Together Forever

Autorstwa meggyGbl

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Emmy Clarke, bientôt 18 ans, vit littéralement un enfer chez elle depuis ses années de collège. Sa mère est t... Więcej

Description des personnages
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 13
Chapitre 14
Description des personnages 2
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
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Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28

Chapitre 12

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Autorstwa meggyGbl

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PDV Emmy

On est le premier Lundi des vacances et me voilà dans un avion pour Houston. Je pars une semaine là-bas et je suis extrêmement heureuse. Je vais revoir mes amis les plus chers.

Ma tante Garance et ma cousine Bailey sont avec nous. Elles nous ont racontés pourquoi elles sont arrivées à l'improviste Samedi. Enfin, c'est plutôt Bailey qui me l'a dit.

Je vous explique : hier, alors que j'étais dans ma chambre, tranquillement en train d'écouter de la musique, j'ai vu passer Bailey devant ma chambre en pleurant. Je suis allée la voir et elle m'a expliquée que c'était officiel. Sur le moment j'ai pas compris. Mais elle m'a dit que ses parents passaient une mauvaise passe dans leur couple. Ma tante ne supportait plus mon oncle alors elle est partie avec sa fille. Elle m'a dit, je cite : "c'est officiel, ma mère demande le divorce à mon père". Je suis réellement tombée des nues. Jamais j'aurai cru qu'ils pourraient divorcer un jour. J'ai essayé de la rassurer du mieux que je pouvais en lui disant que ce n'était pas grave, qu'ils reviendront ensemble parce qu'ils sont fait pour être ensemble. Mais autant parler à un mur. Elle ne cessait de pleurer et j'avais mal au coeur de la voir comme ça. Finalement, Garance est venue la réconforter et depuis ça va mieux. Enfin physiquement. Je pense qu'elle doit avoir le moral à zéro. Je leur ait proposé de m'accompagner à Houston pour leur changer les idées. Elles connaissent déjà mes amis et je suis sûre qu'ils seront contents de les voir.

Léane est là aussi. Mes parents sont, évidemment, pas là. Mon père, toujours condamné à travaillé et ma mère n'a jamais apprécié mes amis.

Bien sûr, je n'ai pas prévenue Merylie et Hayden, mes deux meilleures amies. Ça va être une surpriiise !!! J'ai trop hâte d'être à Houston.

C'est vrai qu'en faisant mes bagages, j'étais un peu triste. Oui, triste car je ne verrai pas Nathaniel pendant une semaine et comme on dit loin des yeux, loin du coeur.

Avant de monter dans l'avion, j'ai reçu un texto de Nathaniel et Lola.

Message de Nathaniel :
« J'ai vu que tu partais avec des bagages. Je suppose que tu pars en vacances. J'espère que la conversation de Samedi n'a pas affecté notre relation. Bonnes vacances Emmy. »

Je lui ai répondu :
« Oui, je pars à Houston. Merci. »

Je lui en veux de m'avoir caché qu'il était redevenu ami avec son ex. Mais pour être honnête, je ne sais pas si notre relation à changé.

Message de Lola :
« C'est trop bien que tu rentres à Houston ! Tu feras un coucou de ma part aux potes. Amuse-toi bien ! Bisou. »

Je lui ai répondu :
« T'inquiète, on t'appellera. Merci ! Bisou. »

Je suis contente qu'on soit de nouveau proche. Elle m'a beaucoup manqué. Évidemment, on a pas récupéré notre connexion d'avant mais c'est en bonne voie.

Après trois heures de vol, l'avion atterri à l'aéroport d'Houston. Juste après avoir récupéré nos valises, nous montons dans un taxi qui nous amène droit chez Merylie. J'en profite pour appeler ma mère puisqu'elle m'a demandé de l'appeler à notre arrivée. C'est elle qui répond en première.

« Allô ? »

C'est bizarre, c'est pas la même voix que d'habitude. Elle est plus grave.

« Oui, maman ?

– Euh non, elle est sous la douche. Qui est-ce ? »

Sous la douche à cette heure là ?

Mon téléphone me montre toujours l'heure de Los Angeles. Il est midi. Mais en attendant, je sais toujours pas à qui je parle.

« Mais plutôt toi t'es qui ?

« Oh ! Euh... son collègue de travail. »

Son collègue de travail? Mais elle est en vacances.

« Pourquoi elle serait avec son collègue alors qu'elle est en vacance ? »

J'entends des grésillements et la voix de ma mère me répond.

« Coucou, vous êtes bien arrivées ?

– Oui, on est dans un taxi là.

– Bon d'accord. Tu peux me passer ta soeur ?

– Euh oui. »

Je passe mon téléphone à Léane.

« C'est pour toi.

– Allô maman ? »

Je détourne mon regard vers ce paysage que je connais. Ce paysage qui m'a manqué.

Bientôt, nous arrivons à Midtown, un quartier central d'Houston. Je reconnaît parfaitement les lieux. Quand j'habitais encore ici, seulement quelques rues me séparais de mes amies. Merylie et moi étions voisines alors que Hayden habitait deux rues plus loin. Du coup, on pouvait facilement faire des soirées ensemble sans faire des kilomètres et des kilomètres. C'était plutôt pratique.

Quand le taxi s'arrête devant la maison de Merylie, c'est clairement un retour dans le passé. Rien à changer. C'est comme si je n'étais jamais partie. Les décorations de Noël n'ont toujours pas bougées. Enfin, elles ont jamais bougées.

"Comme on fête Noël tous les ans, je vais pas m'embêter à les enlever et les remettre chaque année." m'avait-elle dit. J'avais souris en entendant sa phrase. C'est une grosse flemmarde cette fille.

Je saute en dehors du taxi tandis que Garance paie le chauffeur. Nous attrapons nos valises et admirons la maison quelques instants. La taxi part et bientôt seul les bruits des oisillons se font entendre. Midtown a une partie ville et une partie un peu campagne. Dans cette partie du quartier, il y a des arbres un peu partout qui entourent toutes les maisons. On n'entends absolument pas les bruits de la ville.

Je suis la première à m'avancer et je toque trois coups à la porte. Habituellement, je serai rentrée sans toquer, j'aurai jeter mon sac par terre, basculée dans la canapé et allumée la télé avant de crier "MERYLIE, VIENS FAIRE À MANGER, J'AI FAIM !" et bien évidemment, elle serai descendu en râlant et prétextant que je suis assez grande pour me faire un goûter moi-même.

C'était la bonne et vielle époque...

Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre. Merylie apparaît avec un sandwich dans la bouche. Elle me regarde, d'abord étonnée, ensuite super contente.

« Surprise ! » criai-je en souriant.

Elle me saute au cou, son sandwich dans la main.

« Emmy ! Je suis trop contente de te voir ! Si tu savais, j'ai tellement de choses à te raconter ! »

Elle me regarde puis fait la bise à tout le monde.

« Hum... hum... »

Je me retourne en entendant un raclement de gorge et découvre le gars que j'avais vu sur snapchat il y a plus d'une semaine.

« Ah ! Salut euh... Dave ? C'est ça ?

– Salut ! Non, c'est Dean. »

J'ai vraiment un problème pour retenir les prénoms !

« Oh, excuse moi, j'ai une mémoire de poisson rouge.

– Bon, les amis ! s'écrie Merylie. Je pari que vous avez pas manger et que vous venez chez tatie Merylie pour avoir un bon repas, n'est-ce pas ?

– Comment as-tu deviné ? fais-je en rigolant.

– Parce que je connais une certaine morfale au nom d'Emmy, dit-elle en me faisant un clin d'oeil.

– En même temps, ta cuisine est juste succulente !

– Merci ma poule ! » dit-elle en souriant.

Elle passe le seuil de la porte et nous la suivons à le queu-leu-leu. Une fois à l'intérieur, je regarde les pièces comme si je ne les avais jamais vu. Vraiment rien à changer. Les objets de collection de sa mère sont toujours dans le buffet marron, le canapé et la télé n'ont pas bougés et le meuble à chaussures est toujours aussi rempli.

Je m'avance dans la cuisine et m'assois sur une chaise. La table est assez grande pour que nous puissions tous nous assoir autour.

« Bon alors Emmy, c'est comment la vie à Los Angeles ? » demande Merylie en sortant des assiettes d'un placard.

Dean sort une grosse casserole du frigo et la pose au milieu de la table.

« Super !

– Juste super ?

– Bah j'ai une vie tout à fait normale mais vous me manquez trop ! »

Elle s'avance et nous distribue une assiette avec des couverts avant de commencer à servir des pâtes.

« Toi aussi, tu nous manques Emmy. »

Je souris tandis qu'elle pose une grosse cuillère de pâtes dans mon assiette.

« Désolé, on a que des pâtes. » s'excuse Dean.

– Pas grave. On meurt de faim ! » lance Garance.

Nous nous attaquons à notre plat en discutant de tout ce qui s'est passé depuis mon déménagement.

Après avoir mangé, Merylie nous a proposé de rester chez elle pendant quelques jours puisque ses parents sont en voyages d'affaires.

Pendant que Garance et Bailey rangent leur bagage dans la chambre d'ami, Merylie décide d'appeler Hayden pour lui demander de venir chez elle. Bien sûr, elle n'a pas parlé de ma petite visite.

« Elle arrive dans cinq minutes ! Pars vite te cacher ! » me dit-elle.

Je cours me cacher derrière le canapé et quelques minutes après, la sonnette se met à sonner. Je me retiens de rigoler en pensant à la tête qu'elle va faire.

« Salut Hayden !

– Alors, c'était quoi ton urgence ?

– Oh, euh...

J'entends la porte se refermer.

« Ah ! Je sais ! s'exclame Hayden.

– Ah oui ?

– Tu peux pas passer une seule journée sans moi ! »

Je les entend éclater de rire. Je jette un regard furtif vers mes deux meilleures amies. C'est le moment parfait ! Hayden est dos à moi. Je m'avance à pas de loup pour tapoter ma main sur son épaule. Elle sursaute et se retourne, visiblement surprise. Au même moment, Merylie se rapproche de moi.

« SURPRISE ! nous crions toutes les deux à l'unisson.

– Emmy !! » hurle-t-elle en se jetant sur moi, ce qui me fait vaciller et tomber à la renverse.

Hayden reste accrochée à moi alors que nous sommes littéralement avachis sur le sol.

« Je suis trop heureuse de te voir !

– Je sais que tu m'aimes Hayden, mais j'étouffe un peu ! »

Hayden se relève et tend sa main pour également me lever.

« Scuse. Bon alors, t'es là depuis quand ?

– Depuis ce midi.

– Et tu m'a rien dit ? demande-t-elle en regardant Merylie, le sourire aux lèvres.

– Sinon ça serait plus une surprise !

– Je vois... donc j'étais la seule pas au courant. Super les amis ! dit-elle en prenant une petite mine vexée.

– Faux ! Merylie n'était pas au courant. Elle a eu droit aussi à ma petite surprise ! »

Nous rigolons ensemble, comme au bon vieux temps. Et ça me fait un bien fou.

Pendant une heure, nous restons allongées sur le lit de Merylie à papoter du passé, de nos péripéties actuelles et des nombreuses conquêtes amoureuses d'Hayden, évidemment sans succès.

Bailey nous rejoins.

« Coucou les filles, dit-elle en s'asseyant à côté de moi.

– Ça vous dit qu'on aille faire les boutiques ? lance Merylie.

– Beh carrément ! s'exclame Hayden. Allez, c'est parti les amis ! »

J'adore cette fille. C'est une petite folle toute drôle, comme Merylie mais en largement plus folle et plus hystérique. En même temps, si elles n'étaient pas ce qu'elles sont, nous ne serions probablement pas amies.

Je sors de la chambre de Merylie pour prendre ma valise qui est toujours devant la porte d'entrée. Hayden me rejoins et attrape son sac à main sur la table. Je fais rouler ma valise jusqu'à la chambre de Merylie.

« Je suppose qu'on dors ensemble.

– Évidemment ! » fait-elle.

Je balance ma valise sur le lit et l'ouvre pour prendre mon petit sac à main noir et doré puis repars dans le salon. Toutes équipées d'un sac à main, Merylie saisie ses clés de voiture. Soudain Bailey part précipitamment dans la cuisine puis reviens après.

« Je prévenais juste maman qu'on sortait. »

Nous sortons de la maison pour s'installer en voiture. Merylie démarre le moteur et Hayden, qui est côté passager, décide d'allumer la radio pour mettre un peu d'ambiance. Tandis que nous roulons vers la ville, j'admire ces paysages familiers.

Quand nous arrivons au grand centre commercial The Galleria, c'est la cohue. En plus, comme la structure contient deux étages et que le plafond est ouvert, ça résonne énormément.

J'adore ce centre commercial ! Il a un immense choix de magasin et une grande patinoire au centre du rez-de-chaussée.

Je venais souvent ici avant. C'était ma routine du Mercredi après-midi avec Hayden et Merylie.

Nous montons à l'étage puisque la plupart des magasins se trouvent au premier et deuxième étage. Le rez-de-chaussée étant surtout l'endroit des restaurants.

On se dirige vers le premier magasin de vêtements. Je salue le vigile qui se tient à l'entrée et lui, me lance un petit bonjour, étonné.

C'est drôle, les vigiles mon font penser aux gardes d'Angleterre. Ils sont là à faire le guet et les gens leur passe devant comme si ces pauvres bonhommes rouge et noir étaient invisibles.

Je vois Hayden se ruer vers les gros pulls douillets, Merylie et Bailey vers les pantalons, et moi je pars du côté des robes.

Peu de temps après, j'arrive dans les cabines avec deux robes d'été et une robe d'hiver à la main.

« Merylie ? Hayden ? Bailey ? »

Une main sort de derrière un rideau et bouge frénétiquement.

« Je suis là. »

Je rejoins Merylie dans sa cabine et me déshabille pour essayer les robes.

Après les essayages, je décide de m'acheter une robe courte blanche à dentelle qui moule au niveau du buste et qui part en évasée après. Hayden s'est acheté un pull gris moumoute, Bailey deux pantalons slim bleu marine et enfin Merylie qui finalement a acheté une jupe courte bordeaux.

À la suite de ces deux heures de shopping, nous partons en direction d'un McDonnald's. Nous nous prenons un menu et des mcflurry. Merylie et moi prennons, évidemment, un mcflurry caramel m&m's.

Ce sont les meilleurs !

Après nous être clairement goinfrées, nous rentrons chez Merylie, les bras encombrés de sacs.

Arrivée à destination, je sors de la voiture et rentre dans la maison accompagnée des filles. Je me dirige dans la chambre de Merylie pour déposer mes sacs puis rejoins ma tante.

« Tu nous prépares quoi de bon ? »

Garance sursaute, surprise de ma venue. Les filles font leur entrée et ma tante sourit.

« Un chili con carné, ça vous va ?

– Oui ! fais-je en sentant l'odeur qui se dégage de la poële.

– Super ! Tu vas pouvoir me montrer comment tu le fais. s'exclame Merylie.

– C'est pas très bien compliqué. »

Je sors de la cuisine, laissant les expertes de la gastronomie entre elles, pour m'affaler dans le canapé du salon. Je zappe plusieurs chaines tandis qu'Hayden et Bailey s'installent à mes côtés.

* * * * * * * *

Après avoir mangé, nous avons joué à des jeux de sociétés puis nous sommes parties dans la chambre de Merylie.

Toutes les quatre sommes installées en cercle sur le lit de Merylie. Nous papotons encore et toujours.

« Et on passe devant un gars qui ramassait une fleur du coup j'ai ouvert la fenêtre et j'ai crié « C'est trop mignon, c'est pour qui? », dit Hayden alors que Merylie pouffe de rire. Il s'est retourné et bien sûr il y avait un feu rouge.

– Et moi, je vois le mec courir vers la voiture, c'était trop drôle ! fait Merylie en rigolant. Et la tête qu'elle a fait quand je le lui ait dit, c'était juste hilarant !

– Tu parles d'une copine ! Parce que le feu est passé au vert et elle a pas voulu avancer !

– Et le mec alors ? demandai-je.

– Il est arrivé à ma fenêtre et ma donné la fleur qu'il avait ramassé !

– Mais c'est trop mignon ! lance Bailey.

– Et t'as demandé son numéro je parie, dis-je.

– Même pas ! proteste Merylie.

– Mais pourquoi ? C'était peut-être l'amour de ta vie !

– Mais arrêtez de me dire ça, je vais culpabiliser ! »

Nous sommes coupées par l'arrivée de Garance.

« Je vais au lit, ne vous couchez pas trop tard.

– D'accord, dit Bailey.

– Bonne nuit les filles.

– Bonne nuit. »

Elle sort de la chambre et nous reprenons notre discution.

« Tu me déçois Hayden..., souriai-je.

« Bon ! fait-elle. Parlons d'autre chose sinon je vais VRAIMENT culpabiliser ! »

Nous rigolons face à son attitude. Puis Bailey se lève en nous disant qu'elle part se coucher.

« Bon, va falloir se serrer, le boulet dort avec nous, dis-je en regardant Merylie.

– C'est moi que tu traite de boulet ? » S'écrie Hayden.

Nous éclatons de rire et nous nous mettons en pyjama puis nous nous glissons sous les couvertures.

Nous somme clairement serrer comme des patates.

Alors que la chambre est noyée dans la pénombre, Hayden se met à chanter.

« Ah qu'est-ce qu'on est serré, au fond de cette boite ! Chantent les sardines, chantent les sardines ! »

J'éclate de rire et Merylie ne tarde pas à me suivre.

« Ah qu'est-ce qu'on est serré, au fond de cette boite ! Chantent les sardines entre l'huile et les aromates. »

Et elle s'arrête pour elle aussi rigoler.

Non mais cette fille !

Après cette jolie interprétation de Hayden, nous continuons à parler, ne trouvant pas le sommeil.

Finalement, nous réussissons à nous endormir, une trentaine de minutes plus tard.

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