Les Maux Du Mal

Indifférent

J'avais une idée, mais je voulais quelque chose de mieux, peut-être une philosophie. C'était amplement une envie. Je voulais dormir sans peur, je me demandait quand est-ce les larmes deviennent des pleurs ? Et comme l'odeur se passe des fleurs, le corps lui, aime sans cœur. L'âme vibre t elle sans sœur ? La peine éprouve-t-elle de la douleur ? La haine avoue t elle son amour, lorsque le ciel nous apparaît sans couleur et que la mort trouve le sommeil ?

Je mélange tourments, doute, peine et joie comme si mon histoire avait commencer avec un "Oubliez-moi"
Lorsque la nostalgie s'empare de moi, je pars sans dire au-revoir, je sais que l'on se perd de vue dans le noir.

Je ne relie pas un texte pour garder son pouvoir et ceux que j'écris veulent m'émouvoir.

Là, arrive une tonalité, loin du monde, de tous et de celle qui incarne mon monde. Puis une envie de vomir mais l'absence de larmes m'inonde. Les mots conduisent mon âme pour échapper à douleur du corps. Pour que je me confie très peu à mon cœur qui manque d'humanité et je finis par faire preuve d'ipséité.

Pourtant, je me méfie du mépris
En lui vouant une tristesse infini
Mais sa cruauté surpasse mon génie.