Chapitre 30

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Dehors dans le froid, j'attends le bus mais il fallait qu'il arrive pour encore me narguer, me faire du mal. Il vient s'asseoir à côté de moi

Moi : c'est pas le moment Thomas...

Thomas : ha non?

Moi : j'ai des problèmes plus important

Thomas : donc tu t'en fou de moi

Moi : j'ai pas dis ça. Alors arrête de dire ce que j'ai pas dit.

Thomas : mais au sinon tu fais rien pour que ça aille mieux

Moi : Qu'est-ce que tu veux que je fasse pour me faire pardonner ? !

Thomas : je ne sais pas. Épate moi.

Il se leva et parti. Ho t'inquiète pas je vais t'en faire bouffer...

* * *

Il fallait que je lui parle, ça ne peut pas continuer. J'étais devant sa porte, je me lança et appuya sur la sonnette, sa charmante mère m'ouvrit

Elle : bonjour Loïs

Moi : bonjour est-ce que Thomas est là ?

Elle me fit une tête bizarre, sûrement car elle savait que ce n'était pas normal que j'appelle son fils "Thomas" au lieu de "Newt".

Elle : non il vient juste de partir à son entraînement de tennis, il y a tout juste 5 minutes...

Moi : ha. Et il rentre vers qu'elle heure ?

Elle : ho très tard, vers 11 heures...

Moi : ha. Merci quand même au revoir.

Je réparti et puis merde je fis demi-tour et alla m'asseoir sur une marche des escaliers devant sa maison. Maintenant il n'y a plus qu'à attendre.

Pdv Thomas

Alors ça pour une surprise ça en est une. Ouais elle a réussi à m'épater. Loïs Miller, assise devant ma porte, endormie alors qu'on est en hiver et qu'il fait 3° vu qu'il est 11h30... J'entra, déposa mes affaires et alla chercher Loïs dehors pour la conduire dans mon lit, elle était complètement gelée.

* * *

Pdv Loïs

Mes yeux papillonnent pour s'habituer à la lumière, je suis dans une chambres, celle de Thomas. Il est assis sur une chaise.

Thomas : je pense que... T'es complément dingue

Je me redressa

Moi : et c'est bien ou pas ?

Thomas : *rire* oui

Moi : donc tu me pardonnes?

Thomas : largement oui!

Il esquisa une large sourire, je souria à mon tour

Thomas : hé bien. Qu'est-ce que tu attends pour me serrer dans tes bras

Je me leva et le pris dans mes bras, je le serra aussi fort que je pu.

Thomas : c'était quoi le problème plus important que moi

Moi : mon frère, Mathis. Il s'est fait renversé, il est dans le coma à l'hôpital.

Thomas : ho je suis désolé

Moi : t'inquiète pas tu pouvais pas savoir...

Pour finir je raconta tout ce que n'avais pas pu lui raconter... Mis à part mes poignets. On décida de descendre

The last Summer TimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant