Quel rêve n'ai-je pas fait, de jour comme de nuit sans forcer ?
Alors que tout le monde répétaient la même chorale
Assis au bord d'une falaise sans que personne ne râle
Et en voulant m'y asseoir je suis tombé:
Aussi immuable que mon tendre cœur bat lorsque je dis je t'aime;
J'apprendrai à volée coûte que coûte pour atteindre ce vide où tout le monde la ferme ;
Mais bon tu me dis de vivre ma vie alors que tu n'es pas à mes côtés,
Pourtant, des angoisses tu m'en as ôté
Et ma peur de la page blanche en fait rire plus d'un,
Je leur remercie pour çà vu qu'une plume offre plus, en étant zinzin;
Afin d'être libre dans un monde imaginaire par l'écriture d'un taquin,
Puisque celui qui recherche sa vérité raconte quelques baratins
Pas pour plaire mais pour qu'on ne fasse pas de lui un pantin
Et je respire tout les jours puisqu'il faut croire au lutin
Apparemment cela fait partie de la « lex »... eh oui je parles latin!
Lorsque je blesse quelqu'un je demande pardon, vous pouvez en être certain
Pourtant mes sentiments se bousculent en devenant immonde
Et entre moi et mes rêves il n'y a qu'une épée à double tranchant
Pour captiver leur regard je dois peindre un soleil couchant...
Alors, je répète que j'ai dû pleurer pour que la vie me sonde.
Pourquoi je doute toujours même après avoir partagé ma peine
Puisque, quoi que je fasse cet art coule dans mes veines ...