Installer dans un bar cosy ou la musique légère meuble le silence et donne une ambiance légère à l'endroit. Je me sens à l'aise, ici, avec lui on parle de nos vie de notre enfance. J'ai appris qu'il a 28 ans, qu'on est tout les deux originaires de Los Angeles et qu'il vient ici seulement pour les affaires. Il est l'aîné de ses frère et sœur, un de chaque le garçon à deux ans de plus que moi et la fille deux ans de moins.
Ceux qu'il ma dit après, ma quelque peu refroidi.
"Tu es... fiancé ? "
Il joue avec son verre de whisky sans me regarder tout de suite. Je ressens comme un poids dans la gorge comme si j'étais prête à pleurer, jalousie, cœur brisé, je ressens plus de peine à découvrir qu'il est déjà pris que de voir Carl avec Chloé sur MON canapé, parce que maintenant que j'y pense c'est moi qui l'ai acheté.
"Oui... Tu dois te dire que je suis un connard pour sortir en boîte et danser avec une autre femme qu'elle mais... j'ai eu une journée de merde. D'abord, un de mes collaborateurs c'est avérée être un escrocs de première, un de mes chantier à donc fini par être mis en suspens. J'ai eu un accident de voiture, après avoir pris une prune par une GROSSE conne et son chewing-gum et à la fin ma fiancé ma pris la tête à cause d'une histoire de canapé..."
Il me déballe toute sa journée d'un coup et bizarrement je retrouve des similitude dont cette fichue pervenche qui semble me poursuivre. Et j'éclate de rire tout simplement après un petit temps de silence ce qui le déstabilise.
Il me regarde comme si j'étais folle, pendant que j'éponge les larmes de mes yeux.
"Excuse moi... C'est... C'est..." Je repars dans un fou rire avant de prendre mon verre de bière et de boire pour essayer de me calmer. Je crois que les nerfs joue aussi, toute la pression de c'est dernière heures est entrain de sortir dans se fou rire. Je me sens bien plus apaisé.
"Tu va m'expliquer maintenant ?" Un sourire amusé sur le visage.
Je hoche la tête alors que j'engloutis le reste de ma bière. Je repose la chope de bière et sans pouvoir me contrôle lâche un rot qui n'a rien de sexy et qui le surprend vu ses yeux exorbité et sa belle bouche entre ouverte. Je plaque ma main sur ma bouche et m'excuse mais cette fois c'est lui qui part dans un rire franc et communicatif.
C'est fou comme tout est si naturel avec lui comme si on se connaissait depuis longtemps, d'accord il est déjà pris mais rien de ce que l'on fait est mal pour l'instant. On a danser puis pris un ou plusieurs verre en parlant donc je ne suis pas une garce comme Chloé. Je fais juste ami ami avec un bel inconnu.
"Bon tu m'explique pour ton premier fou rire ?" Demande t-il à peine calmer.
"J'ai passé une journée aussi pourri que toi et j'avais aussi une pervenche mâcheuse"
Son éclat de rire me fais sourire et m'incite à lui raconter à mon tour ma journée qui contrairement à la sienne est loin de le faire rire.
"Putain mais quel connard, donne moi son nom, je vais aller lui faire bouffer sa teub par les trous de nez" dit il en déposant bruyamment son verre sur le bar.
Je souris tristement, et bois une gorgée de la nouvelle boisson devant moi. Je crois qu'on a prévue de faire tout le tour de la carte au moins une fois chacun, je suis au gin tonic.
"Je crois que je peux le comprendre quelque part, je lai fais attendre pour rien, parce que..." pompette je m'allonge sur le bar et joue avec mon verre regardant dans le vide. "Je ne lui aurait rien donner, je ne l'ai jamais aimé, je me sentais juste bien avec lui, comme un ami... Rien de plus. Je ne peux pas lui en vouloir pour ça" dis-je sans filtre, l'alcool l'a eu depuis le rot.
" C'est pas une raison, tu mérite le meilleur, il ne t'aimé pas comme il le prétendait. Il n'a pas su allumer cette étincelle qui entame les braise et allumer ton envie... Il te faut juste la bonne personne"
Au fur et à mesure de ses paroles il s'est approcher de moi et à fini par sceller nos lèvres. Sur le coup j'ai pensé à le repousser puis la douceur de ses lèvres contre les miennes, son odeur, ses mains caressant mes joues m'ont fais laissé tomber. Ce baisé est tout ce dont j'avais besoin, il panse tous mes malheurs et remplie une part de moi que je ne connaissais pas, un manque que je remplissait avec de l'air, l'ignorant, l'oubliant.
Je m'abandonne à ses lèvres et attrape son T-shirt pour l'approcher de moi. L'obligeant à se mettre debout, je l'invite entre mes jambes, mes fesses au bord du tabouret pour le sentir au plus près de moi. Sa chaleur entour mon corps et ses mains glisse de mes joues à mon cou et continue leur descente jusqu'à mes hanches suivant mes courbes. Ses mains effleure ma peau nu entre mon top et la jupe et glisse sous le tissus pour toucher un peu plus de ma peau. Je tressaille sentant mon sexe s'humidifier et se contracter douloureusement. Je lâche un petit couinement quand sa langue passe la barrière de mes lèvres et viens caresser la mienne qui suis les gestes de l'autre se battant pour la dominance.
Les sensations qu'il me procure me bouleverse alors que ma conscience et ma libido sont en pleine guerre, l'une hurle que je ne dois pas faire subir ça à la fiancé sachant que je l'ai subie moi-même, alors que ma libido tous juste réveillé hurle de perdre ma virginité avec ce bellâtre qui ma compris mieux que personne en quelque heures seulement.
Je crispe mes doigts sur son T-shirt alors que mon esprit et mon corps ne sont pas du tout en accord pourtant mon esprit faibli résiste toujours pour me faire culpabiliser.
Il s'arrête quelque instant pour grogner contre mes lèvres :
"Arrête de penser, c'est juste... toi... et... moi... cette nuit" Ses paroles sont entrecoupé de baisé gourmand sur mes lèvres.
Il recommence à m'embrasser à pleine bouche et c'est décidé, je vais faire ma Chloé, pourquoi les autres le font et moi je ne pourrais pas. En plus je ne connais pas cette fille donc pourquoi je devrais me soucier d'elle et de son bonheur au lieu du mien. J'en ai bavé assez aujourd'hui, je veux que cette journée finisse en apothéose et que celle de demain commence sous un beau soleil.
Je fais donc taire ma conscience que ma libido prend un grand plaisir à enfermer dans sa cage le temps d'une nuit.
Je me détend instantanément et enroule mes bras autour de son cou et bouge lascivement contre lui et cette chaise qui ne soulage en rien la tension de mon sexe.
"Aller vous trouvez une chambre, on fait pas dans le porno dans mon bar les jeunes !" Gronde une voix bourrue.
On se décale d'un coup et tournons la tête vers le barman barbue au look hipster qui a un grand sourire aux lèvres. J'essuie mes lèvres humide de notre échange et le contour de mes lèvres vérifiant que mon rouge à lèvre n'ai pas trop subie, en me cachant contre le torse imposant de Jace qui s'excuse auprès du barman.
"Y a pas de mal je vous taquine, c'est beau l'amour. Mais sérieusement les jeunes aller faire ça dans un endroit un peu plus intimes. Le spectacle déprime certain de mes clients et d'autre matte un peu trop... si vous voyez ce que je veux dire" dit-il sur le ton de la confidence.
Rouge, je n'ose pas regarder autour de moi pour vérifier ses dires au lieu de ça je me lève, le remercie pour les verres et m'apprête à sortir mon porte feuille pour payer nos consommation ce qui n'est pas du gout de Jace qui me regarde de travers.
"T'as cru que j'allais te laisser payer !? Ta perdu ton boulot garde ton argent et laisse moi payer." J'ouvre la bouche pour le contredire, non mais de quoi je me mêle, ok j'ai perdu mon boulot mais ce n'est pas une raison pour le laisser tout payer mais il ne me laisse pas le temps de dire quoi que ce soit et me fais taire avec ses lèvres.
"Tu es mon invité... pour la nuit, dois-je te le rappeler ?"
Si je n'étais pas noir, je serais surement rouge pivoine, je pleins les personnes ayant le rouge au joue facilement, ça doit être encore plus embarrassant pour eux. Je le regarde tendre sa carte bancaire, noir en passant, purée mais il est blindé ? Au seigneur, je flirte avec un gosse de riche qui doit être fiancé à une fille de bourge. Il est peut-être avec moi seulement pour goutter à un peu d'exotisme. Je crois que ma raison est entrain d'essayer de crocheter la porte de la cage de ma conscience car les remords et le doute recommence à faire surface. Sa main se saisissant de la mienne permette à libido de reprendre le dessus et de muselé les deux rabat-joies. Je devrais vraiment arrêter de regarder des Disney avec ma nièce via webcam moi. Je suis entrain de devenir folle.
Il fait un petit bisou sur le dos de ma main et me regarde tendrement. C'est quoi ça, je n'ai jamais partager autant de sensation avec Carl. Seigneur pourquoi m'envoyer un homme si parfait. Si c'est pour que je résiste à la tentation de la chair c'est raté. Je m'accroche à sa main et passe l'autre autour de son bras et me colle à lui pour parsemer sa mâchoire de plusieurs baisé, je laisse mes envies prendre le dessus pour une fois et c'est très agréable. Je lui fait comprendre que j'ai envie de lui en glissant ma main droite sous son t-shirt alors que ma bouche redescend sur son cou. Ma main fait de petit cercle au niveau de son bas ventre dessinant les lignes de ses abdos, je m'imagine entrain de mordre à pleine dents dans ses muscles. Je vais arrêter l'alcool à partir de maintenant, j'ai des fantasme à la limite du cannibalisme.
Désirant aller plus bas, mes doigts passe sous sa ceinture, le faisant réagir sur le champs. Il passe un bras autour de ma taille et m'attire face à lui contre son torse. Son regard bleu/gris est plus sombre et brille de ce que je pense être de la luxure.
"T'aurais pas du faire ça..." Murmure t-il d'une voix rauque.
Je comprend, que mes mains un peu trop baladeuse ont réveiller la bête dans son pantalon qui appuie contre mon bas ventre. Je me mord la lèvre inférieur et m'amuse à le titiller un peu plus en bougeant mes hanches.
"Arrête ça... sinon je te jure que j'attendrais pas d'arriver à l'hôtel"
Je souris malicieusement et me décale légèrement pour lui laisser un peu d'espace et le temps de calmer son excitation débordante. Le barman reviens avec sa carte et nous souhaite une bonne fin de soirée faisant jouer ses sourcils appuyant le sous-entendu.
Nous quittons le bar, ou Jace me demande de marcher devant lui pour cacher ce qui doit être cacher. La porte passer il m'attrape par la taille et entoure mon ventre de ses deux bras.
"C'étais pas une bonne idée, j'ai pas arrêté de mater ton cul, putain il est à croquer, le voir bouger est dangereux pour ma santé mental"
Je rigole et me cambre pour coller mon postérieur à son bassin, sentant sa bosse contre mes fesses je gigote encore une fois avant qu'il ne me pousse pour aller jusqu'à la voiture. Il m'ouvre la porte, l'esprit trop embrumé par l'alcool, il met sa main dans son pantalon se souciant peu des personnes passant dans la rue et arrange son engin dans son pantalon.
J'ai jamais eu aussi hâte de toute ma vie de voir un homme nu. Il monte côté conducteur et nous conduit à son hôtel qui est à 10 minutes du bar.
C'est maintenant que la nuit commence.