LES TURPITUDES D'UN MARIAGE P...

By QueenKimshy

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Mossane rencontre Abdourahmane par le plus grand des hasards. Née alors une passion fulgurante entre eux. Il... More

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CHAPITRE 3
CHAPITRE 4
CHAPITRE 5
CHAPITRE 6
CHAPITRE 7
CHAPITRE 8
CHAPITRE 9
CHAPITRE 10
CHAPITRE 11
CHAPITRE 12
CHAPITRE 13
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CHAPITRE 19
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AFTER 1

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By QueenKimshy

à ma soeur Abibatou Ndiaye ❤
à Princess SN
à Aïssatou Ba, ma mauritanienne adorée.
à Lacakla
à Dijaatou
à Ndeye Ndioro Thioye
à Dabiscoudi
à Mina Sow Dione
...

AÏCHA NDIAYE

Je n'ai jamais pensé que faire quelque chose m'aiderait autant que ça dans la vie, dans mon affirmation personnelle et surtout que j'en serai aussi épanouie.

Je vis tout simplement. Je rencontre des gens super avec qui j'ai tissés de très bonnes relations, qui m'ont ouvert l'esprit et fait voir le monde sous un autre angle. Côtoyer autant de personnes me fait le plus grand des biens.

Abdourahmane m'a aidé à monter mon affaire entièrement et surtout a su m'orienter quand je lui ai exposé mes idées qui, au début n'étaient pas assez claires.

J'ai ma petite affaire maintenant, avec trois employées, toutes des femmes, des battantes. On s'en sort super bien, Dieu merci. J'aide mes parents autant que je peux et surtout, je ne centre plus ma vie autour d'Abdourahmane, j'ai de nouveaux centres d'intérêt, des objectifs.

Entre nous, c'est le statut quo total, je dois dire. En fait, il n'y a plus rien et quelque fois même il m'arrive d'en rire. Jamais je n'aurai cru qu'un homme serait capable de rester de marbre devant une femme avec qui il partage ses nuits, son lit.

Et pourtant, j'ai usé de toutes les astuces possibles pour le faire flancher mais rien de rien. Et à la fin, j'ai fini par me sentir ridicule car même en me couchant toute nue devant lui, il ne réagissait pas. En fait dans sa tête surement je devais être un homme, un pote qui dormait à côté de lui.

Pire encore, quelque fois, il me disait clairement que je suis celle par la faute de qui sa vie est devenue un enfer.

Je paie très cher tout ce que j'ai fait ces derniers temps. Petit à petit, il m'énumérait toutes les choses que j'avais faite à sa chère et tendre Mossane, mes mensonges, mes bassesses comme il les appelait.

Ça c'était quand je le sentais complétement à bout, que l'envie d'être avec Mossane était intenable pour lui. Il lui arrivait alors d'être verbalement très violent avec moi. Il me disait qu'il avait été trop indulgent avec moi, qu'il aurait dû être plus ferme avec moi car tout simplement, j'étais juste ce genre de femme avec qui il fallait avoir une main de fer.

Abdourahmane n'avait jamais été comme ça, il n'avait jamais eu ce genre d'écart de langage ni avec moi ni avec aucune autre personne. Et pire, il pouvait rester plus d'une semaine où il ne me parlait pas, ne me saluait pas, ne me regardait pas.

Il était tout juste obsédé. Mossane était devenue l'obsession d'Abdourahmane. Il avait cette femme dans la peau, c'était comme une drogue pour lui. Et pour gérer tout ça, je restais au travail jusque tard dans la nuit. Et ces jours là, il attendait que les enfants dorment pour sortir de la chambre pour ne revenir qu'à l'aube, prendre sa douche et aller au travail, sans me regarder sinon me jeter un regard de dégout, de dépit. Abdou avait changé, beaucoup changé.

Et elle, elle est restée insensible face à sa douleur. Je commence à croire que serigne amna parce que quand Mossane était là, Abdou a fait le tout pour la reconquérir mais dés l'instant qu'elle est parti, quand on lui parlait d'elle ou qu'on lui demandait s'il s'entendait au téléphone, peu importe qui lui demandait, il s'énervait et devenait une autre personne. Je voyais en lui deux extrémités: la rage et l'amour.

Rien d'explicable.

Je n'ai jamais cru aux marabouts jamais mais quand j'ai commencé mon affaire, je suis allée voir quelqu'un pour qu'il formule des prières pour que les choses marchent pour moi.

Alors j'y suis retournée pour lui demander de prier pour moi, pour mon mari, pour ma famille, mon ménage car j'étais vraiment inquiète de l'attitude d'Abdou. Il m'a tout simplement dit que je ne pourrais être heureuse que le jour où sa deuxième reviendrait dans sa vie, il a dit qu'il allait prier pour nous parce qu'il n'y a rien d'impossible pour Allah le Tout Puissant.

Donc mon bonheur dépendait de Mossane. Quelle ironie!

Je suis donc allée voir un autre, recommandé par une de mes employées, vers Ndiakhirate. Et là aussi même chose. Il faut que mon mari retrouve sa deuxième. J'ai demandé comment faire? Il m'a dit qu'il faudrait qu'Abdou ou Mossane viennent le voir.

Autant mourir car si jamais Abdourahmane apprend que je suis allée voir un marabout, il me tuerait et pour Mossane vraiment, j'ai fait ce que j'ai pu.

Et quand toute cette histoire a commencé à me lasser, je lui ai crié mon ras-le-bol :

-Abdourahmane Sall, je veux qu'on parle une bonne fois pour toute. J'en ai assez d'être là devant toi comme un meuble. Je suis une femme, ta femme. J'ai besoin d'affection, d'amour. Si tu n'es pas capable de me donner ça, libère moi.

-je ne pense pas que tu veuilles que je te libère, sinon tu serais partie depuis belle lurette. Fi yafi teuyé sa bop Aïcha (personne ne te retiens ici), m'avait-il craché à la figure avec une indifférence qui m'a glacé le sang sans levé les yeux de son livre.

Ça dégringolait entre nous mais là, c'était vraiment partie en vrille.

Je suis alors sortie et j'ai erré dans les rues jusque tard dans la nuit et quand je suis revenue, il ne dormait toujours pas, il lisait toujours son livre.

Qu'était devenu Abdourahmane? Qui était cet homme en face de moi? Qu'est ce qui a bien pu se passer? Tant de questions que je me posais à chaque fois que j'étais en face de lui, face à son indifférence, sa froideur.

Le lendemain, quand il est parti au travail, il m'a envoyé un message disant juste qu'il était désolé et qu'il ne pensait pas vraiment à ce qu'il disait. Il m'a aussi dit que si c'était ce que je voulais vraiment, il allait partir et me laisser la maison avec les enfants.

Donc, mafi teuyé sama bop
(Rien ne me retenait dans ce ménage).

MOSSANE SARR

Il est temps pour moi d'accepter la proposition de Maty. Sa clinique s'était élargie et marchait vraiment. En un rien de temps, elle avait acquis une grande renommée et elle avait besoin de personnel et me harcelait depuis plus d'un an pour que je vienne travailler avec elle.

La fonction publique m'offre une sécurité sans nulle égale mais Maty me fait une proposition plutôt alléchante.

Personnellement, j'ai envie de retourner à Rufisque, m'occuper de mes affaires et réaliser quelques petits projets qui me trottent la tête depuis quelques temps. Mais surtout, après les dernières vacances, les garçons ont été catégoriques: ils ne reviennent pas au village. Donc toutes ces choses m'ont "forcé" à vouloir retourner à Rufisque, à la civilisation comme disent mes trois chipies qui pourtant adorent le village. Je ne compte pas le nombre de fois qu'elles y sont venues.

Partir n'est pas facile. Quitter Yilfa a été très difficile pour moi. Mon premier poste. J'y ai vécu des moments d'intenses émotions, j'y ai fait des rencontres que je n'oublierai jamais. J'y ai appris la vie. Yilfa a changé ma perception des choses. Tout autant, j'y ai vécu des moments très très difficiles devant les quels j'ai failli abandonner. Comme cette fois où j'ai été impuissante devant la décision indiscutable divine, quand j'ai perdu une patiente à peine sortie de la puberté, enceinte et n'ayant fait aucune visite prénatale. On l'a amené chez une matrone qui n'a rien pu faire face à une forte hémorragie qu'elle n'avait du reste pas comprise. On me l'a amené tard dans la nuit, après treize de travail.

Elle est morte avec son bébé à peine montée sur la table. J'ai eu du mal à m'en remettre. Mais c'est la vie bien qu'on arrive jamais à s'y faire.

Mes jumeaux différés ont bien grandi. Mouhamed a maintenant quatre ans et mon petit papa, Djamil en a trois. Et ça fait trois ans qu'avec Abdourahmane on a divorcé.

Je retrouve Rufisque. Les souvenirs me submergent. Tout est intact dans ma tête, dans mon coeur. Rien a changé. La distance nous aide juste à tenir.

« loin des yeux loin du cœur » n'est qu'une belle illusion dont on se berce pour se mentir à soi-même, car le soir dans mon lit, il m’arrivait de pleurer en me remémorant les moments passés avec lui, quand ses bras me manquaient atrocement et que je voulais juste tout foutre en l'air et aller le retrouver.

Des hommes qui me draguent, j'en vois à la pelle. Ça me fait drôle de me faire draguer en fait. Ils me font rire plus qu'autre chose. A la longue ça m'énerve de les voir insister en me sortant des trucs à la con genre « c'est pas parce que quelqu'un qui ne connait pas ta valeur t'a brisé le coeur que tu dois me mettre dans le même sachet que lui » ou bien « si tu n'essaies pas tu ne sauras jamais que je suis celui qu'il te faut. Et je serai un bon père pour tes enfants » et j'en passe.

Puis quoi encore? Qui même leur a dit que mes enfants avaient besoin d'un autre père? Non mais. J'en ai même vu des polygames, très jeunes avec deux femmes déjà et qui n'étaient là que pour trouver une femme avec qui coucher et qui se prendrait en charge elle-même, parce que travaillant. Mais, ceux là, je ne leur répondais même pas. Borom diabar kagn merci rek. Polygamie kagn koumaci wakh sakh ma bagne la. Je reste sur ma position: si je ne peux pas avoir mon mari à moi toute seule, je mourrai vieille fille.

Je suis retournée à Rufisque !

J'ai voulu prendre un appartement avec les enfants mais papa m'a clairement signifié que si ce n'est pour aller chez Abdourahmane, je ne sortirai pas de la maison. Et ils font tout pour me faire céder car je n'ai pas la paix à la maison. Lui et maman me mènent la vie dure juste pour que je retourne avec Abdou, je me sens plus qu'à l'étroit même.

Abdou a inscrit les petits dans la même école qu'Amadou et maman Coumba. D'ailleurs, ils passent la journée à la maison au lieu de rester à l'école, jusqu'à ce qu'il viennent les récupérer à la descente du travail parce que Aïcha travaille et n'a plus beaucoup de temps.

Je suis heureuse qu'elle ait enfin compris qu'elle n'était pas bonne à rien.

L'école est juste derrière chez moi. Amadou est super protecteur avec ses frères et ça me donne un grand boom au coeur de les voir si complices, si proches. Il a vachement grandi et mon Dieu, si Mouhamed avait eu le même âge que lui on aurait cru qu'ils étaient des jumeaux. Deeret mo fort (le sang ne ment pas).

Par ailleurs, depuis que je suis là, je n'ai vu que rarement Abdou. Nous n’avons pas les mêmes horaires en fait. Quand il vient récupérer les enfants, je suis à la clinique. La première fois qu'on s'est revu, il venait prendre les enfants, deux jours après mon retour. Mon coeur a manqué de sortir par ma gorge quand je l'ai vu debout devant la porte de ma chambre alors que je faisais le ménage.

-toc toc, je peux entrer, me dit-il.

Je le regardais comme si je ne l'avais jamais vu. Ça faisait longtemps. Il avait laissé poussé sa barbe plus qu'avant. Ce qui lui allait à merveille, depuis le temps que je lui disais de le faire, il a attendu que je parte.

Il portait un jean et un polo blanc qui lui moulait parfaitement le corps, il avait pris de la masse à ce que je voyais.

-comment vas-tu ma petite Mossane? Jolie coupe de cheveux, ça te va trop bien, m'avait-il dit avec ce sourire malicieux que je lui connaissait quand il avait toujours des idées coquines derrière la tête.

Ah ma coupe de cheveux, une bien longue histoire. Un "mal" pour un bien comme disait l'autre.

Après mon divorce et que je sois rentrée à Yilfa, il m'est arrivé des choses bizarres. Je faisais des erreurs médicales que ne ferait même pas une débutante, je confondais des médicaments, ne savait plus quel traitement administrer à une patiente donnée. Il m'arrivait de m'absenter devant une patiente qui souffrait sur la table d'accouchement, je me réveillais et refusais d'aller travailler juste parce que je n'en avais pas envie. Et la nuit c'était l'enfer pour moi, je ne dormais pas. J'étais déboussolée. Alors l'infirmière chef de poste m'a amené chez un vieux, Pa Sarr. Un petit vieux qui m'amusait beaucoup et qui disait qu'il était mon grand père parce qu’on portait le même nom. Le vieux m'a dit des choses sur ma vie que moi même j'ignorais en réalité.

Dés qu'on a commencé, il m'a dit le nom de ma mère, Rocky Ndong. Après il m'a demandé qui était Abdourahmane. Il a dit que ceux qui ont fait le travail pour semer la discorde l'ont bien fait mais que ça leur a été fatal, aussi bien le marabout que la femme car plus tard, j'ai appris par Aïcha que Mariama se battait contre un cancer du col de l'utérus après sa sortie de prison. Ma mère me le répétait tous les jours: Ne fais jamais de mal à personne parce que tout le mal que tu feras te sera retourné. Mais celui qui te touchera le paiera cher.

Et je le crois maintenant parce que le vieux Sarr venait de me le confirmer. Donc Mariama, au delà d'avoir semé le bordel dans mon couple voulait faire en sorte que ma vie soit détruite car avec toutes les bêtises que je faisais, je courais vers la catastrophe. Pour ce qui est d'Abdourahmane et moi, ce n'était pas mon problème car je l'ai quitté pour autre chose, mais pour mon travail, ma vie...

Alors, le vieux m'a donné des bains, d'innombrables bains super compliqués avec des heures et des jours impossibles.
j'avais du mal à sécher ma volumineuse chevelure le matin avant le travail et le soir avant d'aller au lit. Alors je me suis résolue à les couper et ça m'a fendu le coeur. Mais ça en valait la peine car le premier jour où j'avais pris le premier bain, j'avais fait des cauchemars terribles et au matin, j'avais eu l'impression qu'on m'enlevait toutes les charges du monde. Mon coeur surtout s'était allégé. Par la suite, avec maman on est allé à Mar Lodj et tonton Yakhya nous a amené chez un autre vieux, un parent éloigné de la famille qui lui aussi m'a donné d'autres bains et fait beaucoup de chose pour moi.

Et si vous ne croyez pas aux marabouts, aller dans la brousse et vous verrez, des gens qui, loin de la magie noire, des sacrifices insensés et complétement idiots, des mensonges, arrivent à guérir vos maux par la nature tout simplement. Des hommes qui ont réussi à percer les secrets de la nature, à aller au delà des "autres" hommes, à utiliser des sciences inexplicables pour arriver à des niveaux suprêmes de connaissances. Ceux là qui ne monnaient pas leur savoir et vous aident tout bonnement, qui n'acceptent pas de faire du mal aux autres. Ce vieux a beaucoup fait pour moi mais aussi pour mes enfants sans rien demander en retour.

Mais ça, Abdourahmane n'a pas besoin de le savoir. Je vais juste me contenter de répondre à sa question.

-je vais bien Abdourahmane. Et toi? Et Aïcha? La famille? Lui répondis-je complétement ailleurs.

-ça va. Tout le monde va très bien. Je suis venu prendre les garçons. Tu as préparé leurs affaires?

Je lui avais tendu le sac et il était parti. Comme ça, sans rien dire pour nous deux. Je sais pas, j'étais un peu déçue. Il est parti comme si on l'avait chassé, indifféremment. Pas de tu m'as manqué ni rien. Et je suis restée presqu'une heure à inhaler l'odeur de son parfum qu'il a laissé dans ma chambre.

Et le soir, sur mon lit, je discutais sur WhatsApp dans notre groupe de discussion à quatre avec mon trio quand je reçus un message de lui.

Je me précipitais d'aller le lire. Il m'avait envoyé une photo et je suis restée la bouche grande ouverte. Il a fallu qu'une bave vienne s'échouer sur ma main pour que je revienne honteusement à la réalité. Abdou veut me torturer mais je ne céderai pas, il ne m'aura pas.

Sur la photo, il était devant la glace de la salle de sport, bas de sport sous son short (il savait ce qu'il faisait parce qu'à chaque fois qu'il revenait du sport comme ça, ça me mettait dans tous mes états), torse nu, le corps parfaitement sculpté et dégoulinant de sueur. La virilité personnifiée. J'en devenais fiévreuse sur le champ. Et la photo était accompagnée de ces mots « je le maintiens depuis trois ans rien que pour toi...alors c'est quand tu veux ». Sans répondre, je suis allée me coucher frustrée comme jamais, en faisant des rêves que je n'oserai jamais raconter. Et depuis, c'est pareil. Chaque nuit, il m'envoie une photo et un message tellement hot que j'en suais malgré le froid.

Et pourtant, je ne répondais jamais. Pire ça me mettait dans une colère hors du commun, car quand on se voyait il faisait comme si je n'existais pas ou qu'il ne m'avait jamais envoyé de photo ou de message la nuit précédente. Il avait décidé de jouer avec mes nerfs et je ne l'accepterait pas. Je l'ai par la suite appelé pour lui dire d'arrêter, il m'a alors dit:

-que cela s'arrête ne dépend que de toi chérie et tu le sais.

Je n'étais pas au bout de mes peines avec lui.

Hello les filles 🥰😍
Voilà, je vous reposte le premier after de votre histoire.

Bon début de semaine et gros bisous🤗

😙

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