𝐋'𝐞́𝐜𝐡𝐚𝐩𝐩𝐞́𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫𝐞𝐮𝐱 - En cours

~𝒞𝑒𝓈 𝓅𝑒𝓃𝓈𝑒́𝑒𝓈 𝒾𝓃𝒸𝑒𝓈𝓈𝒶𝓃𝓉𝑒𝓈~

Je resta alors pendant quelque minutes à regarder cette œuvre , à détailler chaque détail , chaque coup de crayon qui étais déposé sur le papier jaunis.

Après un bruit d'oiseau qui avait résonné dans la verrière , je repris alors conscience et regarda  tout autour de moi , comme si j'étais observée.
Je décida alors d'écrire un mot, une petite lettre , pour lequelle j'étais si douée.

« Cher anonyme , qui es-tu ? Comment connais-tu mon royaume ? Et quel message veux-tu me faire passer à travers ce dessin ?
PS : Tu es réellement doué en dessin. »
Je ne voulais pas lui dire que j'avais reconnu la statue , peut être s'en était-il juste inspiré ? A moins qu'il , ou elle , sache très bien qui j'étais.

Ce message , me faisait plutôt peur mais cela redonnait à mon ennuyante vie , une once d'aventure.
Je laissa alors le mot avec ma partition, il m'avait offert son œuvre je lui offrait donc la mienne. Je posais alors mon offrande sur mon piano noir et partis , lentement, en jetant des petits regards de chaques côtés de  mon jardin secret.

Je m'allongea alors dans mon lit , dans la chambre situé dans le couloir 3 du 2eme étage du château. Cette chambre étais coloré de teinte sauge et vert foncé , des nombreux draps et miroir étaient disposé sur chacun des murs ce qui donnaient une atmosphère oppressante mais pour autant relaxante . Sur le rebord de ma fenêtre était aussi disposés de nombreuses plantes , auxquelles j'avais donné un nom.

Sur mon lit je rêvais , j'imaginais cet mystérieuse inconnu , et pour la première fois je m'autorisait à y penser car très souvent , je me l'interdisait.
Je me l'interdisait car mon anxiété et mes crises de panique rendait mes sentiments trop compliqué , j'avais l'impression de toujours m'attacher trop vite . Typique des balances d'après les astrologues.
C'est sur cette pensee que je m'endormît, et partis pour un nouvel endroit  imaginaire qui régnait  dans mon esprit.

....

Je me réveilli le matin suivant , avec les rayons du soleil m'éblouissant à travers le rideaux vert. La première chose à laquelle je pensait n'étais , bizarrement, pas à l'aventure d'hier mais au fait que je n'avait pas déjeuner.
Je descendit donc en légère tenue a la réfectoire de l'université. Ce ne fut seulement lorsque j'arriva a la dernière marche de l'escalier , qui donnait une vue sur l'entièreté des élèves en train de déjeuner que la fameuse pensée qui m'attendait depuis la veille apparut dans mon esprit comme les vagues sur la plage.
J'écarquilla les yeux en fixant quelque uns des élèves qui m'avais remarquée, planté dans l'escalier en pensant :
« Cet merveilleux inconnu avait déjà vu la statue à l'intérieur de ma chambre , il est donc forcément parmis les adolescents innocent en face de moi. »