Fire demons

Chapitre un

Roxane.

Un goût métallique qui me coule dans la bouche me réveille. Je suis assise, là ,sur une chaise, les mains liées dans le dos. J'ai mal partout, ma tête pend, un bâillon traverse mes lèvres. Avec le peu de force qui me reste, je relève tant bien que mal ma tête. De mon œil valide je regarde autour de moi.
Je suis dans une pièce sans fenêtre, une ampoule pend au bout de son fil. Seul une table contre un mur habille la pièce. Je suis fatiguée, blessée.

Le bruit de la porte qui s'ouvre me sort de ma transe.

- Alors? Salope qui est tu? Me demande l'homme en face de moi.

Je suis un soldat surentraîné, la douleur, la torture , je connais et j'ai appris que pour ma survie moins j'en dis mieux je me porterais. Enfin pas physiquement mais je resterais en vie. Alors je ferme ma gueule.

-tu va répondre salope? Hurle-t-il en me giflant.

Toujours rien ne sort de ma bouche alors l'enfer s'abat sur moi une fois de plus. Je reçoit une multitude de coups sur tout le corps.
Mais une chose est sûr: je sers mon pays et mes binôme vont se pointer, reste plus qu'à attendre.

Je me réveille la tête encore rempli de se cauchemar. Je revis inlassablement ses scènes toute les nuits. Elles me laisse aucun répits. La, au fond de ma mémoire attendant que l'obscurité se pointe pour envahir mon esprit.

Je me lève, pour me diriger dans la salle de bain. Une douche s'impose, histoire qu'elle enlève les dernières traces de se cauchemar.

L'eau coule le long de mon corps qui se frigorifie au fur et à mesure que l'eau froide laisse place à l'eau glaciale. Après mettre laver, sécher puis habiller , je descend dans la cuisine me chercher mon graal.

Depuis notre retour, nous avons décider de vivre sur les terre du club pour être le plus proche possible de Naya.
Je m'en veux tellement de ne pas avoir su la protéger. Les parents était méchant verbalement, physiquement avec elle. Tout ses tortures psychologique et apprendre qu'est qu'une relation sexuel en l'obligeant à les regarder me donne la gerbe.

Ayant couper tout contacte avec Naya, nous avons jamais était mis au courant de tout sa. Mais la roue tourne et le karma réclame son dû. Alors que nous étions en permission, je me suis payer une virée par notre ville natale. J'ai enfreint la seule règle: ne jamais rentrer en contact à Naya. Mais je ne regrette rien.

Après avoir suivi et surveiller ma sœur. Je n'ai pas mis longtemps à voir se qu'ils chercher à cacher.
Ma sœur, une des quatre partie de moi humiliée, insulter  à laisser sortir le monstre qui se réveiller seulement en mission.
Je suis rester là, à attendre les deux jours qui libérerais Naya de leurs emprise.
Deux jours plus tard, elle partait pour Belfast et moi après une longue discussion avec mes parents. Je les ai tués et leurs corps seront à jamais introuvable.

Je vis avec se secret depuis plusieurs année. Sa me ronge, mais je devais le faire, la protéger contre leurs folies.

Je suis sortie de mes pensées par quelques frères qui viennent prendre leurs petits déjeuner. Et comme à mon habitude le matin, je décroche pas un seul mot.

Notre vendetta n'a pas plus a tout le monde. Mais après quelques jours de cohabitation tout est rentré en l'ordre.

- salut ! Me dit un Troy la tête dans le cul.

Je le regarde, malgré que ce soit mon frère tant que mon café n'est pas bu je ne décroche pas un mot. Mais avec l'habitude, il fait la conversation pour deux.

- putain je me suis pris une de c'est cuite, encore. Ah et putain, hier je me suis envoyer en l'air. Tu devrais faire pareil. Sa éviterai que tu sois toujours sur les nerfs. Continu-t-il a déblatérer.

Mon café fini, je me lève et l'embrasse sur la joue. Récupère le sac que j'ai fait à mes pied et part direction la forêt derrière le club. En sortant de la cuisine, je lance  un coup d'œil par dessus mon épaule et vois mon frère, une lueur de tristesse dans ses yeux.

Il sait se que je vais faire, mais je dois dormir. Et un lit, une chambre c'est beaucoup trop. Je m'enfonce dans la forêt et après choisis un arbre robuste et aux branche large. Je monte et installe mon pactage pour dormir quelques heures. La, au dessus de tout, je me sens en sécurité.