moment la, car il n'avait pas d'ami et il était souvent seul, pour moi c'était horible, je voulais aller lui parler lui dire que sa présence me manquait, mais je ne pouvais pas. On avait très vite compris que dans ce lycée il fallait mieu être hétéro. Il y avait ce soir ou je relisais nos derniers messages, une blagues sur les gays, et j'ai vu qu'il était en train d'écrire mais aucun message n'était arrivé... Rien... Plus rien...

J'etais assis sur un banc a l'extérieure du lycée, le cours ne commençait que dans quarante minutes, j'avais levé ma tête de mon téléphone car j'aivais entendu un groupe de personne se diriger vers moi. Je ne m'étais pas trompé, c'était le groupe d'ami de Fara.
Je n'avais pas parlé à Fara depuis le cours de sport ou elle m'avait reproché de ne plus être avec elle et de l'avoir laissé manger seules. Les quleques fois où on c'était parlé c'était très froid, on se contentait d'un "ca va ?". Elle était arrivé avec quatre autres filles, elle c'était s'avancé pour me dire :

- Tim, tu es gay ?

- Genre dans le lycée on parle que de toi mec... Tu es gay alors ?

- Stéphanie...

- Ouais, quoi Fara ? Tout le lycée se pose la question.

- La ferme, Tim depuis le temps que l'on se connait tu ne me l'avais pas dit...

J'étais resté sans voix, je ne savais pas si elle avait prit ma défense ou elle voulait juste se sentir supérieur. Et les autres filles qui me regardaient, me scrutaient avec leurs aires hautaines, elles me dévisagaient et chuchotaient des choses sur moi, puisqu'elles étaient venue pour avoir des réponses. Fara continuais de me parler en me disant des choses tel que "tu ne me dis plus rien", "j'ai toujours été la pour toi", "je le savais depuis le début", "sa me dégoute un peu", "tu es sur?", "tu dois avoir honte, non ?" ... Elle ne m'avais jamais aider, c'était toujours moi pour être celui qui écoute les problèmes, se débrouillé seule elle ne savait pas faire, compter sur moi ça oui... D'une pulsion de courage je m'étais levé pour me dirigé en marche rapide dans le hall du lycée, j'avais vérifié si elle ne me suivaient pas. J'avais très vite compris qu'elles étaient juste à quelques pas derrière moi, et deux gars c'étaient ajouté au groupe, deux amis de Fara... Je m'étais précipité dans les toilettes, qui se trouvait dans le couloir non loin du hall, j'étais entré rapidement à l'intérieur, il n'y avait personne pour m'aider... Seul contre deux gars et cinq filles...

A ce moment je n'avais qu'une seule penser: ils vont me tabasser
Faire demi-tour impossible, ils étaient trop prés, passé par la fenêtre impossible elle étaient toujours fermés et trop hautes, m'enfermer dans les toilettes impossible, je ne voulais pas rester coincé... J'étais dos au mure, les deux gars avaient franchient la porte des toilettes suivent par les filles, et ils m'avaient dit : Alors le pédé on a peur, quoi tu veux sucer ma bite... sa te fait bander si je fais sa..."

Les deux mecs devant moi, touchaient leur pantalon en me lançant des insultes, les filles qui étaient derrière rigolaient, Fara aussi... Ils c'étaient approché de plus en plus de moi, qu'est qui allait m'arrivé ?
Ils continuaient à m'insulter, ils étaient seulement à quelques centimètres de moi, j'avais peur et j'étais en boule contre le mûre. Ils avaient prit mon sac pour vider toute mes affaires, les étalées sur le sol...