Forbidden love. (relation pro...

By road_to_infinite

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L'amour existe entre deux mêmes sexes et deux sexes opposés, mais pourquoi pas entre un prof et une élève ? J... More

Forbidden love.
Chapitre 1 : Fin des vacances
Chapitre 2 : Rentrée
Chapitre 3 : Romain Stevenson
Chapitre 4 : Forte pluie
Chapitre 5 : Cours de rattrapage
Chapitre 6 : Le baiser
Chapitre 7 : Le canular
Chapitre 8 : L'accident
Chapitre 9 : Piscine
Chapitre 10 : A l'hôpital
Chapitre 11 : Plusieurs cicatrices
Chapitre 12 : Souvenirs douloureux
Chapitre 13 : Alice Jones
Chapitre 14 : Quelques sms
Chapitre 15 : C'est moi qui te fait rougir autant ?
Chapitre 16 : Action, chiche ou vérité ?
Chapitre 17 : Vacances de Sophie
Chapitre 18 : Tu ES belle
Chapitre 19 : Forever, trusting who we are
Chapitre 20 : Une idée derrière la tête
Chapitre 21 : Baisers volés
Chapitre 22 : Tu es une belle salope en fait
Chapitre 23 : C'est fou comment je me sens privilégié !
Chapitre 24 : Des projets ?! Lesquels ? Fais-moi en part, ils m'íntéressent.
Chapitre 25 : Lesbihonest ?
Chapitre 26 : Je ne vais pas pleurer... oh et puis merde.
Chapitre 28 : Tout semble si juste avec toi
Chapitre 29 : C'était atrocement injuste
Chapitre 30 : Trop bonne, trop conne
Chapitre 31 : Non tu n'es pas conne Sophie, tu es amoureuse
Chapitre 32 : Te détester est la chose la plus épuisante à faire
Chapitre 33 : Et puis ça me tue quand tu es loin
Chapitre 34 : Ça va, tu n'as pas trop l'impression de draguer mon copain ?
Chapitre 35 : Sophie Brois est-elle donc absente ?
Chapitre 36 : Le veux-tu ?
Chapitre 37 : Hé ! Mais pourquoi donc tant de vulgarité ?!
Chapitre 38 : On a jamais été amis.
Chapitre 39 : Mais... vous aviez bien l'heure française sur votre montre ?
Chapitre 40 : 23 heures 30
Chapitre 41 : Dis-le moi et je te jure je ne vais même pas sourire !
Chapitre 42 : Il faut qu'on parle Sophie.
Chapitre 43 : Je l'ai aimé, je l'aime, et je l'aimerai. À jamais.
Chapitre 44 : J'ai toujours raison de toute façon
Épilogue

Chapitre 27 : Je m'occuperai de toi

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By road_to_infinite

La chanson du jour est Look after you de The Fray, je trouve que les paroles vont très bien avec ce chapitre, rien qu'à lire le titre de la chanson. L'histoire a atteint 20 000 lectures, 250 votes et va presque avoir 250 commentaires ! Chaque vote/commentaire/lecture de votre part me fait sourire. Vous êtes vraiment adorables, merci beaucoup pour tout. <3

Cette histoire est affreusement courte. D: Je m'excuse aussi pour tout le temps que j'ai pris pour poster cette suite, mais je suis très occupée ces temps-ci, et je déménage bientôt, ce qui me donnera encore moins de temps pour écrire. Je suis encore une fois désolée.

Bon, dans ce chapitre, Sophie va faire un cauchemar. Pour faire la différence entre ce qui se passe réellement et ce qui ne fait que parti de son imagination, j'ai décidé de rédiger son rêve en italique. Donc tout ce qui est dans son cauchemar est en italique. Ok? 

Je  vous souhaite une très bonne lecture!

POINT DE VUE DE SOPHIE

Tout ce qui est à moi est à toi, à laisser ou à prendre. 

''Tu iras au bahut demain ?''

''Non... pourquoi ?''

''Ça ne te dérange vraiment pas ?''

''Pas du tout, je préviendrai le lycée de mon absence.'' il me fit un sourire rassurant. J'envoyais un sms à Laura, qui disait 'ne viens pas me chercher demain, je n'irai pas en cours, t'expliquerais plus tard.'. J'éteignais mon portable.

''Merci d'avoir accepté auprès du médecin de rester avec moi pour la nuit.'' lui ai-je remercié de ma toute petite voix timide. Il referma la porte d'entrée de ma maison. On était seuls.

''Je ne pouvais pas te laisser dans cet état.'' il retira sa veste en cuir qu'il accrocha sur le porte-manteau, et se mit à sourire. ''... et puis, je suis ton oncle, je dois prendre soin de toi.''

''T'es bête Romain.'' j'ai répondu en souriant un peu. Il me fait sourire, même dans les pires situations. Romain a un don. J'allais dans le salon, et il me suivit en regardant autour de lui, puisque le lieu était un peu nouveau pour lui. La seule pièce de la maison qu'il avait bien vue était la cuisine... là où ma mère s'est écroulée, là où mon monde s'est effondré. Des frissons de peur parcoururent ma colonne vertébrale. Le médecin m'a dit que ma mère allait s'en sortir, mais je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir peur et de m'inquiéter. Je chassais ces pensées de ma tête en me disant que Romain était là... pour moi. Il disait qu'il ne pouvait pas me laisser comme ça, avait-il pitié de moi ? Cette pensée retira mon sourire. Il avait pitié de moi. Pitié.

''J'aime bien chez toi.'' il siégea le canapé en regardant les différents tableaux qui se trouvaient dans le salon. Je lui fis un petit sourire timide, étant debout vers le cadre de la porte du salon. Il me regarda, ses yeux bleus dégageaient une certaine douceur. ''... c'est beau et moderne.''

''Merci. Euh... tu veux quelque chose à boire ?'' j'ai demandé poliment en pointant derrière moi la cuisine. 

''Un peu d'eau s'il te plaît. Pas glacée, je ne supporte pas l'eau glacée.''

''D'accord.'' je suis allée dans la cuisine. En ignorant les bouteilles vides de vodka Blue Moon qui se trouvaient sur le plan de travail de la cuisine, j'ouvris un placard pour en sortir un verre. Je remplissais le verre d'eau tiède, quand Romain entra dans la cusine. Je lui tendis le verre, qu'il attrapa. Il but plusieurs gorgées. Après avoir fini de boire, il déposa le verre dans le lavabo. Ma montre lisait 20 heures. ''Je suis désolée, je n'ai pas fait les courses, donc le frigo est un peu vide...'' je refermais le réfrigérateur que je venais d'ouvrir. Je lançais un regard désolé à Romain. Il s'approcha de moi, mais au moins deux mètres nous séparaient. 

''Ce n'est pas grâve. Et on peut toujours commander chinois.'' il me fit un sourire amical.

''Je n'ai pas d'argent.'' je baissais mon regard, étant intimidée par son regard pénétrant. A chaque instant que son regard perçant me brûlait, j'avais l'impression d'être nue devant lui, ou pire ; d'être lue. J'avais peur qu'il lise mes émotions et mes pensées. 

''Qui t'as dit que c'était toi qui allais payer ?'' son sourire s'agrandissait. Après m'avoir répétée plusieurs fois qu'il pouvait payer lorsque notre commande est arrivée, nous nous sommes installés sur le canapé. Notre commande se trouvait sur la table basse en face de nous. Il était à une bonne quinzaine de centimètres de moi. Ces centimètres me laissaient dans tous mes états. Nos épaules s'effleurèrent presque. ''Des nouilles au poulet pour la demoiselle.'' il glissa la boîte aux nouilles vers moi, je le remerciais en un sourire timide, sans bouger. ''Et un wok de légumes aux nouilles sautées pour le monsieur.'' il entama ses pâtes. ''Bon appétit.'' 

''Merci à toi aussi.'' ai-je répondu poliment en entamant à mon tour mes nouilles. Le stress que je ressentais pour de ma mère me faisait oublier à quel point j'avais faim. Je n'avais pas toucher à mon plateau ce midi, en repensant à ma discussion avec Romain. J'essayais de manger le plus lentement possible, ne voulant pas apparaître comme une 'grosse bouffe' devant Romain. Mais je pense que c'est râté. Ce dernier se mit à rire. ''Quoi ?'' ai-je demandé, la bouche un peu pleine.

''Tu sais tu peux manger devant une grosse porc devant moi, ça ne me dérange pas.''

''C'est ça fous-toi bien de moi Romain.'' il continua à rire, ce qui me fit rire à mon tour. J'avalais ma bouchée de travers, j'étouffais et j'étais toute rouge. Classe. Romain me lança un regard inquiet, puis se dépêcha dans la cuisine, pour revenir avec un verre d'eau. Après avoir bu, Romain me regarda. Il semblait moins inquiet, et se mit à sourire, puis en moins d'une minute, il était parti dans un autre fou rire. Une fois de plus. Ses yeux étaient plissés, son rire était léger et posé. Il avait tellement l'air heureux. Romain me faisait penser à un enfant insouciant et négligeant. A un enfant qui ne se souciait de rien, car tout ce qui l'importait, était la couleur qu'il allait mettre dans son nouveau dessin, ou le jeu qu'il allait choisir pour noël. Je ne voulais vraiment pas me ridiculiser devant lui, mais je crois que c'est râté. ''Sérieusement arrête Romain, tu me ridiculises.'' il prit de longues inspirations pour essayer de se calmer, avant de prendre la parole. 

''Je n'ai jamais autant ri. Au fait tu as un bout de nouille sur ta joue. Je ne sais vraiment pas comment est-ce qu'il a pu arriver là.'' je tâtais ma joue gauche à la recherche de cette fameuse nouille. ''Non pas celle-là, l'autre.'' avant que je mette ma main sur ma joue droite, il retira la nouille. Sa main effleura très légèrement ma joue, qui m'envoya rapidement des frissons. ''Voilà. Ce n'était pas très compliqué.'' on a continué à manger en silence. Notre dîner était bien sûr agrémenté de bavardages inutiles, avec des sujets qui nous passaient par la tête, et bien sûr de quelques piques lancées. On avait complètement oublié à propos de notre discussion de ce matin, ce qui ne me dérangeait en aucun cas. Comme nos nouilles nous avaient pas rassassiés et qu'on avait toujours faim, je me suis donc levée pour aller chercher des chips dans un placard de la cuisine. Je suis revenue dans le salon avec quelques chips, pour voir Romain debout devant la télévision, il farfouillait parmi mes dvds. 

''On peut se faire un film si tu veux.'' j'ai proposé en déposant les chips sur la table basse. J'allais à côté de lui. Il était tellement grand. 

''Oui justement. Tu as que des films d'horreurs parmi tes dvds.'' a-t-il fait remarqué.

''Haha c'est bien vrai. Disons que je n'aime pas les autres types de films !'' j'ai souri. 

''Je vois ça. Je n'aime pas trop les autres types de films non plus. Alooooors, on met The Exorcist ?'' j'haussais des épaules. 

''Pourquoi pas ?''

''Tu es sûre que tu n'auras pas peur ?''

''Moi ? Peur ?'' c'était une blague j'espère ? Les films d'horreurs étaient les choses qui me faisaient le moins peur au monde. J'y croyais même pas, en ces histoires toutes faites.  ''C'est plutôt toi le peureux ici non ?'' en lui posant cette question, je pointais mon doigt sur sa poitrine. 

''Pas du tout !'' s'exclama-t-il, offensé par ma question. 

''On verra ça.'' je lui fis un clin d'oeil.

''C'est toi qui va te réfugier dans mes bras les dix premières minutes plutôt. '' a-t-il répondu en haussant des épaules, toujours un peu offensé par ma réponse. 

''Bon mets le film, je vais aller chercher des couettes.''

''Pas de problèmes.'' 

''Merci soumis.'' 

''T'as dit quoi ?'' a-t-il demandé, en levant sa main comme si il voulait me taper. Ses yeux brillaient d'humour.

''Rien rien !'' j'ai vite répondu en rigolant. Je suis revenue dans le salon et on s'est installés dans le canapé. On ne regardait pas trop le film, sachant qu'on l'avait déjà vu 400 000 fois. On arrêtait pas de discuter et d'avoir des petits délires. On se poussait même du canapé pour rigoler. Pour me remonter le moral, Romain a vraiment été au top. Après avoir 'fini' ce film, on a décidé d'en mettre un autre, puis un autre encore une fois. Je crois qu'il devait être une heure du matin, lorsque mes paupières sont devenues lourdes, très lourdes. Je sentais des bras (sûrement ceux de Romain) me prendre avec aise, et m'emmener dans ce qui devait être ma chambre. Mon dos s'affaissa contre une surface plutôt agréable, et j'avais moins froid, en sentant une couette m'envelopper. 

''Fais de beaux rêves.'' m'a-t-il chuchoté, en déposant un timide baiser sur mon front. Je sombrais donc dans un long sommeil.

Ma mère était là, allongée sur ce lit d'hôpital, dans cette chambre aux murs bizarrement transparents. J'étais à quelques mètres d'elle. Elle a réussi à me faire un faible sourire et me fit signe de m'approcher. Ma mère était tellement pâle et faible. Plus j'essayais de m'approcher d'elle, plus je m'éloignais de celle qui m'a mise au monde. A force, je me trouvais à une bonne centaine de mètres d'elle, essayant désespéremment de m'approcher d'elle. Un médecin arriva dans la chambre. Son visage était tellement sombre que je le voyais très peu. Il retira tout ce qui permettait ma mère de respirer tout ça devant plusieurs médecins qui nous voyaient en passant mais qui daignaient rien faire. J'essayais de plus belle de m'approcher de ma mère, mais je n'y arrivais pas, elle était tellement plus loin de moi. Ce médecin sortit de la salle, en marmonnant sans cesse que ma mère ira bien. J'étais de plus en plus paralysée, je ne pouvais plus bouger. Ma mère me tendit sa main pâle et tremblotante que je ne pouvais point tenir. Elle se mit à manquer de plus en plus d'air et devint complètement rouge. Ma mère se battait pour inspirer un peu d'air mais ses efforts étaient en vain, elle me regardait, ses yeux étaient effrayés. Je la regardais mourir, sous mes yeux, sans pouvoir rien faire. Sa main perdit toute force et cessa de trembler. Je criais, mais rien ne sortait. Le même médecin refit son apparence, et pour s'assurer que ma mère était bien morte, il la poignarda à plusieurs coups de couteau. Ma mère cria, et moi je restais là, sans pouvoir bouger. Ce médecin s'arrangea pour mettre tout le sang du couteau sur moi, et me laissa seule. Je criais et pleurais de désespoir, avec le sang de ma mère imprégné dans mes vêtements. Cette scène se déroula encore et encore. J'étouffais de plus en plus. 

Je me suis réveillée en sursaut, en pleurs et en sueur. Une grosse boule habitait mon ventre et ma gorge, je n'arrivais pas à respirer. Je me suis mise à sangloter, en me demandant bien ou Romain pouvait bien être. Ce dernier accourut et alluma la lumière. Ses cheveux étaient en bordel. Il était simplement vêtu de son jogging noir, et d'un pull over ouvert, qui montrait son torse nu. Ce n'était pas vraiment le moment de le mâter. Je n'arrivais pas à m'arrêter de pleurer. J'étais dans un état pitoyable, ma respiration était complètement irrégulière. 

''Tu as fait un cauchemar ?'' Il s'approcha doucement de moi, s'agenouilla près de moi, et me prit dans ses bras. Il me serra fort, il sentait tellement bon. Il se détacha de moi. En me regardant droit dans les yeux, il essuya mes larmes. Ses mains tremblotaient un peu, son regard était à la fois doux et effrayé. ''Tu as rêvé de quoi ?'' finit-il par chuchoter. Sa question me fit pleurer de plus belle, j'avais de la morve et des larmes partout, juste pitoyable.

''Je ne veux- je ne peux- je ne veux pas-''

''Tu ne veux pas que quoi Sophie ? Prend tout ton temps, et calme-toi d'accord ?'' j'hochais furtivement de la tête, et Romain se leva prendre des mouchoirs de mon bureau qu'il me tendit. J'essuyais mes larmes, et surtout ma morve. 

''Je ne veux pas que ma mère meurt Romain. Je ne veux pas...'' il semblait vraiment triste en m'entendant et me prit une fois de plus dans ses bras. Il caressa mon dos.

''Tout va bien se passer Sophie, ta mère ne va pas mourir. Tu n'as pas à t'inquièter. D'accord ?'' je commençais à me calmer petit à petit. On est restés comme ça pendant au moins 5 minutes. Je me suis un peu calmée. Mais j'avais une question au fin fond de moi. Elle n'avait aucun rapport avec la situation actuelle, mais à vrai dire : je m'en fichais.

''Tu-tu l'aimes ?'' j'ai demandé de ma voix encore un peu faible.

''Qui ça ?'' m'a-t-il chuchoté. Je pense qu'il savait très bien de qui je parlais, car son corps s'est raidi à l'entente de ma question.

''Mélanie.''

''Je t'ai déjà dit que oui Sophie.'' il semblait agacé.

''Non mais je veux dire : est ce que tu l'aimes vraiment ?'' je me détachais de lui pour le regarder droit dans les yeux. Il évita mon regard. ''Est-ce que tu vois le reste de ta vie avec elle ? Est-ce que tu te demandes ce qu'elle fait lorsqu'elle n'est pas là ? Est-ce que ça te rend fou de la voir malheureuse ? Est-ce que ton coeur bat fort lorsque tu la vois ? Est-ce que tu brûles d'envie de toujours l'embrasser, et de toujours la sentir près de toi Romain ? Dis-moi, est-ce qu'elle te rend fou ? Fait-elle à ce que ça soit impossible pour toi de te sentir normal ?''

''Oui.'' sa réponse me fit un pincement au coeur. J'étais vraiment jalouse de Mélanie tout d'un coup.

''Alors qu'est-ce que tu fais là ? Pourquoi n'es-tu pas avec elle ?'' me suis-je écriée. Il sembla surpris par ma question, comme si il ne s'y attendait pas.

''Parce que le médecin a dit que-''

''Tu sais très bien que je peux prendre soin de moi Romain. Alors c'est de la pitié. Tout ce que tu ressens pour moi c'est de la pitié.''

''Quoi ?! Tu sais très bien que ce n'est pas la vérité Sophie.'' il caressa ma joue. ''Je ne ressens pas de la pitié pour toi.''

''Alors c'est quoi ? Pourquoi es-tu resté avec moi ?''

''Je ressens quelque chose de fort et d'inexplicable pour toi... Je ne sais pas ce qui m'arrive, ni ce qui me prend en ce moment Sophie.'' mon coeur se mit à battre fort en signe d'appréhension, mes mains devinrent plus moites que jamais. ''Je ne me reconnais plus...'' il passa une fois de plus sa main sur ma joue. ''... tu es tellement belle, et fragile...'' ses yeux réflètent beaucoup d'admiration, d'affection... et d'amour ? Romain m'aimait-il ? ''... je ne veux pas te faire du mal.'' sans rien dire, je fermais les yeux, et je me rapprochais de son visage, histoire d'effleurer doucement mes lèvres contre les siennes. Sa respiration devint très irrégulière, tandis qu'il fermait les yeux à son tour. Il attrapa une poignée de mes cheveux, et m'embrassa fougueusement et de manière frénétique. Il était sûrement 4 heures du matin lorsque je goûtais pour la deuxième fois les lèvres de la personne que j'aimais le plus.

c'est tout pour le chapitre 27! vous en pensez quoi? :) commentez, votez ! :D

Plein de bisous baveux. <333

@road_to_infinite

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