-Où vas-tu ? Me demande Hermione.
-Ma punition ! répondis-je sans joie.
Je descends les grands escaliers à l'instar d'un paresseux, je parle de l'animal. Le bon côté c'est que je vais voir de vrai Licornes. Je reprends un peu de motivation quand j'aperçois Cedric, à côté de Rusard, son badge de Préfet épinglé sur sa cape de sorcier. Il devait sûrement garder les portes de l'entrée.
-Deux minutes de retard... dépêchez vous ! Grogna Rusard.
Il passe devant et je me met près de Cedric qui souriait.
-Qu'est ce que tu fais ici ? Tu viens avec nous ? Plaisantai-je.
-Oui, tu croyais quand même pas que Dumbledore laisserais un élèves avec le concierge dans la forêt interdite...
-Tu parle d'un concierge...
-Qui est dépourvu de magie en plus !
-Quoi, Rusard est un Cracmol ? Sifflai-je.
-Chut !
Rusard se retourne, alternant mon visage à celui de Cedric.
-Que venez-vous de dire ? Demande Rusard les yeux emplie de fureur.
-On parlait sortilèges, je suis entrain d'apprendre le sort "Cracbadamol"...
Rusard lança un dernier regard puis nous reprit notre route. Quand nous furent presque arrive devant l'entrée de la forêt interdite, Cedric se penche sur moi.
-C'est quoi ce sortilège ?
-J'en sais rien sa mes venue comme ça ! Ricanai-je.
En passant devant la cabane de Hagrid, Rusard pris une lanterne et un seau recouvert par une sorte de torchon, Cedric empoigne la deuxième lanterne et voulu prendre le seau aussi, mais je fut plus rapide que lui. Je me demande se qui peut bien y avoir la dedans c'est pas lourd du tout. Rusard nous donne quelques instructions comme, "attention ou vous marchez il y a des racines partout", "si vous vous prenez dans une toile d'araignée criez" ou encore, "les loups-garous et les vampires peuvent se promener à cette heure si donc si vous vous faite mordre... essayez toujours de criez" termine t-il sur un sourire qui n'inspire rien de bon.
Effectivement des racines il y en a. Cedric reste derrière moi et me rattrape plusieurs fois quand je manque de me casser la figure. Plus on s'en fonce et plus il y a de bruits bizarre. Les arbres était si grand que je ne vois presque plus le ciel étoilée ni même la lune. Rusard s'arrête sur une petite plaine avec un gros rocher en face de nous et... Deux arbres de chaque côté, entre eux un tronc reposer en travers. Comme... Comme, dans ma vision. La lune faisait refléter le rocher, donnant à l'atmosphère une couleur argenté, des petites fleurs rose etait parsemé autour du rocher et sur le reste de la plaine.
-Ne faite pas de bruit sinon elles viendront pas... dis Rusard de mauvaise humeur, pour pas changer.
Je me souviens du Centaure dans ma visions et aussi des araignées. En trois secondes je fut pris de panique.
-Cedric on peut pas rester ici, on doit partir ! Chuchotai-je en m'agrippant à son bras.
-Qu'est que tu as ? Cedric pris mon visage entre ses mains.
OK j'etais vraiment paniquée la, regardant autour de moi pour voir à quel moment les araignées vont surgir des arbres. Je tire sur les bras de Cedric pour le ramèner vers moi et nous sortir de cette endroit. Rusard se retourne au même moment.
-Hey vous faite quoi ? Dit-il tout bas.
Le visage de ce dernier se figea tout doucement, très lentement. Tout son corp en faite, comme un film au ralenti jusqu'à s'arrêter complètement. Je me retourne sur Cedric et la même chose pour lui, c'est yeux inquiet qui était dans ma direction se relève aussi lentement que Rusard, jusqu'à être totalement figé. Je pousse Cedric mais rien n'y fait. Je sors ma baguette et me place au centre de la plaine. Je protégerait la vie de Cedric au péril de la mienne. Je me tien prêt, baguette à la main, jambe légèrement fléchit. J'entends un bruit derrière moi, au dessus du rocher, je ne réfléchit pas et attaque derechef.
-STUPÉFIX !
Une petite sphère semblable à de l'électricité bleuté vient fouetter l'interlocuteur. Le Centaure en question mis juste son avant bras devant sont visage pour l'arrêter, comme si il se protégeait simplement du Soleil.
-Geoffrey Dolve à l'oeil et l'attitude d'un vrai duelliste à seulement treize ans de vie ! S'exclame le Centaure, l'air lunaire.
-Qui êtes-vous, pourquoi sont-ils figés ? Menacai-je avec ma baquette.
-Je m'appelle Firenze et ils ne sont pas figé, le temps est juste arrêté pour eux, parce qu'ils ne doivent pas savoir... drôle est le destin, toi un simple être humain doté du pouvoir de clair voyance. Tu a déjà vue cette scène, n'est-ce pas !?
Je sais que les Centaures savent lire l'avenir dans les planètes, mais se refusent à intervenir pour modifier ce qui est écrit. Le destin appartient au destin selon eux. Je baisse ma baguette, mes jambes toujours tremblante.
-Qu'est-ce qu'ils ne doivent pas savoir ? M'exclamai-je, hésitant à prononcer sont nom.
Je ne sais pas vraiment pourquoi mais je me sent de plus en plus à l'aise, ouvert d'esprit, plus apte à réfléchir. Firenze leva la tête vers les étoiles sans répondre puis il revient à lui.
-Geoffrey Dolve, peut prononcer mon nom ! Soupire le centaure. Ta destiné sera important dans l'accomplissement final... La Lune est proche ce soir...
Quoi ?? La lune...
-Tu sera la pièce lumineuse agissant dans l'ombre, le ciel ta donne se don pour en faire usage ! Il repris en me fixant, il avait des yeux bleu très profond à l'instar de deux Saphirs. Apprend l'astronomie et médite sur tes visions, cette opportunité te sera donné lors de ta troisièmes années.
-Attendez, attendez... et si je veux pas tout sa moi, j'ai rien demandé à personne !
-Le destin ne demande pas ton avis, tu comprendras plus tard mais tu le sais déjà au fond de toi !
-C'est facile de dire ça... c'est quand même super bizarre, qu'est-ce que je suis censé faire et pour qui ?
-Parfois certaines questions comporte aucune réponses, dit-il en regardant à nouveau le ciel. La lune est proche ce soir...
Je regarde à mon tour, oui effectivement elle est proche. Firenze revint de nouveau à lui.
-Soit certain de tes connaissances acquises... Je vais te révèler une chose que l'on ma interdit de te dire !
Le Centaure descend du rocher et s'approche. Je fais un pas en arrière et resserre l'étau de ma baguette. Vue de plus près il était encore plus impressionnant et contrairement à se que l'on peut penser il sent la fleur de pivoine. Il se penche, c'était flippant, mais je reste calme malgré tout.
-Ce garçon, commence Firenze en désignant Cedric de son menton, tu dois t'en détachée... Il va te faire plonger dans un chagrin qui nous fera peut-être tous changer de destin...
Ses yeux était si perçant, je suis comme hypnotisé. Derrière nous plusieurs coups de sabots fit briser son emprise.
-Firenze, grogna un autre Centaure au cheveux noir et tréssé. Tu ne sera plus confié au tâche assigné du ciel. Tu dois partir maintenant !
Firenze ne répond rien, il me tend juste deux crins de Licorne puis me chuchote "Faisant bonne usage". Ils partîmes en trombe avec l'autre centaure. Rusard et Cedric reprit mouvement au ralenti. Se qui me laisse le temp de reprendre ma place et de ranger les crins. Les centaures partis, l'adrénaline et le tremblement de mes jambes reprit le dessus.
-Argh, bredouille Rusard. Qu'est-ce que c'est ?
Cedric aussi eu un raté et ne compris pas la situation.
-Qu'est ce que tu a fait ? Grogna Rusard en s'approchant.
-Vous voyez bien qu'il est restée à coter de moi, riposte Cedric en se mettant entre Rusard et moi.
Rusard se retourne en grommelant dans sa barbe. Il retire les torchons des seaux laissant apparaître une sorte de poudre violette au reflet et nuances rosée. Pendant qu'il vide les seaux un peu partout sur le sol, le vent souffla et les feuilles des arbres vient gifler nos visage.
-Qu'est ce que c'était Geoffrey ? Me demande Cedric.
-Quoi donc ?
-Me prend pas pour un imbécile, je sais qu'il y a eu de la magie ! Qui est-ce qui nous a figée ?
Il me force à le regarder dans les yeux en prenant ma mâchoire dans sa main, il sait que j'ai beaucoup de mal à lui mentir de cette manière.
-Cedric, tu me fait mal... ce n'était pas vrai, évidement il est toujours délicat.
-Désolé je ne voulais pas...
-Oh que faites vous !? Je ne vais pas faire tout le travail, grogna Rusard.
Sur le chemin du retour Cedric ne cesse de me rogner du coin de l'oeil, pendant que Rusard se plaignait que les punitions étaient beaucoup trop légère à son goût.
-Avant ont accrochaient les élèves à des chaînes dans les cachots, ça leurs faisait les pieds...
Cela me semble impensable. Rusard ordonna à Cedric de me racomppagner jusqu'à ma salle commune. Apres avoir mis une certaine distance avec le concierge, Cedric m'attrape le bras et nous plonge dans un couloir obscur.
-Geoffrey c'était quoi ? Je ne doute pas une seule seconde que tu es doué en sortilèges, mais utiliser un sort d'attraction avec autant de fluidité... À ton âge, c'est impossible, on n'apprend pas se genre de choses, qu'est ce que c'était ?
Je devais bien lui dire tôt ou tard...
-D'abord je pense que tu te trompe, Dumbledore pouvait déjà faire de grande chose à mon âge ! Ensuite il faut que tu sache que j'ai le don de clairvoyance, je l'ai découvert l'année dernière. Et se qui c'est passé tout taleur je l'avais déjà vue en rêve.
-C'est pour ça que tu as paniqué ? Me demande Cedric plus près de moi.
-Oui parce que la suite de se que j'avais vue était terrible, mais je pense que c'était une double visions ou un truc du genre. Enfin, j'en sais rien !
Je raconte à Cedric se que j'avais vue, le Centaure, les araignées puis le reflet dans leurs yeux.
-Des centaures, répéte Cedric dubitatif. Je comprends mieux, mais le visage de Potter dans les yeux des araignées... mais que ton t'ils dis ?
-Cedric me demande pas ça, s'il te plaît !
-Très bien, si tu m'assure que tu ne risque rien !!
-Non ne t'en fait pas, le rassurai-je.
Étrange, Cedric n'insiste pas... A vrai dire j'en savais foutre rien, le centaure n'était pas très explicite. Je ne vais pas lui avouer qu'un jour il me fera du mal... si ? Non, maintenant que je sais, je peux faire en sorte d'éviter cela. Au bout du couloir un flash blanc attire notre attention et un bruit à l'instar d'un chat qui crache de colère résonne sur les murs. Cedric me donne l'ordre de rester ou je suis. Ce que je ne fit pas, naturellement. Il sorti sa baguette, je l'imite. Arrivé au bout du couloir Cedric rallume les torches. Le visage de Colin Crivey était figé comme une statue de sir, son appareil photo sur le visage.
-Qu'est-c'que c'est ? M'exclamai-je à voix basse.
-Je te reconduis dans ta salle commune et je vais prévenir les professeurs !
Son ton était très autoritaire, je m'exécute sans broncher. La situation était grave, un élève vient de rencontrer le monstre. Cela veut dire qu'il se peut que le monstre est encore dans les parages. Cedric me ramène rapidement. Arrivé devant le portrait de la grosse dame, qui dort, Cedric me pris le visage entre ses mains et plaque sa bouche contre la mienne puis un autre petit baisers avant de partir.
-Fais attention ! Lancai-je avant qu'il ne quitte le couloir.
Le lendemain, la rumeur allé bon train. Le dimanche tout le monde avais du temps devant sois, donc la nouvelle s'est rapidement répandu. Je traverse la cour de l'entrée pour rejoindre les serres de botanique afin de réaliser ma première potion dans le Club de Potion, quand deux filles en première année m'interpelle.
-Salut, il paraît que c'est toi qui a découvert Collin cette nuit !? Me demande la plus petit d'entre elles, de la bué sortais de sa bouge.
-Non... Je suis passé par la c'est tout, mais je ne l'ai pas découvert !
-Et que faisais tu dans les couloirs à une heure pareil ? M'interrogea l'autre fille.
-Je rentré de ma punition, fichez moi la paix maintenant !
-Ah oui c'est vrai, quand il c'était battu avec le serpentard, dis la plus petite à son amis.
Elle se retourne vers moi et dis:
-Tu sais peut-être pas mais on était là !
-Ah ouais et pourquoi vous n'avaient pas témoigné, dis-je avec rage.
Elles échange un regard de quiétude.
-Disons que le Serpentard à eut une réaction super flippante... vas y dis le toi, moi je veux pas de problème !
-OK, souffle la plus grande, heureusement que Rogue est tout de suite arrivé parce que le Serpentard est devenu complètement tarée quand tu est tombée sur le sol.
-Genre quoi ?
-Genre il y avais du sang partout et il est devenue tarée quoi ! Personne ne voulait prendre le risque de dire quoi que ce sois.
La plus petite se retourne sur son amie.
-Ma tante travaille au ministère comme aurore, et elle raconte que certaine personne son tellement tarée qu'il frappe d'autre personne jusqu'à faire saigner...
Je tourne les talons et par à toute vitesse en direction des serres. Il y a un vampire dans poudlard et peut être qu'il n'y a que Rogue qui est au parfums. Et peut-être même que c'est lui qui a agressait la chatte de Russard et figé Collin. Il est plus que temps que je prépare cette potions.
Le but est d'immobiliser Warren afin de lui faire boire du veritasérum et lui faire avouer, je veux l'entendre de sa bouche. Et il ne pourra rien prouver de tout cela puisque la potion ne laisse aucune trace. Et je pourrais aller tout raconter au professeur Dumbledore. Je pénétre dans la serre, salut les élèves au passage et m'installe sur un comptoir ou mortier, cuillère en bois et chaudron en étain était à ma disposition.
Je choisis soigneusement tout les ingrédients que j'ai noté sur mon bout de papier : essence de belladone, cervelle de macaque, cranson officinal, quatre ailes de papillons de nuit et de l'armoise. L'armoise, ça semble évident... l'armoise est le principal ingrédient pour fabriquer le filtre de mort vivant. Après deux longues heures de préparation, ma potion est fin prête. Je prend une fiole vide et verse le liquide violacée. Il me reste à trouver du veritasérum, sur l'étagère du club il y a un tas de potion prêt faite mais évidement pas de veritasérum. Potions illégal pour les jeunes sorciers, plans B Fred et Georges Weasley.
Aucune trace des jumeaux Weasley dans la salle commune, mais Ron oui.
-Ron, interpellai-je, tu sais où sont tes frères ? Je l'ai cherche partout et...
Il me pris le poignée et m'emmène un peu plus loin.
-Il sont sûrement dans le Hangar a bateaux, chuchote Ron.
-Hum hum et pourquoi tu chuchote ? demandai-je.
-Parce qu'ils entrepose des choses pas vraiment autorisé...
-Ah OK !
-Eh, pas un mots, sinon j'suis fichue.
-Non t'en fait pas, mais lâche mon bras s'il te plaît !
Descendre au Hangar par se temps glaciales n'était pas la chose la plus agréable. Je descends les escaliers qui mène au Hangar, donc au moins huit minutes, quand je descends la dernière marche j'entends du Hangar du remu ménage.
-Non pas là... Ici, dépêchez ! Mumura brillamment l'un des jumeaux.
Je m'approche, quelqu'un sorti et s'accoude au mur juste avant l'entrée, il donnait l'impression d'être relax. Juste l'impression.
-Salut, jolie coupe de cheveux... Je peux te renseigner ? Demande le Gryffondor.
-C'est ironique j'espère ! Rétorquai-je.
Ma coupe de cheveux est plus proche d'un palmier, qu'une pub pour du gel à coiffer. Surtout quand il fait froid et humide. Se garçon s'appelle Lee Jordan et il est depuis que je suis en première année toujours fourré avec les Jumeaux Weasley. Et commente la plupart des match de Quidditch, accessoirement.
-Je cherche Fred et Georges, j'ai un service à leurs demander.
-Ils sont pas là, désolé, essaye dans la salle commune ou la bibliothèque !
-La bibliothèque, c'est une blague !? OK donc tu vois pas d'inconvénients si je passe par le Hangar !
J'avance et il se mis devant l'entrée, me barrant le passage.
-C'est bon Lee laisse le passer, se manifeste Georges... ou Fred.
-Oh sa alors, ils étaient là !? S'exclame Lee Jordan.
-Oui étonnant n'est ce pas et dire que tu pensais qu'ils étaient à la bibliothèque, qu'elle torique ! Fis-je mine de plaisanter. Qu'est-ce que vous préparez ?
Deux bateaux était suspendu avec deux bâches par dessus. Je décide de monter l'échelle rapidement. Quand je fut en haut les trois se précipite à ma rencontre.
-Redescend tout de suite ! Ordonna Fred
-La curiosité mène à l'échec ! Récita George.
-Tu la sort d'où celle la ? Demandai-je.
-Ben oui, qu'est-ce que tu raconte ? Demande son frère ahuri.
-Sais pas, le poète en moi !?
Je profite qu'ils soient distrait pour sortir ma baguette et lancer un Sortilège d'attractions pour soulever les bâches.
-Eeeh !!! Cria les deux à l'unisson.
-Qu'est ce qu'il se passe ? s'écria Lee.
-Continue de surveiller et toi lâche sa !
Il tire sur les bâches et elles reprirent leurs position initial.
-Pourquoi vous entreposez des explosifs dans le Hangar ?
-C'est pas des explosifs, ils se rapproche et chuchote, c'est des feux d'artifices... avoue Georges l'air grave.
-D'accord et vous allez faire quoi avec ces feux d'artifices ?
-Ont saient pas encore... S'exclame Fred.
-Mais on va trouver ! Termine Georges.
Je réfléchis quelques instant, il y a moyen que je ne paie pas pour leurs services. C'est pas très catholique mais bon... Je suis pas croyant de toute façons.
-OK, alors je dis rien si vous me rendez un service en échange ! Dis-je en rangeant ma baguette.
-Quelle est la demande ?
-Il me faut du Veritasérum.
-Pourquoi faire ? Demande Georges les sourcils froncé.
-Une expérience... pour le clubs de potion ! Pas très convaincant, mais sa passe.
-Ok ont t'apporte sa après Noël, mais pas un mots sur tout sa !
-Après Noël !?? Répètai-je, mais c'est dans un mois.
-Sa t'intéresse un talisman pour te protéger du monstre de la chambre des secrets ?
Toute la semaine les rumeurs et les soupçons se multipliaient et les élèves de première année ne se déplaçaient plus qu'en groupes, par peur d'être attaqués s'ils s'aventuraient seuls dans le château. Un trafic de talismans, amulettes et autres gris-gris s'était organisé dans le dos des professeurs. Neville Londubat avait déjà acheté un gros oignon vert malodorant, une pointe de cristal violet et une queue de salamandre en décomposition, certains lui firent observer qu'il ne courait aucun danger puisqu'il appartenait à une famille de sorciers au sang pur.
Dans la deuxième semaine de décembre, le professeur McGonagall passe dans les classes pour prendre les noms des élèves qui resteraient à l'école pendant les vacances de Noël.
Le jeudi on avais cour de potion avec Rogue, se jour la il passé d'un chaudron à un autre prenant soin de nous critiquer tous excepté les Serpentard. Je suis juste a côté de cette imbécile de Goyle qui respire comme un porc quand il essayait de se concentrer. Ma potion était terminé depuis deux minutes je pris donc le temps de regarder les autre, dont Harry. Harry se pencha alors derrière son chaudron, sortit de sa poche un pétard du Dr Flibuste et lui donna un petit coup de baguette magique. Le pétard commença à crépiter. Harry se redressa et lança le pétard dans le chaudron de Goyle. Juste a côté de moi. La potion de Goyle explosa aussitôt en aspergeant toute la classe. Les élèves atteints par des projections de potion d'Enflure se mirent à hurler, même en me baissant j'en reçus un peu sur les mains. Malefoy en reçut en plein visage et son nez commençait à enfler comme un ballon. Goyle tourna sur lui même, les mains sur ses yeux qui avaient maintenant la taille d'une assiette. Rogue, qui n'avait pas compris ce qui s'était passé, essayait sans succès de ramener l'ordre. Pourquoi avait il fait sa, se venger peut-être.
-Silence ! SILENCE ! rugit Rogue. Ceux qui ont reçu de la potion, venez tout de suite prendre un antidote. Et quand je saurai qui a fait ça...
Je me relève et me dirige vers Rogue.
-Si jamais je découvre qui a lancé ce pétard, dit Rogue dans un murmure, vous pouvez être absolument sûrs que cette personne sera renvoyée de l'école. Rogue fixait Harry qui fit de son mieux pour avoir l'air stupéfait.