I Remember

By Florinebooks

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[ Histoire terminée ] Ma mémoire. Chose qui aurait pu m'apporter gloire et argent n'a fait que me pourrir la... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17 (1/2)
Chapitre 17 (2/2)
Chapitre 18
Chapitre 19 (1/2)
NDA - Couvertures -
Chapitre 19 (2/2)
Chapitre 20 (1/2)
Chapitre 20 (2/2)
Chapitre 21 (1/2)
Chapitre 21 (2/2)
Chapitre 22 (1/2)
Chapitre 22 (2/2)
Chapitre 23 (1/2)
Chapitre 23 (2/2)
Chapitre 24 (1/2)
Chapitre 24 (2/2)
Chapitre 25 (1/2)
Chapitre 25 (2/2)
Chapitre 26 (1/2)
Chapitre 26 (2/2)
Chapitre 27 (1/2)
Chapitre 27 (2/2)
Chapitre 28 (1/2)
Chapitre 28 (2/2)
Chapitre 29 (1/2)
Chapitre 29 (2/2)
Chapitre 30 (1/2)
Chapitre 31 (1/2)
Chapitre 31 (2/2)
Chapitre 32 (1/2)
Chapitre 32 (2/2)
Chapitre 33 (1/2)
Chapitre 33 (2/2)
Chapitre 34
Chapitre 35 (1/2)
Chapitre 35 (2/2)
Chapitre 36 (1/2)
Chapitre 36 (2/2)
Chapitre 37 (1/2)
Chapitre 37 (2/2)
chapitre 38 (1/2)
Chapitre 38 (2/2)
Chapitre 39 (1/2)
Chapitre 39 (2/2)
Chapitre 40 (1/2)
Chapitre 40 (2/2)
Chapitre 41 - Épilogue -
- Remerciements & mot de la fin -

Chapitre 30 (2/2)

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By Florinebooks

Voilà la suite (et oui je publie deux fois en une semaine) mais j'avais envie de faire plaisir à une certaine personne donc voilà. La suite mercredi ou samedi prochain (tout dépend de comment j'avance sur le chapitre 4 ) :)

Chapitre non corrigé. Désolée s'il y a encore des mots collés - encore une fois - je fais le nécessaire pour que ça cesse mais ce n'est pas évident. Wattpad peut se montrer colérique quand il le souhaite.


Partie 2

Clémence me regarde horrifiée car son pouvoir ne lui sera d'aucune utilité pour la sortir de là. Le directeur arbore un léger sourire difficilement décelable en dessous de ses nombreuses rides. Mais il n'échappe pas à mon œil avisé. Instinctivement mes poings se resserrent et je n'ai qu'une en vie : mettre à profit les techniques de combat que m'a appris avec mes enseignants.

Je me clame en me disant que ce n'est certainement pas la bonne solution. On me prendrait pour une tarée de m'en prendre à un vieux monsieur comme monsieur Salomon.

Je vois sur le visage de mon amie, qu'elle sait déjà que ce combat ne peut se solder que par une défaite : ce n'est pas en faisant de la cuisine qu'elle vaincra un métamorphe qui contrôle déjà plusieurs formes animales.

J'espère que Stanley ne va pas la blesser.

Les deux adversaires se jaugent mais chacun sait que le vainqueur a les cheveux roux. Cela n'empêche pas Clémence de se mettre en positon de défense. Et là mon amie fait la chose la plus étonnante qu'elle n'est jamais faite : elle se met à parler.

- Tu sais pour faire de bonnes lasagnes, la béchamel n'est pas nécessaire. Tout le monde à dans son esprit cette image de pâte dégoulinantes de liquide blanc et de viande haché, commence-t-elle d'une voix tremblotante mais qui s'affermit à chaque mot qu'elle prononce. Mais moi je dis non. Ah un moment la cuisine ce n'est pas pour les amateurs !

Je ne peux m'empêcher de lâcher un gloussement que j'étouffe entre mes mains. Elle est complètement entrain d'utiliser ses talents de cuisinière pour déstabiliser Stanley. Et ça à l'air de bien réussir vu sa tête.

-La béchamel alourdit le plat et le rend beaucoup plus difficile à déguster car la viande glisse et les pâtes sont ramollies par la sauce. Le tout est dans le dosage pour réussir un bon plat. La quantité de viande doit être une demi-fois plus importante que la sauce pour que l'ensemble de soit pas trop moue et imbibé. Quand aux pâtes, il faut...

-Il suffit, le coupe le directeur. Nous ne sommes pas dans une cuisine. Que cette mascarade se finisse immédiatement, s'exclame-t-il particulièrement énervé, il me ferait presque trembloter. Reprenez.

Clémence arrête de parler et je vois bien que maintenant elle est sûre de perdre. J'observe la mine dépitée de Stanley à qui cette situation convenait parfaitement. Maintenant il doit trouver une solution est vite car je sais que Salomon ne va pas tarder à imploser.

Il se concentre et je vois son corps changer d'aspect. Au lieu de prendre sa forme lapine - comme à son habitude - il me fait découvrir un nouvel animal : un serpent.

Son corps disparaît entièrement pour laisser place à un animal à écaille. Je le vois bouger à travers ses vêtements pour trouver la sortie. Quand je vois sa tête sortir je prend peur. Non pas à cause de l'animal mais de ce qu'il va pouvoir faire à Clémence.

Son corps glisse doucement sur la tapis, au rythme de sa langue crochue qui entre et sort de sa bouche à un rythme régulier. Les tâches brunes qui recouvrent ses écailles semblent luire face à la lumière du soleil qui se reflète sur elles.

Ce moment serait presque magique : l'animal venimeux, avançant vers sa proie humaine pour se défendre. L'humain à peur, l'animal le ressens mais rien ne pourra l'arrêter. Pour défendre son territoire il est prêt à tout, la fuite n'est pas une option. Sa vigilance s'abaissera une fois que ses crocs seront rentraient dans la chair tendre et que son venin se diffusera lentement dans le sang de l'agresseur.

J'allais me lever pour aller aider Clémence lorsqu'une pensée me vient : ce serpent est une vipère. Cela ne veut peut-être rien dire pour certain mais pour moi c'est clair comme de l'eau de roche. La vipère est un serpent qui en mordant sa victime lui injecte une toxine qui l'immobilise.

Stanley est un génie ! Il vient de trouver une solution pour que Clémence s'en sorte sans trop de dégâts. Une fois la toxine dans son sang, elle ne pourra plus bouger et donc respectera le critère permettant de mettre fin à un combat. De plus c'est sans risque pour mon amie qui s'en remettra dans une heure ou deux sans séquelle car elle n'a aucun problème de santé particulier (Je l'ai vu et retenu dans son dossier).

Je suis aux anges. La scène se passe exactement comme je l'avais pensé. Clémence est acculée dans un coin sans possibilité de fuite et la terreur se peint sur son visage au fur et à mesure de l'avancer du serpent. Ce dernier serpente de plus vite qu'il peut pour atteindre la cheville de sa victime et y planter ses crocs.

Clémence chancelle quelques secondes et cligne des yeux afin de rester éveillée mais sans succès : elle s'écroule une minute plus tard, manquant de peu d'écraser le serpent.

Il se dirige vers ses vêtements afin de se transformer à nouveaux et je m'empresse de le rejoindre en empoignant une couverture pour empêcher une humiliation.

Je sens qu'il n'est pas facile pour lui de redevenir humain.

Il s'appuie directement sur mes épaules dès que ses bras réapparaissent. Je le couvre de la couverture évitant de montrer ses fesses à tout les spectateurs et participants

Je lui chuchote un « merci » à l'oreille alors qu'il empoigne la couette à deux mains. Je prends ses vêtements qui traînent au sol pour qu'il puisse se changer tranquillement dans les toilettes dès qu'il sera en état de le faire. Pour le moment il est beaucoup trop crevée.

Il m'explique quelques minutes plus tard - une fois nos fesses bien installer sur un banc - qu'il est resté trop longtemps sous sa forme animal et qu'il a tendance de ce fait à oublier sa partie humaine. Les instincts reprennent alors le dessus et il est dur de se contrôler. Les combats reprennent avec deux nouvelles personnes - toutes en muscles - qui doivent se battre.

- Ce n'est que la deuxième fois que je prends cette apparence. Je ne la contrôle pas encore assez bien.

Il m'avoue se sentir plus que fatiguera lors que l'homme à droite envoie un uppercut à l'homme à gauche qui réplique par un coup droit. Je l'incite à se coucher pour reprendre des forces.

C'est finalement l'homme du gauche, Robert il me semble, qui remporte le combat sous les applaudissements enjoués du public alors que son partenaire gis au sol dans une mare de sang. Seuls les battements de son cœur - incertain - permettent d'attester de sa vie. Le gagnant n'est pas dans un meilleur état : son nez pisse le sang - sûrement casser - et son arcade sourcilière gauche est fendue. Ses mains sont rougies du sang de sa victime et couvertes d'ecchymoses. Son slim est déchiré par endroits, laissant apercevoir des égratignures inquiétantes. Des infirmiers et médecins s'affairent déjà autour des blessés et je vois Léo essayer de réanimer l'homme au sol.

Ce spectacle me dégoûte et me fait bien comprendre que moi aussi je vais passer sous le billard. Je vais en ressortir bien plus amocher que lors de mes entraînements. Je suis cependant déterminée à montrer que pour moi ceci n'est pas un jeux et qu'il y a un but à cette mascarade. Je ne veux pas dévoiler tout ce don je suis capable de peur de me faire remarquer.

Les groupes s'enchaînent un à un et les éliminer aussi. Le sang qui couvre le tapis n'est plus systématiquement nettoyé à chaque passage, ce qui créait des traces sèches un peu partout. La violence des combats me frappent un peu plus à mesure qu'ils s'enchaînent. L'ensemble me fait penser aux arènes romaines et ce qui m'inquiète le plus c'est que je semble être la seule que ça terrifie. Lola est encore sonnée de son combat au corps à corps qui l'a opposé à une grosse brute qui l'a mise KO en un clin d'œil. Au moins elle n'a plus à souffrir. Je suis heureuse que Stanley dorme car je ne voudrais pas qu'il regarde ce triste spectacle.

Les noms dans la boite diminuent et le mien tombe enfin. Comme un signe du destin ou d'un quelque qu'on dieu je tombe face à la prof qui m'enseigne à la place de monsieur De La Tour le contrôle des pouvoirs. Je sais qu'elle est son pouvoir : elle contrôle l'élément eau. Tout comme De La Tour pouvait le faire mais avec de plus grande mesure, elle contrôle tout ce qui touche à son élément et est donc d'une grande puissance. Son jeune âge le prouve bien.

Monsieur Salomon pioche le deuxième papier et notre sort est scellé : nous nous battrons avec nos pouvoirs. Ça promet.

Elle se va sur le tapis tout comme moi et mes bras se placent d'eux mêmes devant mon visage pour me protéger. Au passage nos deux mains se frôlent et cette décharge électrique si caractéristique me prend à nouveau. Je me sens tout d'un coup différente, comme si j'avais quelque chose en plus.

- Alors blondasse, me lance-t-elle de façon acerbe, prête à te faire rétamer ?! Moi au moins je contrôle mon pouvoir à la perfection.

Et sans attendre elle m'en fait la démonstration. Je ne dois ma survie qu'à ma rapidité qui me permet d'éviter la boule d'eau lancer droit dans ma direction, en roulant sur le sol.

Je me relève immédiatement, prête à toutes éventualités. Mais cette fois-ci je n'attends pas qu'elle face le premier pas.

- Ne t'inquiète pas pour moi, je sais moi aussi parfaitement contrôler mon pouvoir.

Mon bras s'enflamme directement mué par cette colère et cette volonté de prouver que moi aussi je suis capable de faire quelque chose.

Elle semble impressionner car elle a un mouvement de recule. Je referme mon poing et le rouvre. Sur ma paume de main repose maintenant une boule de feu. J'enclenche un mouvement de rotation de mon bras droit, puis balance le fruit de mon pouvoir vers elle.

Je vois ses yeux s'agrandirent à mesure que la boule se rapproche. Elle fait un mouvement de bras, l'eau suivant ses doigts et ruisselants sur sa peau comme un ruisseau. Son mur permet d'arrêter mon attaque car l'eau éteint directement le feu. Elle tente elle aussi cette attaque en lançant cette fois des dizaines de petite boule d'eau dans ma direction. A mon tour je créais un mur de feu - qui ne touche pas le sol pour éviter de tout cramer - interceptant ainsi les balles.

La chaleur ne m'atteint pas plus que ça mais ce n'est pas le cas de ma concurrente qui recule. Je mets fin à ce mur car il me prend beaucoup trop d'énergie.
Je décide de la laisser attaquer en me contentant seulement d'éviter ses attaques plus subtiles les unes que les autres. Pendant ce temps, j'essaye de mon concentrer pour rentrer dans sa tête. Je déteste faire ça mais je sens la fatigue arriver et je ne pourrais plus longtemps subir ses attaques sans être touchée; Déjà deux de ses balles m'ont atteintes et ça fait très mal.

Je m'imagine dans sa tête, comme Aidan me l'a appris. Cette fois-ci je ne veux pas découvrir. Non je veux juste contrôler pendant quelques secondes la partie de son cerveau qui gère les images. J'y arrive plutôt rapidement à mon grand étonnement. Le professeur s'arrête directement car des images horribles de monstres sanguinaires venant pour la tuer lui parviennent. Je lui ai mi la première chose à laquelle je pensais : l'araignée dans le Seigneurs de Anneaux. Toute fille qui se respecte à peur des petites bêtes. Bien que celle là ne soit pas petite, elle joue son rôle à la perfection. Je profite du répit que m'offre le professeur en se roulant au sol pour échapper aux pattes crochues de l'animal, pour me reposer et retrouver des forces. Les spectateurs se réjouissent de la voir souffrir et Salomon ne me quitte pas des yeux un instant. Il me regarde comme ci j'étais le joyeux de sa collection de pierre précieuse : flippant.

Quand j'estime que je l'ai suffisamment fatiguée je relâche mon emprise sur son cerveau. Elle arrête immédiatement de se tortiller dans tous les sens.

Je fais demi-tour en me retournant vers monsieur Salomon quand une voix groggy m'interrompt :

- Tu penses que c'est finit sale garce, s'exclame-t-elle. Je n'ai pas encore dit mon dernier mot.

Elle se relève avec difficulté chancelant de gauche à droite comme une personne alcoolisé. J'ai de la peine pour elle et je m'en veux de l'avoir obligé à subir quelque chose d'aussi dure.

Elle rassemble ses mains pour former une boule d'eau, mais à mon plus grand étonnement c'est un pique de glace qui en sort. Je ne m'y attendais pas et je n'ai pas le temps de réagir. La douleur frappe mon avant bras que j'avais ramené contre mon cœur.

Un cri s'échappe malgré moi d'entre mes lèvres. L'adrénaline prend le déçue : si je ne réagis pas maintenant je suis cuite. Le problème est qu'entre nos deux éléments, l'eau vaincra toujours. Je n'ai aucun moyen de la surpasser ainsi. Tout serait plus facile si je pouvais utiliser le même pouvoir quelle.

Mais ça m'est déjà arrivé plusieurs fois : avec Daryl, Romain, Walter, Lola et j'en passe. Pourquoi pas avec elle.

Pendant que je réfléchie elle en profite pour me balancer une nouvelle slave de ses piques glacés. Je m'empresse de me coucher au sol, arrachant douloureusement au passage l'arme gelée plantée dans mon bras. Le sang ce met à couler à flot contre mon bras se mélangeant aux autres déjà présent sur le sol. Triste spectacle pitoyable que j'offre : mon corps épuisé arrachant un bout de mon débardeur pour arrêter le saignement de mon bras.

Une fois cette tâche accomplie, je me relève. La prof' a récupéré de mon passage dans son cerveau et semble en pleine forme. Enfin j'exagère. Disons qu'elle n'est plus sonnée.

J'enflamme à nouveau mon bras, et ordonne à mon élément de former une sorte de lasso. Dans ma tête se forme l'image de mon avant bras enflammé et de l'autre recouvert d'eau. Ce spectacle serait presque beau à voir et tellement puissant. Il me faut son pouvoir.

La porte s'ouvre à l'intérieur de moi, et je sens la puissance m'envahir alors que j'inspire.

J'ouvre les yeux et mon avant bras gauche est maintenant recouvert d'eau et tandis que l'autre est toujours tout de feu. Un sourire carnassier - presque flippant - éclaire mon visage lorsque je vois la mine dépité de mon adversaire : elle sait qu'elle a perdu.

L'assemblée est à la fois étonnée et effrayée du spectacle que j'offre sur ce tatami.

Je ne pers pas de temps car je sais que bientôt je ne vais plus pouvoir me contrôler.

Je forme un autre lasso avec l'eau recouvrant mon bras et je l'imagine s'entortiller avec celui fiat de feu. Mon souhait se réalise - sans grand étonnement -, je balance le tout vers elle. Ils s'enroulent autour de la prof' sans la toucher car je sais que cela la tuerait. Je vais bientôt perdre le contrôle alors j'essaye d'agir vite et efficacement. Les lignes d'eau et de feu emmêlées telles des lianes, forment une sorte de bulle autour d'elle, l'empêchant de faire ne serait-ce qu'un mouvement. La pauvre déploie toute son énergie à créer une couche de protection entre elle et mes armes. Ce qu'elle ne sait pas ce que de mon côtés je retiens les armes pour ne pas qu'elle soit blessée.

La lutte ne dure pas longtemps et la jeune femme s'écroule au sol. Je ramène directement les lassos pour ne pas la blesser. Difficilement je les arrête mais je n'ai tout de même pas besoin de ma voix intérieur à mon plus grand soulagement. Il aurait été fâcheux que quelqu'un m'entende parler toute seule et cela n'aurait pas manqué d'arriver dans ce gymnase plein.

Je sens la fatigue dû à mon effort ce manifester et je peine à me tenir debout. Je titube jusqu'au estrade sous les applaudissements d'un public heureux du spectacle que je viens de leur offrir. Mais je ne les mérite pas. Mettre à terre une personne ne devrait pas être source de respect ou de gloire.

Je m'assoie sur la première marche de la tribune et penche ma tête entre mes jambes retenant un vomissement. Je me dégoûte. Je jubilais de la sentir à ma merci, je contrôle ce pouvoir mais ma partie sombre arrive toujours à s'immiscer pour que mes pensées penchent vers la perversité, le mépris des autres et la méchanceté.

- Vous avez été remarquable Cassiopée.



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