La mère porteuse du millionnaire

Chapitre 3

Je ne pus m'empêcher de glousser en voyant le regard que sa mère lui avait relancé.

Son frère : Quand vas-tu te taire ?

ASMA ; Je ne t'ai pas parlé à ce que je sache ?

Son frère : t'as pas ce cran, ma chère sœur ?

Amsa : mdr dagua nex

Sa mère : Vous allez la fermer ? Elhadj malick niak fayda bi kagn lala dougue

Elhadji Malick Donc ce con s'appelle comme ça.

Elle : non, je disais. Moi, c'est Amina et lui, c'est Elhadji Malick Fall, mon premier enfant.

Amsa : et moi, la deuxième et la dernière Thiatou Yayam, enfant avec beaucoup de feeling.

Elle : ay amsa nopil (tait toi)

Amsa : Ah, c'est juste au cas où elle se le demandait. Et on n'est que deux, on n'a pas de frère ou de sœur cachés.
Du moins à ce que je saches pas vrai maman
Lance t'elle en rigolant

Sa mère quant affiché un visage que je qualifierais comme surprise , surprise de ce venait de dire sa fille
Elle switch aussi rapidement avant de lancer.

Amina : Ay mane Amsa, ferme ta bouche.

Ass Malick : Bah, tu l'as appelé Assume.

Amsa : yaw mom ,...

Moi : vous allez laisser votre mère parler ou c'est trop demander ?

Ils se taisaient de suite, me regardant bizarrement. Je vois sa mère sourire.

Elle : non, je disais que je suis la mère de ces deux personnes et que je les aime plus que tout au monde depuis la mort de leur père il y a 10 ans. Je joue le rôle des deux, j'adore ma famille et donc tu dois te douter que j'adore déjà cet enfant qui est à l'intérieur de toi. J'ai tellement espéré être grand-mère. Donc, c'est pourquoi je voulais te demander de le garder, ne te le fais pas enlever, je t'en conjure.

Moi : Heu ! Je crois qu'il y a une erreur, je n'ai jamais dit que j'allais enlever cet enfant, je me suis fait inséminer, car j'en voulais, sinon je ne l'aurais pas fait.

Amsa : inséminé Yi, ma chérie. Je compatis. Tu as dû dépenser toutes tes économies pour avoir un BB. Pour qu'au final il soit celui de ce gars Lâche t'elle tshipant

Mais dis-moi pourquoi une insémination aussi ! C'est la première fois que j'entends une Sénégalaise faire ce genre de pratique, d'autant plus que les garçons du Sénégal sont tellement nombreux que t'aurais pu l'avoir gratuitement, donc je dis ça, je dis rien.

J'étais juste choquée par l'audace qu'avait cette fille.
Je regardai directement sa mère et ensuite son frère, qui avait l'air d'acquiescer à ce que venait de dire Amasa.
Je commence à bégayer, ne sachant quoi répondre.

Aminata Diop : en amsa , oh mon dieu
Excuse-la
Ah bon, je croyais que ? Ah mais alhamdoulilah ! Alors,

Elle aussi ne savait quoi dire.

Moi : oui, mais ce que je ne comprends pas, comment ils ont pu faire cette erreur. Et ce que vous me voulez réellement de moi ?

j'étais complètement perdue .

Ass Malick : c'est assez clair non ? Je veux que quand cet enfant viendra au monde, que tu me le donnes, car il est à moi.

Moi : c'est une blague ?

Ass : J'ai l'air de blaguer ? Cet enfant est mien et je veux ce qui me revient.

Moi : Non, mais attend, toi, tu te prends pour qui ?

ASS : T'es sourde ou quoi ? Je suis le père.

Moi : Monsieur. Sortez de ma maison avant que je ne vous y oblige moi-même. Rousna sa Yaye nak

Lui : MDR, ai-je bien entendu avant que tu quoi ? Mdr Est ce que tu sais qui je suis ? Je te jure que si tu ne me donnes pas cet enfant, je le prendrais de force. Me tente pas, Nak.

J'étais sidérée

Aminata Diop : Non, mais dites-moi que je rêve : YAW ASS MALICK Qu'est-ce qui t'arrive, as-tu bu ou quoi ?

AMSA : Yi bobou Sama yeuffou bop le bokoumako ak kene

Bon, ce n'est pas tout, mais il faut que j'y aille. Vous savez que je n'aime pas les disputes et je sens que ça va bientôt partir en 3e guerre. Bon, ciao, allez, future belle sœur, on se revoit le jour du mariage ou quand tu aménages à la maison.

ASS : quoi ? De quoi tu parles ?

AMSA : Ah maman Ne t'as rien dit ?

ASS : dire quoi ?

Amsa : Yii, ciao

Ass : me dire quoi, maman ?

Amina : Je veux que cette fille vienne s'installer à la maison et que tu l'épouses à l'instant même qu'elle accouchera.

Nous deux : Quoi, non plutôt mourir.

Moi : non, mais vous blaguez.
Avec tout le respect que je vous dois, Madame, vous n'avez rien à m'exiger, je ne vous connais de nulle part, vous n'allez pas venir dans ma vie et essayer d'y imposer quelque chose, je suis désolée, mais je vais vous demander de partir.
Elle : Anna, attend .

Moi : partez slvpl.

Aminata: Je pense que tu ne m'as pas entendu.
Jeune fille, assied-toi. Et
ÉCOUTE MOI .