"Nous sommes réunis aujourd'hui afin d'unir monsieur Kyméo Scott Bennaou et mademoiselle Mariama Angèle Mokasi par les liens sacré du mariage ..."
Je n'écoutais même plus le maire faire son discours, je ne pensais qu'à la suite : maintenant qu'on allais vivre ensemble comment serai ma vie au coté du garçon réputer pour obtenir ce qu'il veut de n'importe quelle femmes, je me tourna vers mon père je l'aimais encore même si lui m'avais donner a cause de l'argent c'est peut être sa l'amour vache . C'est a ce moment que ma tante me pinça le bras.
"-Oui. je le veux
-Vous pouvez embrasser la mariée"
Kyméo se retourna vers moi,attrapa ma nuque, m'attira à lui, me donna un baiser que je ne lui rendit pas. Quand nous nous séparâmes, nos deux familles se mirent à hurler leurs bonheurs. Quand nous fûmes sortis de la mairie ma belle-mère me prie dans ces bras et me dit:
"-Bienvenue dans la famille ma fille, je suis heureuse que mon fils se pose enfin avec une fille bien élever !!
-Merci Grâce , je ...
-Maman, t'inquiète pas Mariama et moi c'est parfait " Kyméo me prie par la taille et me pressa doucement la hanche, ce fût là mes seules mots de tout mon mariage: Kyméo parlait pour nous deux et sa m'arrangeai bien vue que je n'avais nulle envie de discuter .
18h30, Arrivé dans la salle de réception, Kyméo se pencha vers moi et me dit :
"-Ne croit pas que c'est parce qu'on est marié que je vais me contenter de toi, tu n'est que l'officielle.
-Si tu croit que moi j'espère quoi que ce soit de toi, je ne t'aime pas alors fait ce que tu veut avec qui tu veut j'en ai rien a foutre tant que tu me laisse tranquille " Kyméo me regarda et sourit mais pas le sourire qu'il affichait depuis le début de la soirée, plutôt le sourire d'un assassin avant de tuer sa victime, il me faisait peur mais je fit face en lui rendant son sourire et en reprenant part a la fête qui se déroulait pour nous en se moment même. Après cette fête que j'avais trouver quand même assez chouette, mes parents daignaient enfin me ramener à la maison.
Trois jours après mon mariage, je me préparai à allez vivre avec "l'homme de ma vie" (ironie) , Kyméo et son père sonnèrent à la porte, j'ouvris la porte et les invita à entrer ma mère dit:
-Bonsoir Johakim, alors Kyméo tu viens chercher ta femme ?
-Oui, et d'ailleurs nous devons partir. Mariama où sont tes affaires ma puce ?"me demanda t-il.
"Ma puce" donc il voulait jouer au mari aimant devant mes parents et bien nous seront deux à jouer à ce jeu là
"-Dans ma chambre, tu pourrais aller me les chercher mon amour elle sont trop lourdes pour moi"
- ... Très bien je vais les chercher" me répondit-il
1-0 pour moi j'avais gagner la bataille, mais je n'était pas sûre que Kyméo se laisserait battre aussi facilement. Après avoir installé mes valises a l'arrière de la voiture, nous allâmes déposer le père de Kyméo et nous nous mirent en route pour aller chez nous. Quand nous fument arrivé dans notre maison,je n'en crus pas mes yeux :
"- C...C'est chez nous sa !?!?!?
- Mdrr t'es bizarre comme meuf toi ben bien sûre que c'est chez nous j'lai pas volé cette baraque
-Mais t'a que 18 ans tu taffe pas alors comment tu te l'ai payer cette maison ?
-C'est un cadeau de mon père, pour son fils et sa belle-fille
- Whaou, elle est trop belle j'adore
-Bon breff tiens prend tes valises et va les ranger dans la chambre
-La...La chambre on va dormir ensemble ?
- Ben bien sûre on va dormir ensemble, qu'est ce que t'a cru qu'on allait vivre ensemble sans jamais se parler
- On est pas obliger de dormir ensemble pour se parler tu sais je peut très bien dormir dans une chambre d'amis sa ne me dérange pas ". Kyméo me sourit, ce sourire qu'il m'avais lancer au mariage, il s'approcha de moi, je recula il y avais une entre une tension malsaine s'installa entre nous, Kyméo s'avança encore , moi en reculant se me coinça entre le mur et le plan de la cuisine américaine:
"- Qu'est ce que tu fais ?"; ma voix trahissait ma peur et il l'avais comprit, Kyméo m'embrassa avec violence commença à me tripoter, je compris alors ce qu'il avait décidé de me faire, je lui mordit la lèvres et en me dégageant tomba par terre. Kyméo m'attrapa par les cheveux et me traîna jusqu'au escalier, arrivé au escalier il me frappa encore et encore puis me laissa là en pleurs.
C'était à ce moment que mon calvaire a commencé