I Remember

By Florinebooks

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[ Histoire terminée ] Ma mémoire. Chose qui aurait pu m'apporter gloire et argent n'a fait que me pourrir la... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17 (1/2)
Chapitre 17 (2/2)
Chapitre 18
Chapitre 19 (1/2)
NDA - Couvertures -
Chapitre 19 (2/2)
Chapitre 20 (1/2)
Chapitre 20 (2/2)
Chapitre 21 (1/2)
Chapitre 21 (2/2)
Chapitre 22 (1/2)
Chapitre 22 (2/2)
Chapitre 23 (1/2)
Chapitre 23 (2/2)
Chapitre 24 (1/2)
Chapitre 24 (2/2)
Chapitre 25 (1/2)
Chapitre 25 (2/2)
Chapitre 26 (1/2)
Chapitre 26 (2/2)
Chapitre 27 (1/2)
Chapitre 27 (2/2)
Chapitre 28 (1/2)
Chapitre 28 (2/2)
Chapitre 29 (1/2)
Chapitre 29 (2/2)
Chapitre 30 (1/2)
Chapitre 30 (2/2)
Chapitre 31 (1/2)
Chapitre 31 (2/2)
Chapitre 32 (1/2)
Chapitre 32 (2/2)
Chapitre 33 (2/2)
Chapitre 34
Chapitre 35 (1/2)
Chapitre 35 (2/2)
Chapitre 36 (1/2)
Chapitre 36 (2/2)
Chapitre 37 (1/2)
Chapitre 37 (2/2)
chapitre 38 (1/2)
Chapitre 38 (2/2)
Chapitre 39 (1/2)
Chapitre 39 (2/2)
Chapitre 40 (1/2)
Chapitre 40 (2/2)
Chapitre 41 - Épilogue -
- Remerciements & mot de la fin -

Chapitre 33 (1/2)

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By Florinebooks

Partie non corrigée

Partie 1

PDV Aidan

Elle est là, le sourire aux lèvres à balancer des boules de neige à l'équipe adverse placée en face d'elle et de ses équipiers. Je ne peux m'empêcher de fixer ses jolies dents blanches apparaître en dessous de ses lèvres lorsqu'elle éclate de rire après s'être reçues de la neige en pleine figure. Ça ne lui arrive plus ses derniers temps, elle est renfermée et n'ose plus rire comme elle le faisait il y a deux mois. Le peu d'insouciance qu'il lui restait est partie lorsque ce con de docteur a énoncé sa théorie. SI j'avais su la conséquence de cet aveu, je l'aurais défoncé avant qu'il ne prononce un seul mot. Il n'avait pas le droit de rendre ma princesse encore plus malheureuse qu'elle ne l'était déjà.

Comme si elle n'avait pas assez souffert, il en a rajouté une couche. Non content de sa découverte qui effrayait Cassiopée, il en a parlé au directeur. Ce dernier - trop heureux que sa protégée et enfin trouver son vrai pouvoir - l'avait fait convoquer. Une après-midi entière c'était écoulée avant qu'elle ne revienne au chalet, le teint pâle, les lèvres pincés et les yeux luisants de larmes. Elle était prête à éclater en sanglots mais aucune larme n'a coulé sur ses douces pommettes. Et elle les retient encore aujourd'hui presque deux mois après cet événement.

J'étais directement montée la voir dans sa chambre pour en savoir plus et pour l'aider. Oui pour l'aider, je ne pouvais pas la laisser dans cet état de détresse intense. Mais aussi car il m'est impossible de la laisser disparaître. Elle est ma seule chance de devenir un homme meilleur. C'était certes un peu égoïste mais ça avait le mérite d'être la vérité.

Elle ne m'a dit les raisons de son regard larmoyant que des heures plus tard avec une voix monocorde. Le directeur lui avait clairement exprimé son ambition : il compte se servir des pouvoirs de ma princesse avec son accord ou non. La menace était dissimulée derrière des fioritures mais elle avait réussi à comprendre le message du vieux à lunettes : le jour où il lui ordonnerait de faire quelque chose, elle serait dans l'obligation de s'exécuter car les conséquences d'un refus pourraient retomber sur ses proches. Si elle tentait de fuir, les menaces qui pesaient sur elle s'appliqueraient de même si elle prévenait quiconque de l'extérieur. Elle vivait désormais avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Je m'étais alors élancé vers la porte avec l'intention d'aller détruire sa tête immonde et de redonner le sourire à Cassiopée. Devinant mes intentions, elle avait dressé un mur d'eau entre moi et la porte pour me bloquer le passage. J'avais grogné pour lui montrer à quel point sa réaction était stupide : elle devait à tout prix me laisser faire ce que je voulais. Elle répondit à ma menace sourde par cette simple phrase "Nous devons être plus malins que lui Aidan, raconte-moi tout ce que tu sais sur l'Institut."

L'effet avait été immédiat, ma colère était retombée. Je lui avais donc tout dit. Mais avant, elle m'avait intimé le silence : elle entendait des micros un peu partout dans la pièce. En un tour de main et presque naturellement, elle avait fait apparaître un immense vague dans sa chambre prenant juste le temps de nous entourer d'une bulle d'air protectrice. L'eau avait disparu aussi vite qu'elle était apparue, laissant derrière elle un mobilier trempé. Aucun souci pour ma princesse qui avait séché le tout en un coup de main balayant sa chambre d'une bourrasque de vent mêlé à une chaleur réconfortante.

Je ne lui avais rien caché, de mon départ précipité de l'Institut qui n'avait pas que pour but de me faire pardonner au vol du dossier. Les informations que j'avais rapportés de mon escapades ne suffiraient pas pour monter un dossier. De plus aucun des témoins qui m'avait rapportés avoir entendu parler de choses qui se tramait dans l'Institut, n'avait voulu m'en dire plus et encore moins témoigner.

Bref Cassiopée et moi nous étions rendus à l'évidence : nous n'avions rien. La seul objet qui pouvait être considéré comme une preuve, était le dossier. Nous l'avions donc épluché au peigne fin, notant sur une feuille toutes informations pouvant nous être utiles. Elle m'avait montré l'existence de cette case coché dans sa fiche et celle de nos colocataires. Les mots "équipes noires" ne laissaient aucun doute sur ce que c'était. Une sorte d'armée allait être formée avec les plus puissants HPS ce qui confirmait les pros tenus par Salomon deux semaines plus tôt lors des combats.

Je sors de mes pensées en entendant l'éclat de rire de ce taré de Stanley. Bizarrement, j'avais fini par apprécier sa personnalité débridée mais je ne comprends toujours pas son style vestimentaire. Qui porte une combinaison de ski jaune fluo ? Je me demande d'ailleurs où il avait pu la trouver...

Je sens quelqu'un m'observer et je me détourne de la vision du jeune roux se roulant dans la neige pour voir Cassiopée. Elle me regarde, ses iris verts fixés dans les mienne et suspend son mouvement en cours. Sa main est en l'air, prête à lancer une boule de neige sur Romain. Elle fait la moue, essayant de deviner à quoi je pense. Sa combinaison bleu nuit lui va à ravir et je ne peux m'empêcher de laisser apparaître un sourire séducteur. Elle détourne le regard en rougissant, elle essaye de cacher sa gêne en remettant en place son bonnet de laine. Mais je l'ai cramé. Un léger rire s'échappe de mes lèvres.

C'est un truc que j'ai appris au côté de Cassiopée ça aussi. Savoir rire pour des choses inutiles, sourire quand Stanley fait une blague pourrie. Je remplace ainsi celui de ma princesse qui se fait rare en ce moment.

Elle a complètement oublié son gêne maintenant. Sa tête est penchée vers l'arrière, occupée à observer les flocons qui descendent au grè du vent jusqu'à sa bouche grande ouverte pour les accueillir. Certains viennent se loger sur ses épaules pour se perdre dans l'amas désordonné que forment ses cheveux blonds. Ça me fait du bien de la voir ainsi, oubliant nos problèmes elle semble presque détendue. Ce moment magique se termine lorsque Lola plaque ma princesse au sol à grand renfort de "à l'attaque".

Ils ont tous changé en deux mois. Stanley contrôle désormais un grand nombre de forme animale et peut rester longtemps sans reprendre forme humaine sans se fatiguer. Lola réussit à plus ou moins gérer ses visions. Elle peut choisir de voir telle ou telle chose ce qui est évidemment très pratique. Romain sait parfaitement se déplacer grâce à ses portails et les utilise souvent pour nous faire peur. Il peut parcourir quelques kilomètres. Pour de plus grandes distances il doit faire une pause au milieu car ça demande trop d'énergie.

Ça me fait du mal de l'admettre mais le Français a aussi beaucoup évolué. Sa télékinésie est bien plus puissance et les objets qu'il soulève sont de plus en plus jour au fur et à mesure. Il n'a plus cherché à approcher Cassiopée d'une quelconque manière amoureuse et semble même l'aimer beaucoup. En amitié bien sûr, sinon je le défonce. Après tout je reste avant tout moi malgré quelques changements.

La bataille de neige terminée, nous nous regroupons tous dans le grand salon, buvant à la santé de cette neige temps attendu.

Cassiopée s'éclipse et ne l'a voyant pas revenir je décide de la rejoindre. La jeune femme est assise sur un des sièges du bar à siroter distraitement une coupe de champagne. Lors de nos nombreuses discussions elle m'a dit ne pas apprécier le goût de cette boisson pétillante qui lui embrumait l'esprit en quelques minutes.

- Qu'est-ce que tu fais là ?, je lui demande en me glissant à ses côtés.

- Tu m'as fait peur, me répond-elle en sursautant faisant couler le liquide ambré en dehors de son verre.

-Ce n'était pas voulu, je m'excuse en essuyant les dégâts. Alors qu'est ce qu'il y a ?

- Ri...

Je l'interromps avant qu'elle ne puisse finir sa phrase en lui disant que si elle dit "rien" je la fous à poil dans la neige.

Ça a au moins le mérite de la faire rigoler même si je pense vraiment le faire si elle ne veut pas tout me dire. Moi possessif ? Pas du tout.

- La neige... ça me fait penser à l'hiver et à Noël qui approche à grands pas.

- Et alors ? Tu n'as pas été sage cette année ? lui dis-je dans une tentative ratée de blague.

- Non, me confie-t-elle. Je n'arrive pas à me sortir de la tête le regard de ces gens pendant le discours de Salomon.

Le directeur avait fait un discours annonce à tous les pensionnaires de l'Institut la nature du pouvoir de Cassiopée. Si certains avaient été ravis pour elle, d'autres avaient clairement souligné sa différence et l'avaient dénigré. Leurs insultes fusaient dans tous les sens allant de "tu vas tous nous tuer" " aspireuse de pouvoir". Il est possible que je me sois emporté et est mis quelques coups de poing bien placé. Rien de mortel. Ma princesse était restée figée revivant sans doute ce qui lui était arrivé toute sa jeunesse. Depuis ce jour, elle porte constamment de fins gants noirs recouvrant l'intégralité de sa main et de son avant-bras.

- Arrête de penser à ça princesse, je lui ordonne d'une voix dure. Ça ne changera rien. Ces gens sont des cons et te retourner l'esprit pour eux leur ferait beaucoup trop plaisir. Profite du moment présent et arrête de préoccuper des autres. Et puis s'il te plaît enlève ses gants, tu es ridicule.

Un éclat de colère teinte son regard pendant une nanoseconde avant qu'il ne retrouve son léger voile habituel.

- Ils resteront où ils sont et tu sais très bien pourquoi. Arrête de toujours vouloir tout contrôler dans ma vie Aidan ça devient énervant à la longue. J'ai besoin de porter ses gants pour me sentier bien.

- Ok ok, je me résigne à dire en levant les bras en l'air. Mais profite de la neige s'il te plaît Cassi.

Le silence se fait quelques instant avant qu'elle ne reprenne la parole.

- C'est le premier Noël que je vais passer sans eux, m'avoue-t-elle en buvant un gorgé du liquide doré.

- Oh, je lâche ce qui ressemble presque à un souffle. Tu nous as nous princesse et tes parents pensent forts à toi tu le sais.

- Je ne veux pas qu'il leur arrive quoique se soit Aidan, je ne supporterais pas qu'il vous soit fait du mal, entame-t-elle. Si le directeur vient me demander d'exécuter un ordre je le ferais sans hésiter. Je ne prendrais pas le risque de vous voir blesser.

Pour la première fois depuis longtemps ma princesse laisse les larmes couler sur ses joues, me montrant ainsi l'ampleur de sa fragilité et de l'impacte qu'à la menace de Salomon sur elle.

Je décide de faire la chose qui me semble la plus approprier en ce moment. Je l'empoigne par le dessous des aisselles - elle ne se débat même pas tellement elle est lasse - et je viens le déposer délicatement à califourchon sur moi avant de la serrer dans un étreinte réconfortante qu'elle me rend peu de temps après.

- Il ne leur arrivera rien, je vais trouver une solution princesse.

PDV Cassiopée

- Bouge tes jambes, me cris Edward depuis le bord du tapis.

Noah m'envoie un coup dans le ventre, mais je l'évite en me baissant précipitamment. J'empoigne son bras et le retourne. Je le bloque grâce à un mouvement circulaire : il ne peut plus bouger.

- C'est bien Cassi, tu peux le relâcher, m'intime Edward.

Je fais ce qu'y met demandé puis, après que Noah m'ait félicité, pour mon enchaînement, j'avale une gorgée d'eau.

- Tu t'améliores encore, me complimente l'armoire à glace en s'approchant de moi. Si on faisait une nouvelle cession de combats, je suis persuadée que tu gagnerais haut la main !

-Non, il est hors de question que je me batte une nouvelle fois, je m'exclame en me tournant vers Ed', je peux y aller ?

Ce dernier me répond pas un hochement de tête et je n'attends pas une seconde de plus pour tourner les talons.

Je me dirige immédiatement vers les vestiaires, les tapis me rappellent trop le sang que j'ai fais coulé.

Les tenues données par l'Institut sont toujours minimaliste. Aujourd'hui c'était brassière et pantacourt. Pas de quoi tenir chaud dans cette salle plus froide que l'extérieur.

Je ne peux m'empêcher de scruter mon reflet dans un des nombreux miroirs de la pièce.
Je ne me savais pas aussi fatiguée, des cernes violacés ornent le dessous de mes yeux. La couleur de ces derniers ont perdu de leur vigueur mais je peux en dire autant pour mon peau qui est blafarde à la limite du maladif.

Mais cheveux eux ont poussé et m'arrivent maintenant un peu en dessous des épaules. Je ne compte cependant pas me les recouper avant longtemps.

Mon regard se fixe sur mon ventre, le peu de gras que j'avais a totalement disparu. Des abdos viens visible apparaissent à sa place au dessus du nombril. Je ferme les yeux afin de ne plus voir ce ventre que je déteste.

Je n'aime pas du tout me voir avec des plaquettes de chocolat aussi bien dessiné, je trouve ça laid.

Mais mes séances intensives de cardiaux' abdos et autres exercices on sculptait mon corps bien plus que ce que je pensais.
Je ne me suis pas infligée cette torture pour rien. J'aurai nettement préféré rester dans mon lit. Mais les exercices m'épuisent et m'évitent d'utiliser mes pouvoirs.

La découverte de Carl a complètement stoppé mon élan. Moi qui commençais à accepter les pouvoirs a tout de suite changé d'avis. Je ne peux tout simplement pas utiliser le pouvoir de quelqu'un, C'est quelque chose d'intime et moi je leur ai sciemment volé.

Mes trais sont aussi plus durs, comme marqué d'une usure temporels m'ayant assagis.

Je tourne la tête et me dirige vers mon sac. J'évite les miroirs en ce moment, la vision qu'il renvoie de moi ne me plaît pas temps que ça.

Je retire mes gants en cuir de mes mains car je suis toute seule dans le vestiaire. La séance de bataille de boules de neige semble bien loin tout à coup. Ça faisait longtemps que je n'avais pas autant ris c'est sur et certain ?

J'enfile en vitesse ma robe pull et mes collants après une rapide douche rafraîchissante. Encore une tenue choisie par Stanley mais je n'y prête plus attention, lui faire plaisir en mettant ce qu'il m'a préparé me fait sourire alors j'en profite. Puis j'aime vraiment bien ce qu'il me choisie en général. Des cuissardes plates viennent encercler mes pieds de leur chaleur plus que réconfortante.

Je ferme mon sac de sport et entend trois légers coups contre la porte du vestiaire. Je demande c'est qui mais la personne ne répond pas se comptant de rentrer.

- Tu es toute seule, m'interroge Aidan alors que j'empoigne mon sac pour le mettre sur mes épaules.

- Oui pourquoi ?

Il ne répond pas mais me prend le bras avant de nous diriger avec les douches pour handicapé. Je lâche un petit cri mais il semble passer inaperçu puisque le blond continu son chemin.

Il nous fait rentrer dans l'intérieur de la cabine et referme derrière lui, puis me relâche enfin.

- Tu m'expliques, je m'exclame en jetant avec rage mon sac par terre, n'étant pas d'humeur à parler.

De plus je ne comprends pas pourquoi il m'amène ici.

- Il ne mette pas de caméra et de micro dans les douches.

- Bonne nouvelle, tu viens de m'apprendre que le directeur ne me voit pas à poil.

- Moi ça ne me gênerai pas de te voir toute nue, me dit Aidan sans pression.

Je le regarde dans les yeux, n'ayant vraiment pas le courage de répondre à son sous entendu. Je me contente de lever les yeux au ciel. Il comprend le message et ce remet donc à parler.

- Tu te souviens d'hier, lorsque je t'ai dit que j'allais trouver une solution.

Bien sûr que je m'en rappelle, ce n'est pas comme ci je ne pouvais rien oublier. Ah en fait si !

- Oui, dis-je simplement lasse.

- Et bien je l'ai trouvé

- - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - -  - - - - -

Faut vraiment que j'arrête de couper comme ça les chapitres... Je suis sadique ^^

Bref j'espère que ça vous aura plus.  Je pense publier la suite mecredi comme j'ai terminé d'écrire tous les chapitres :)

Dites moi ce que vous pensez de la publication le mercredi et samedi ?







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