Juste Une Dernière Fois

By marian621

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Ne dis-t-on pas qu'un père est le premier amour d'une fille ? Alors que se passe-t-il lorsque ce n'est pas le... More

Chapitre 1.
Chapitre 2.
Chapitre 3.
Chapitre 4.
Chapitre 5.
Chapitre 6.
Chapitre 7.
Chapitre 8.
Chapitre 9.
Chapitre 10.
Chapitre 11.
Chapitre 12.
Chapitre 13.
Chapitre 14.
Information
Chapitre 15.
Chapitre 16.
Chapitre 17.
Chapitre 18.
Chapitre 19.
Chapitre 20.
Chapitre 21.
Chapitre 22.
Chapitre 23.
Chapitre 24.
Chapitre 25.
Chapitre 26.
Chapitre 27.
Chapitre 28.
Chapitre 29.
Chapitre 30.
Chapitre 31.
Important
Chapitre 32.
Chapitre 33.
Chapitre 34.
Chapitre 35.
Chapitre 36.
Chapitre 37.
Chapitre 38.
Chapitre 39.
Chapitre 40.
Chapitre 41.
Chapitre 42.
Chapitre 43.
Chapitre 44.
Chapitre 45.
Chapitre 46.
Chapitre 47.
Chapitre 48.
Chapitre 49.
Chapitre 50.
Chapitre 51.
Chapitre 52.
Chapitre 53.
Chapitre 54.
Chapitre 55.
Chapitre 56.
Chapitre 57.
Chapitre 58.
Chapitre 59.
Chapitre 60.
Chapitre 61.
Chapitre 62.
Chapitre 63.
Chapitre 64.
Chapitre 65.
Chapitre 66.
Chapitre 67.
Chapitre 68.
Chapitre 69.
Chapitre 70.
Chapitre 71.
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Chapitre 81.
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Chapitre 89.
Chapitre 90.
Chapitre 91.
Chapitre 92.
Chapitre 93.
Chapitre 94.
Chapitre 95.
Chapitre 96.
Chapitre 97.
Chapitre 98.
Chapitre 99.
Chapitre 100.
Chapitre 101.
Chapitre 102.

Chapitre 80.

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By marian621

*Attention chapitre avec scènes à caractère sexuelle*
Vous pouvez sauter ce chapitre si vous le désirez et attendre le 81, cela n'entravera pas votre lecture. Merci et bonne lecture à vous😉
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- James…

- Chut ! Fais-moi confiance…

- J’ai peur. Lui avouai-je tremblante.

Il prit de mes mains tremblantes le pot de glace, le posa sur la table de chevet avant de me prendre les mains des siennes.

- Je ne pourrais jamais te faire de mal même en le voulant… parce que je t’aime.

Je fermai les yeux un moment pour graver cette promesse à jamais dans ma mémoire.

Je ne pourrais jamais te faire de mal même en le voulant… parce que je t’aime

- Regarde-moi. M’ordonna James.

J’ouvris les yeux et posai mon regard sur son beau visage.

- Je ne suis pas Tom. M’affirma-t-il durement voulant me faire entrer cela dans la tête.

Ne laisse pas les blessures du passé t’empêcher d’avancer…

Je fermai les yeux me remémorant cette phrase que ma mère ne cessait de répéter à chaque fois que je ne voulais plus me battre, que je voulais abandonner ou encore que je m’apitoyais sur mon sort.

Ne laisse pas les blessures du passé t’empêcher d’avancer…

James n’était pas Tom et il fallait que je me le grave dans la tête.

- Tu n’es pas Tom. Lui dis-je en lui effleurant le visage du bout des doigts.

Tu n’es pas Tom. Me répétai-je pour me convaincre.

Il gratifia l’effort que je faisais d’un sourire. Il me prit les doigts et les apporta à ses lèvres pour les baiser.

- Fais-moi confiance. Me demanda-t-il d’un regard sincère.

J’hochai la tête et il vint porter ses lèvres aux miennes. Il m’embrassa tendrement d’une délicieuse lenteur et délicatement il me fit coucher sur le lit. Au-dessus de moi, il me porta un regard amoureux.

James n’est pas Tom…

Je me répétais cette phrase pour ne pas paniquer, mais quand James me sourit, mes craintes s’évaporèrent.
Il m’embrassa une fois de plus les lèvres, sa langue vint titiller la mienne et la guida dans une danse fiévreuse. Sa main gauche quant à elle parcourait mon corps recouvrant ma peau de frissons. Elle finit par s’arrêter sur ma cuisse, qu’il compressait à l’intensité de notre baiser.

Alors que l’air commençait à nous manquer tous les deux, James quitta mes lèvres pour torturer la peau de mon cou. Il planta de doux baisers et j’adorais quand il faisait ça. Sa main droite autrefois inactif, se posa sur mon sein gauche par-dessus sa chemise que je portais comme pyjama.

Je plaçai d’instincts ma main contre la sienne pour le stopper. D’une morsure sensuelle à mon oreille, il me chuchota :

- Fais-moi confiance.

J’eus du mal à détacher ma main de la sienne mais encore plus à respirer quand ses doigts pincèrent mon téton. Dans un mouvement d’expert, il le fit tournoyer entre ses doigts. Mon rythme cardiaque grimpa et mon souffle se fit erratique.

Je me mordais les lèvres, honteuse des sons qui sortaient de ma bouche. Un peu plus fort James me pinça le téton tout en me mordant la peau du cou d’un baiser.

- James… Ne puis-je empêcher ce gémissement.

- Je veux t’entendre. M’ordonna-t-il.

Il quitta mon cou pour se repositionner au-dessus de mes lèvres. D’un regard sévère, il me fixait.

- N’aies pas honte de moi…

J’hochai la tête déjà machinalement.

- … jamais. Termina-t-il en faisant sauter les boutons de sa chemise d’un geste brusque.

Mes yeux s’écarquillèrent quand je compris que j’étais seins en l’air et en petite culotte sous lui. Je voulus me cacher les seins mais il me prit les mains pour me les plaquer contre le lit au-dessus de ma tête.

- Jamais. Répéta-t-il.

Son regard parcourra chaque parcelle de mon corps avec attention et quand il arriva sur le côté de mon flan, il devint noir et ses sourcils se froncèrent.

- Qui t’a fait ça ? Gronda-t-il sombrement.

Je détournai le regard et n’osai lui répondre. La chaleur de ses baisers qui avait embrasé mon corps venait de s’éteindre.

Il libéra mes mains des siennes puis posa son doigt sur la longue cicatrice qui traversait une grande partie de mon ventre. Il la traça et quand il comprit qu’elle venait de mon dos, il voulut me retourner.

- S’il te plaît. Le supplia-je.

Il hésita puis décida de s’arrêter. Il me vola un baiser puis me chuchota d’une voix faible mais ferme :

- Les cicatrices sont présentes pour nous rappeler à quel point nous avons été fort. Tu n’as pas à en avoir honte. Elles témoignent ta bravoure, elles racontent ton histoire…

Je laissai une larme couler silencieusement.

- Sois en fière et raconte-les comme des légendes. Finit-il en baisant ma joue mouillée.

Il se releva et sans détacher son regard du mien, il retira son T-shirt. Son torse sculpté m’apparu et le rouge me monta aux joues. Il prit l’une de mes mains et la posa sur son torse. Il la fit tracer chacune de ses cicatrices.

- Elles racontent toutes une histoire dont je ne suis pas toutes fière… mais que je serai ravi de partager avec toi car elles ont fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui. M’avoua-t-il.

Il prit ma main et la porta à sa bouche puis baisa mes doigts sensuellement. Il prit l’autre main dans la sienne et m’incita à me relever. Agenouillée à mon tour sur le lit, je fus presqu’à sa hauteur. Il captura mes lèvres dans un baiser envoutant tout en faisant tomber sa chemise de mon cops d’une caresse sur mon épaule.

- James… voulus-je l’en empêcher.

- Fais-moi confiance. Répéta-t-il une fois de plus contre mes lèvres.

Une fois sa chemise complètement retiré de mon corps, il me posa délicatement sur le lit. Il me fixa longuement d’un regard que je pus déchiffrer mais si sombre que j’en eus presque peur.

- Je t’aime. Me dit-il pour rompre le silence de sa contemplation. Tu es si belle…

Et pour accompagner ses paroles, il fit monter dans une caresse brulante ses mains de ma taille jusqu’à ma poitrine, qu’il prit en couple avant de les malmener dans ses paumes. Il descendit par la suite l’une de ses mains jusqu’à mes fesses, avant de comprimer l’une d’elles dans sa paume de façon possessive.

- Je t’aime… répéta-t-il à nouveau.

Mon souffle était court, mon cœur cognait trop fort dans ma poitrine et son regard était effrayant. Je n’avais jamais vu ses pupilles aussi sombres qu’à l’instant et si ce n’était pas parce qu’il me rassurait avec ses « Je t’aime », je me serai enfoui depuis bien longtemps…

Mais je voulais avancer, tourner le dos à mon passé et laisser mon cœur me guider. Je l’avais promis à ma mère et je me l’étais moi aussi promis… d’être heureuse…

Je fermai les yeux et me laissai enivrer par ses baisers et caresses. Je me détendis sous son poids et me surprise à passer mes mains dans son dos en des caresses maladroites. Je le sentis sourire sur mes lèvres avant de me mordiller une fois de plus le lobe de l’oreille.

- Je t’aime…

Je souris à mon tour, heureuse de l’entendre me chanter ses mots.

- Je t’aime aussi James. Lui répondis-je dans un souffle de plaisir.

Un dernier baiser sur ma poitrine et James se redressa au-dessus de moi. Son regard soudé au mien, il fit descendre dans une caresse langoureuse le dernier vêtement qui protégeait mon inimité.

Tétanisée, son regard m’intimidait de lui faire confiance. Le temps me sembla s’être arrêté. Son regard se fit plus brûlant quand je lui apparus totalement nue. Mon corps semblait s’embraser entièrement sous les flammes de ses pupilles.

- Tu veux que j’éteigne la lumière ? Me questionna James.

Perdue dans son regard, je pris du temps à comprendre qu’il avait défait le lacé de son pantalon de pyjama et qu’il était sur le point de se mettre nu. Le stress me monta et j’essayais de le calmer.

Que devais-je lui répondre ? J’avais peur que dans le noir, je panique ne pouvant voir son visage, mais aussi, dans la lumière que le voir nu au-dessus de moi, réveille mon traumatisme.

- Non, je veux te voir. Finis-je par lui répondre au bout d’un moment.

Il parut inquiet et hésitant mais finit pas accepter ma requête. Je le vis descendre son pantalon et quand son boxer m’apparut déformé, je détournai le regard et le soudai au sien. Il me sourit innocemment et cela suffit à apaiser mes craintes.
Il s’allongea sur moi, soutenu par la force de ses bras.

- Je t’aime… Me chuchota-t-il avant d’effleurer mes lèvres des siennes.

Et quand je fermai les yeux pour apprécier ses doux baisers, je le sentis me posséder lentement. Mon cœur se figea, mon souffle s’arrêta. Je me figeai entièrement. Il releva son regard de mes lèvres pour me transpercer de ses sombres pupilles...
Elles étaient si sombres de désir et à la fois si purs d’amour que je pouvais lire en elles ses émotions les plus sécrètes … son désir, son amour pour moi, son appréhension, sa peur, son doute… il paraissait si vulnérable en ce moment que j’en versai une larme…

Effrayé, il se figea à son tour, passa une main hésitante sur ma joue et comme pour me rassurer, il chuchota :

- Je t’aime…

Je levai la main et lui caressai à mon tour la joue, j’étirai un sourire heureux et lui avouai du plus profond de mon cœur :

- J’ai confiance en toi…

Mon cœur se remplit d’un baume quand ses larmes mouillèrent mes doigts sur son visage. Il les prit de ses mains et les porta à ses lèvres pour les baiser. Lentement, il se mouva en moi. Le temps sembla reprendre son court mais dans un espace qui me semblait irréel.

Je fermai les yeux pour profiter du plaisir qu’il m’offrait. Je sentis ses lèvres se poser sur les miennes et je goutai avec gourmandises les siennes. Il alla se caler dans mon cou et je retins avec difficultés mes gémissements. Il descendit encore plus bas sur ma poitrine offerte, il me fixa d’un regard plein de promesses avant de faire de mon corps un volcan de plaisir.

Cambré contre le corps nu de James, le mien tremblait son plaisir. Ses mouvements lents en moi, ses caresses sensuelles le long de mon corps, sa bouche experte sur mes tétons durcis me rendaient folles. J’avais l’impression que j’allais exploser en de millions de parcelles de plaisir… mais James faisait durer cette délicieuse torture et ça me rendait folle.

- James… Le suppliai-je quand il cessa une fois de plus tout mouvement alors que ma délivrance approchait à grand pas.

Il me torturait, délicieusement, mais je n’en pouvais plus…

Je vais te punir de la plus délicieuse des façons…

- James s’il te plaît. Le suppliai-je quand il reprit ses mouvements d’une lenteur atroce.

Mon entre-jambe était tellement contracté que s’en était douloureux. Une larme de frustration sillonna mon visage alors que James me rendait dingue.

- Tu ne me défieras plus ? Me demanda-t-il en chantage.

- J’essaierai… lui répondis-je dans un gémissement.

Il m’esquissa un sourire ravageur avant de m’assener un coup de rein plus profond et plus fort que les précédents. Mon corps se mit en transe avant qu’il ne reprenne ses lents mouvements.

- Je n’aime pas cette réponse Mlle Afandé. Me provoqua-t-il.

- James. Le menaçai-je presque dans un timbre de voix sombre.

Il en ricana avant de s’exécuter. Plus profond et plus fort devinrent ses coups se mêlant avec symbiose aux tremblements de mon corps. Je fermai les yeux et me sentir tomber dans un autre monde. Mon corps s’alourdit, mes sens s’éteignirent, mes paupières se refermèrent et progressivement je m’en dormis le sourire aux lèvres.

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