Les douleurs du passé m'accompagnent au présent
Comment ferai-je pour choisir mon futur
Vouloir en faire une aventure
Reste simple comme pendre son temps
Me dire que je dois être pertinent
Pour qu'un jour j'abandonne ce qui n'est pas important
Et mes larmes reflètent ardemment ce que j'ai perdue
Puis j'ai douté comme ceux qui ont crû
Afin d'entendre le bruit qu'elles faisaient en tombant
Lorsque l'amertume de leur goût s'impose dans le bitume
Leur poids se résume par une seule chose, sortir avant que mon cœur explose
Et l'on me dit :
- Garde espoir tu veux !
Mais l'un de nous deux, n'y verra que du feu
Si l'autre oublie de faire un vœu
Fasciné par la mort je cherche à lui faire du tort
Une fois en colère je peux faire des siennes
Comme nuire à ce qui me fait de la peine
Et mon cœur devient une zone de non droit
Car, le masque tomber l'on commence par te pointer du doigt
Puisque la vie est un combat dis-moi ce que tu vois
Je veux juste croire en moi
Et pour cela je n'ai pas besoin de douter de toi.
Donc je songe puis me ronge les ongles lorsque je plonge dans ce rêve qui me comble et trempe ma plume dans une encre sombre pour que je raconte ma fable, au bras de l'infortune j'ai parlé à la lune afin de connaître ses combines car ma peine vient aussi de ceux qui croient à l'Eden.
Je voudrais tellement que ma haine succombe à cette douleur
Qui se décide à vouloir que la mort m'emporte avec douceur
Et va savoir pourquoi je n'écris que la nuit
Surtout celles où je m'ennuie
Dans une vie entourée de drame
Je me demande quand est-ce que mon écriture rendra l'âme.