Apprends-moi/fan-fiction camr...

By leence3

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Céder au désir pourrait leur faire tout perdre, mais comment résister ? À 18 ans, Camila a tout perdu : sa mè... More

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Partie 2
Partie 3
Partie 4
Partie 5
Partie 6
Partie 7
Partie 8
Partie 9
Partie 10
Partie 11
Partie 12
Partie 13
Partie 14
Partie 15
Partie 16
partie 17/1
Partie 17/2
Partie 18
Partie sans titre 19
Partie 20
Partie 21
Part 22
Partie 23
Partie 24
Partie 25
Partie 26
Partie 27
Partie 28
Partie 29
Partie 30
Partie 31
Partie 32
Partie 33
Partie 34
Partie 35
Partie 36
Partie 37
Partie 38
Partie 39
Partie 40
Partie 41
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Partie 43
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Partie 45
Partie 46
Partie 47
Partie 48
Partie 49
Partie 50
Partie 51
Partie 52
Partie 53
Partie 54
Partie 55
Partie 56
Partie 57
Partie 58
Partie 59
Partie 60
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Partie 93
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Partie 95
Partie 96
Partie 97
Partie 98
Partie 99

Partie 78

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By leence3


   Camila

Lorsque nous arrivons dans la maison des Hamptons, il est tard. Le soleil s'est couché et a laissé place à une magnifique pleine lune qui baigne la propriété d'une lumière quasi irréelle.

Lauren gare la moto dans le garage, puis nous nous dirigeons vers la maison, main dans la main. Il fait doux, l'air est agréable. Au bout du jardin, la mer s'étend jusqu'à l'horizon. Ce soir, je trouve la maison splendide, avec son architecture mi- ancienne, mi- contemporaine.

Rien à voir avec la maison de la Havane.

Lauren, elle, est toujours à couper le souffle, mais j'ai l'impression de la voir pour la première fois. Peut-être parce que j'ai le droit de l'embrasser, dans un endroit similaire où j'ai cru devenir folle de dépit.

Je me tourne vers elle pour atteindre ses lèvres. Ses mains se posent sur ma taille et elle se penche vers moi. Sa langue cherche la mienne, et un léger gémissement m'échappe. Le contact de sa bouche sur la mienne m'affole.

Je ne sais pas ce qui se passe ce soir, mais c'est comme si toutes mes sensations étaient décuplées.

La route a été longue, mais je ne me sens pas du tout fatiguée. Le week-end s'annonce comme une parenthèse, et je n'ai pas l'intention d'en perdre une miette.

- Je meurs d'envie de me baigner, m'écrié-je tandis que nous posons nos affaires au salon.

- Maintenant ? demande-t-elle.

- Evidemment !

Elle effleure mon bras nu, enflammant chacune des cellules de ma peau au passage.

- Que dirais-tu d'une baignade dans la crique ? suggère Lauren. Il n'y a rien de mieux pour se détendre après un long trajet à moto.

J'attrape mon sac à dos. J'espère que Dinah a pensé à y mettre mon maillot de bain ! Je ne le trouve pas, d'abord, mais en fouillant, je reprends mes recherches fébriles.

- Il te manque quelque chose ? demande Lauren en me voyant retourner énergiquement le sac et en vider le contenu sur le sol.

C'est bien un coup de Dinah, ça... Elle a peut-être fait exprès de l' « oublier » !

- Je n'ai pas de maillot de bain ! grogné-je en fouillant dans les affaires étalées.

- Ah ? Et c'est un problème ? demande-t-elle d'un air mutin en se dirigeant vers sa chambre.

Au même moment, je tombe sur une petite pochette en plastique portant l'inscription :

Est-ce bien nécessaire ?

Je souris en pensant à ma diabolique amie, l'ouvre, et découvre mon maillot de bain.

En remettant mes affaires dans mon sac, je découvre une robe de plage à fines bretelles jaune.

Encore un coup de Dinah.

Mais cette fois, je lui suis reconnaissante d'avoir glissé cette robe dans mes affaires. Je n'ai jamais vraiment porté de jaune, mais la couleur correspond bien au lumineux week-end qui s'annonce et je monte me changer.

Quand je redescends au salon, Lauren m'attend. Elle marque un temps d'arrêt en me voyant apparaître au bas de l'escalier.

- Tu es magnifique, Camz, glisse-t-elle d'une voix grave qui m'envoûte.

Vu son regard, il faudra que je pense à remercier Dinah.

Main dans la main, nous empruntons le petit chemin au bout du jardin, qui mène à la crique. Nos doigts s'entrelacent, nos yeux se cherchent, l'air me semble surchargé d'étincelles de désir qui volent autour de nous.

Quand nous arrivons dans la crique, je pousse un cri de joie. Quand nous posons le pied sur la plage. J'enlève mes sandales pour sentir le sable doux sous mes pieds et je fais quelques pas avant de m'asseoir à côté de Lauren, face à la mer.

Il fait particulièrement chaud, ce soir. A moins que ce ne soit lié au fait que Lauren vient de passer un bras autour de ma taille. En tout cas, le frisson brûlant qui vient de naître au creux de mes hanches commence à irradier dans mon corps.

Soudain, nous poussons toutes les deux un cri de surprise. Nous les avons vues en même temps et nous échangeons un regard ébahi. Quelques secondes après que nous nous sommes assise, comme si le spectacle commençait juste pour nous, deux baleines sont apparues à l'horizon. Le jet d'eau qui fuse de temps à autre et les immenses masses sombres ne trompent pas.

Lauren et moi nous levons d'un bond, pour mieux apercevoir les animaux marins. Leurs souffles s'élèvent dans le lointain, leurs queues battent les flots plusieurs fois. C'est presque aussi fascinant que les yeux verts, émerveillés, de Lauren.

Je voudrais que cette nuit dure toute ma vie.

Les cétacés ont disparu, nous laissant la sensation d'être hors du temps et du monde.

Une énergie nouvelle coule dans mes veines.

- Ça me donne envie de me baigner ! m'écrié-je.

J'enlève ma robe jaune d'un coup, et l'envoie valser au hasard. C'est dans les bras de Lauren qu'elle atterrit. Je me retrouve devant elle, en maillot de bain deux pièces, plus à l'aise que jamais. Elle me suit du regard, et j'ai soudain conscience que mon corps lui plaît beaucoup. Je fais quelques pas autour d'elle, comme un défi, avant de courir vers l'eau dans un grand éclat de rire qui monte jusqu'à la lune.

- Hé, attends-moi ! lance-t-elle.

Tandis que je m'enfonce dans la mer, je devine qu'elle retire son jean à la hâte. Dommage, je loupe le spectacle. Elle ne tarde pas à me rejoindre dans les flots et me saisit par la taille. Je pousse un cri de surprise au contact de son corps tiède qui contraste avec les éclaboussures glacées, et je constate qu'elle est nue. Elle ne s'est pas embarrassée de maillot de bain, et le spectacle de sa nudité, trop rapidement dérobé par les vagues, est étourdissant.

Sans autre forme de procès, Lauren me saisit sous les bras et les genoux. M'emportant comme une mariée, elle progresse au milieu des vagues. Une fois qu'elle a de l'eau jusqu'au milieu de sa poitrine, elle s'arrête d'avancer. Nichée dans ses bras, je cherche ses lèvres avec passion lorsque, soudain, une vague plus forte que les autres emporte mon soutien-gorge, mal noué. Lauren me lâche et se met à chercher le morceau de tissu autour de nous.

Un premier mouvement de pudeur me pousse à le chercher fébrilement, puis finalement, je renonce.

Je me place alors derrière Lauren et j'entoure sa taille de mes bras, comme sur la moto. Mes seins nus pressent son dos. Ses fesses galbées frottent contre mon sexe, que mille fourmillements envahissent aussitôt. Lauren s'immobilise un instant, comme pour profiter de ce contact. Je pose la joue sur son dos sensuel et me plaque un peu plus contre ses fesses.

- En fait, je m'en fiche, de ce bout de tissu ! m'écrié-je. Inutile de le chercher.

- Tu es sûre ?

Sa voix résonne, puissante, et vibre jusque dans ma poitrine.

- Absolument sûre.

Je pose les mains sur son tatouage, dont je dessine patiemment les contours. Lauren se retourne brusquement entre mes bras, à la recherche de mes lèvres. Elle me saisit et, sans aucun effort, me hisse à sa hauteur. Nos yeux s'aimantent. J'enroule les jambes autour de ses hanches. Mes tétons pointent contre sa poitrine nue, tendus par la fraîcheur de l'eau autant que par le désir.

- Ça valait bien la peine de le chercher comme une dingue, grogne-t-elle amusée, d'une voix qui me transperce de part en part.

- J'espérais bien que tu l'enlèverais, glissé-je contre ses lèvres, mais puisqu'il a disparu tout seul, ça sera toujours du temps de gagné, tu ne crois pas ?

- Du temps de gagné pour quoi ? demande-t-elle.

Elle essaie de jouer les innocentes, mais sa voix rauque et son regard farouche la trahissent. Ses mains me serrent les fesses, ses lèvres se perdent dans mon cou avec une fièvre sauvage. Mes jambes se nouent autour d'elle, et, dans ce mouvement, mon intimité s'affole.

- Alors, reprend-elle d'une voix de plus en plus rauque. Pourquoi tu veux gagner du temps, exactement ? On est libres. On a tout le temps qu'on veut...

- Justement, on est libres, complètement libres... Et j'ai envie de toi, glissé-je au creux de son oreille.

Je suis la première étonnée par mes paroles, mais je les assume absolument.

- J'ai envie de toi..., répété-je plus fort.

Je crois que je pourrais le hurler à présent.

- J'allais te faire remarquer que tu n'avais pas fini ta phrase, sourit-elle, l'air enchanté par l'urgence de mon désir. Mais tout est très clair.

Sa bouche mordille le lobe de mon oreille, puis descend le long de mon cou, jusqu'à mes tétons, qui se raidissent aussitôt.

- Et tes désirs sont des ordres..., dit-elle d'une voix rauque qui me fait vibrer.

Ses lèvres se collent aux miennes avec force. En un gémissement incontrôlé, j'entrouvre les lèvres et nos langues se livrent aussitôt un ballet tumultueux. Mes jambes s'arriment à ses hanches, ses mains empoignent mes fesses. Mon intimité pulse contre son bas-ventre.

Les vagues me frappent les côtes.

- Tu frissonnes, souffle-t-elle.

A vrai dire, je ne sais plus si j'ai froid ou si j'ai chaud. Il me semble que l'eau est froide, effectivement, mais je brûle de l'intérieur.

Lauren m'emporte vers la plage. Là, elle me dépose délicatement sur le sable, à côté du tas de serviettes de bain qu'elle a emporté avec nous.

Séparée d'elle, la frustration est terrible. Tout mon corps se tend vers le sien, comme s'il était en manque.

Lauren saisit une immense serviette de bain et elle entreprend de sécher chaque parcelle de mon corps. Je ne sais pas en quelle matière sont ces draps de bain, mais ils sont plus doux que de la soie. Chaque mouvement qu'elle imprime sur ma peau est aussi bon qu'une caresse. Elle s'attarde sur les oiseaux, sur mon épaule, comme si elle prenait soin de les sécher particulièrement. Mon omoplate n'a jamais été une zone érogène. Pourtant, j'ai l'impression que tout mon corps brule quand elle pose les lèvres sur mon tatouage.

- Ça va mieux ? demande-t-elle d'une voix troublée, derrière moi.

Je n'ai plus froid du tout. J'ai plutôt très chaud. Surtout depuis que j'ai senti ses mains se balader sur mes fesses.

Abandonnant la serviette, elle me caresse maintenant les seins tout en m'embrassant le cou. Quand elle frôle mes tétons du bout des doigts, il me semble que je vais perdre la raison.

Cette fois, c'est sûr, je brûle.

L'eau pourrait s'évaporer toute seule, sans le secours d'aucune serviette de bain.

Elle me retourne face à elle et me caresse les seins de ses lèvres. Elle en lèche le sel laissé à la surface par l'eau de mer puis les mordille tour à tour. Je ressens aussitôt mille fourmillements au creux de mon sexe. Traversée par une onde de plaisir aussi fugace que violente, mes jambes se dérobent. Surprise par la force de la sensation, je laisse échapper un cri de plaisir qui résonne dans la nuit et me ramène à la réalité. Je jette un œil autour de nous, légèrement inquiète à l'idée que quelqu'un puisse m'entendre.

- Il n'y a personne, Camz. Personne ne peut nous voir, ni nous entendre..., lâche-t-elle tendrement en reprenant de plus belle ses assauts.

Je m'appuie sur sa poitrine pour ne pas vaciller. J'en découvre à mon tour le goût un peu salé, et je dessine ses seins avec mes lèvres, savourant chaque parcelle de sa peau, me laissant électriser par ses grognements de plaisir.

J'attire Lauren au sol, sur l'épais matelas de serviettes. Là, comme si la clarté de la pleine lune me donnait des désirs nouveaux et plus sauvages, je la pousse doucement sur le dos et la contemple d'un air gourmand qui la fait sourire.

- J'ai envie de te goûter toute entière, murmuré-je.

Elle me répond d'un soupir. Du bout de la langue, je trace le chemin qui descend de son nombril jusqu'à son sexe. Sa peau frissonne sous mes lèvres quand je m'approche son intimité.

- Camz..., murmure-t-elle d'une voix hachée par le désir.

Je poursuis mon chemin et j'explore du bout de la langue ses petites lèvres. Je suis la fente mouillée et palpitante, encouragée par les soupirs de plaisir de Lauren, étonnée par la violence du désir qui monte entre mes cuisses. Grisée par ces nouvelles sensations, je me penche un peu plus vers son sexe et écarte ses lèvres. Je titille son clitoris avec ma langue tandis qu'un de mes doigts la pénètre lentement. Lauren se redresse un instant, puis retombe sur le dos, terrassée par un spasme qui lui secoue le corps.

- Camz, murmure-t-elle soudain d'une voix étouffée et rauque, qui descend en moi comme une caresse.

Sa voix est suppliante et je comprends qu'elle est à fleurs de peau. Quand je lève les yeux vers elle, elle me regarde avec une fascination qui me fait sourire.

Je m'allonge à côté d'elle.

- Tu me rends folle, Camz, murmure-t-elle dans mon cou, traduisant en mots l'expression farouche que j'ai vue passer dans ses yeux.

Elle me pousse délicatement sur le dos.

- A mon tour, glisse-t-elle, presque haletante.

Ses doigts brûlants font le tour de mes seins, s'attardent sur mes tétons puis descendent le long de mon ventre. Sans hâte, mais sans lenteurs inutiles, embrasant tout sur leur passage. Lauren ne me quitte pas des yeux, comme pour scruter chacune de mes réactions, guetter chacun de mes soupirs.

Laissant ses doigts s'aventurer au bord de mon sexe, elle pose la bouche sur mes tétons qu'elle mordille. Après m'avoir arraché plusieurs spasmes de désir, sa bouche quitte ma poitrine pour rejoindre mon ventre. Au moment de descendre sous mon nombril et vers mon sexe, Lauren m'interroge du regard.

- Tu es d'accord ? murmure-t-elle tandis que ses doigts se glissent au bord de mon sexe.

Incapable de parler, je gémis et me contorsionne pour manifester mon impatience. Ses doigts ouvrent alors délicatement mon sexe, puis sa bouche s'approche lentement. Sa langue s'immisce au creux de mon intimité, et un gémissement m'échappe.

Je ne suis plus intimidée comme la première fois. Je me cambre à sa rencontre. Je me laisse aller à ses coups de langue diaboliquement précis. Lâchant prise, je me laisse gagner par le plaisir, qui monte à une vitesse qui m'effraie presque.

Ma main descend à la recherche de la sienne, posée sur mon ventre. J'entrelace mes doigts aux siens. Et, ainsi amarrée, je me laisse empoter par l'onde de plaisir qui ne tarde pas à me submerger. Je perds le contrôle. Un cri de volupté m'échappe, que je ne cherche pas à retenir.

Lauren me jette un regard intense, heureux, puis elle remonte doucement le long de mon corps, posant de légers baisers sur moi, sans me lâcher la main.

Le vent s'est levé, mais loin de me rafraîchir, c'est comme s'il se mêlait au souffle de Lauren pour attiser, déjà, un nouveau brasier. Tout mon corps est à vif, mes terminaisons nerveuses sont devenues ultrasensibles. Les légères caresses de Lauren déclenchent un nouvel incendie dont les braises couraient déjà sous ma peau.

Contre ma cuisse, son sexe palpite. Je glisse mes doigts entre ses lèvres mouillées et la caresse doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Lauren grogne, gémis, puis brusquement, bascule sur moi. Ses yeux se plantent dans les miens. J'écarte les jambes pour les nouer autour de son corps, comme dans l'eau tout à l'heure, et mon sexe, mouillé et chaud, glisse sur son bas ventre.

- C'est tellement nouveau pour moi. Nous deux..., souffle-t-elle, heureuse. Je n'ai jamais partagé ça avec personne. Je voudrais que ça dure toute la nuit...

- Euh... ça dépend à quelle heure arrivent les premières personnes sur la plage ? dis-je avec malice.

- Pas avant 9 heures... On a toute la nuit.

Son rire soulève sa poitrine contre la mienne et les vibrations se propagent dans mon corps, pour venir directement alimenter l'incendie qui ravage le creux de mon sexe.

- Je ne vais pas tenir longtemps, Lauren. Je brûle, murmuré-je en oscillant sous elle, cherchant à faire entrer en contact nos deux sexes.

- Tu veux dire que tu veux..., lâche-t-elle.

- C'est fois, c'est toi qui ne finis pas tes phrases !

- C'est parce que j'aime quand tu me le demandes..., dit-elle dans un souffle.

- Et moi, j'aime te le dire, chuchoté-je. J'ai envie de toi, Lauren...

Elle glisse deux doigts en moi, doucement, avec une lenteur étudiée. Le frottement à l'intérieur de moi déclenche un déluge de sensations. Au premier coup de poignet qu'elle donne, je ne sais plus où je suis, ni qui je suis. Et il me semble que ce n'est plus si important. La seule chose que je sens, c'est Lauren qui glisse un troisième doigt dans mon sexe humide dans une explosion de sensations délicieuses. Mon sexe se contracte à chacun de nos mouvements, le sien se frotte sur ma cuisse, et nous gémissons à l'unisson. Sa bouche se fait vorace. Elle mordille ma lèvre inférieure, comme pour tenter de rester lucide. On dirait qu'elle a du mal.

Moi aussi.

J'entends les vagues qui s'approchent, la marée monte. Et puis tout disparaît, je ne suis plus qu'un corps palpitant dans les bras de la femme que j'aime. Lauren s'enfonce un peu plus, et j'ai l'impression que nous ne faisons plus qu'une, que nous nous appartenons corps et âme.

- C'est tellement bon, Lauren, c'est...

Elle me jette un regard fou et nos mouvements deviennent sauvages. Un coup de poignet plus profond que les autres m'arrache un gémissement qui semble venir du plus profond de moi et se perd dans le fracas de l'océan.

Son orgasme se mêle au mien. Nos déclarations et promesses d'amour, prononcées d'une même voix essoufflée, montent vers la lune. 

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