The Wolf Love

By Matifa1901

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Quand on est enfant on pense pouvoir absolument tous contrôler... C'était mon cas, je me pensais ordinaire, q... More

Prologue.
Chapitre 2 : L'arrivée de Sofia.
Publication ^^
chapitre 3

Chapitre 1: Le commencement.

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By Matifa1901


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Et si nous commençions par le commencement ?

Je m'appelle Taylor Logan, j'ai 16 ans, je vis avec mon enfant, Sofia, âgée de 8 mois. Une perle, si vous saviez.

    Depuis la mort officielle de ma mère, elle est la seul à me procuré autant de bonheur.

     Je n'ai pleuré qu'une seul et unique fois : Le jour de son enterrement. On dit que je n'ai pas le droit de flancher, je dois garder la tête haute pour Sofia. Elle mérite de connaître le bonheur, elle doit être heureuse, c'est pour ça que je refuse de sombré.

Un miracle, oui c'est ce qu'elle est.

Sofia n'est pas vraiment ma fille, en réalité, il s'agit de ma petite sœur, mais ça, ça reste une longue histoire...

    ⏭ Flash back ⏮

Ce matin là, tous ce passait pour le mieux, le 5 janvier est un jours particuliers et comme tous ces matins là, mes parents venaient dans ma chambre en cachette. Enfin ils essayaient de ce faire le plus discret possible. Ils complotaient toujours afin de me surprendre.

   Comme à leur habitude, mon père était le premier à intervenir, puis c'était au tour de ma mère. Vous vous demandez pourquoi ? C'est simple, c'est mon anniversaire et mes parents ne loupent aucune occasion de le fêté.

     Mon père s'asseyait sur mon lit, avant de me réveiller le plus délicatement possible. Une fois la chose faîte, il me regardait le sourire aux lèvres, fier de son entrée, heureux d'être auprès de moi. Ma mère quand à elle, attendait le signal derrière la porte.  

    Oui, mes parents étaient organisé, ils étaient si coordonnées, que je les enviais.
    Une fois sur de lui, il donnait le signal et ma mère entrait à son tour un gâteau en mains, les bougies déjà allumées, chantant une jolie chanson.

" Pour une jolie jeune fille, qui devrait être endormie, aujourd'hui c'est un grand jour, on te souhaite un joyeux anniversaire, on te souhaite un joyeux anniversaire, on te souhaite un joyeux anniversaire, et viens soufflé tes bougies "

J'adorais ma mère, c'était une femme pétillante et plein d'énergie, pourtant ça chanson me faisait drôlement pensé à une autre.

Arrivée au pied de mon lit, elle me demandait de soufflé mes bougies ; Ce que je faisais avec impatience.

- N'oublie pas ton veux ma puce ! M'avertie ma mère.

Mon souhaits, jamais, c'était le même depuis plusieurs années. "Avoir une petite sœur ou un petit frère". J'étais fille unique après tout, mon souhait était légitime, je voulais être grande sœur moi.

    L'amour qu'ils me portaient me suffisait amplement, même si je rêvais de devenir grande soeur.
    Souvent, avant de dormir, ma mère me comptait des histoires d'amours. Mais un jour, une histoire revenait à chaque fois, ce n'était pas n'importe laquelle, c'était la même tous les soirs jours après jours.

     J'avais compris qu'elle adorait cette histoire, enfin c'est ce que je croyais.    J'avais parfois l'impression qu'elle me comptait son histoire, mais ça je ne le comprendrai que plus tard, bien trop tard...

📒Début de l'histoire...📒

Il était une fois un loup-garou, un bêta disait-on, surnommé Édouard. Il était beau, intelligent, gentil, fort et tellement d'autres choses. Cet homme possédait tout ce qu'il souhaitait, à l'exception d'une chose : la femme de sa vie. Son âme-soeur raconte-t-on

Chaque jour, à ce qui nous a été raconté, il la recherchait, son amour, sa femme, son âme-sœur : sa moitié. En vain ! Plus les jours passaient, plus il désespérait du jour où il la rencontrerait.

Un jour, alors qu'il désespérait d'un jour la rencontrer, son ami le plus cher, son Alpha, lui demanda qu'elles étaient les raisons pour lesquelles il la recherchait. L'homme, surpris par cette question, répondit sincèrement qu'il croyait en cette chose qu'on appellait l'amour unique qui unissait deux personne à tous jamais.

À ses mots, son ami lui conseilla de ne jamais renoncer en cette chose, car pour lui, c'était une chose unique. Une chose qu'on ne rencontre qu'une fois, leur âme soeur.

Un jour, alors qu'il se promenait tranquillement, plongé dans ses pensées, il bouscula une jeune femme, qui ce promenait avec sa petite fille. C'est lorsqu'il croisa son regard qu'il comprit.
Il comprit que c'était Elle, celle qu'il avait tant recherché, son âme-soeur, sa femme, son unique amour.

Celle-ci ne l'accepta pas. Elle le repoussait, pour elle, pour sa fille, c'était impossible, elle ne voulait pas y croire, elle ne comprenait rien à ce qu'il lui arrivait.

Jusqu'à ce qu'elle se mette à ressentir une sensation étrange, un lien, le lien, ce lien qui unit deux personnes destinées à s'aimer pour l'éternité, qu'elle en vienne à ressentir un manque... Un manque qui la tuée.

📒 fin de l'histoire 📒

À chaque fois, c'était là même chose, ma mère coupait toujours au même endroit. Je n'ai jamais pu connaître la fin de cette histoire. À chaque fois, que j'essayais d'avoir des détails, ma mère se mettait à pleurer.

Voir la peine qui l'habiter par ma faute m'empêche de connaître la suite de l'histoire. J'écoutais son histoire, avec attention, sans jamais chercher à avoir une fin, même si au fond de moi, je mourrais d'envie de découvrir qu'était devenu le couple.

J'étais tranquillement dans ma chambre lorsque j'entendis à nouveau mes parents se disputer.
Curieusement, à chaque fois que je m'approchais d'eux, ils me montraient une toute autre image.
Ils me souriaient et me prenaient dans leur bras, j'étais si heureuse de les voirs ainsi, que j'oubliais aussitôt leur dispute. Je vivais heureuse, à leurs côtés et ça me suffisais.

Jusqu'au jour, je dirais plus jusqu'au soir où mon monde flancha, non ! Mon univers tout entier.

C'était un soir, mon père et moi rentrions de notre sortie père fille. J'avais passé une incroyable journée où je n'avais fait que rire, prendre des photos et m'amuser. Ma mère n'avait pas pue nous accompagné, elle avait un rendez-vous important disait-elle.
J'avais pourtant passé l'une des meilleurs journée de ma vie, au côté de mon père. Nous étions en route pour rejoindre ma maison. Quand tout à coup, mon père s'arrêta brusquement, je tournais la tête, pour comprendre la raison d'un tel acte.
Nous étions en plein milieu d'un boulevard. Rien avait l'air de gêné son passage, pourtant, il c'était garé sur le coté de la route. Il s'assura que je n'étais pas blessée avant de m'ordonné d'une voix autoritaire de ne pas bouger.

C'était la première fois qu'il utilisait un tel ton avec moi.
Il s'avança ensuite d'un homme, que je ne pus distingué.
Au début, ils discutaient calmement ! Je n'entendais pas ce qu'ils se disaient, j'étais épuisée, cette fatigue été dût à notre longue journée. Je n'avais vraiment pas la tête à me concentrer pour réfléchir.
Je commençais à peine à m'endormir, quand tout à coup, je vis mon père frapper l'homme. Il y avait une telle rage dans son regard, jamais auparavant le l'avait vue ainsi ! Je ne compris pas tous de suite ce qu'il se passait.

Au début, l'homme ne réagissait pas, je sortis de la voiture apeurée, je voulais essayer de calmer mon père. Mais à peine avais-je posé un pied au sol. Que je vis l'inconnu se transformer en une bête, une bête que je connaissais que trop bien : un immense loup-garou.

Mon père, voyant que j'avais quitté l'habitacle, essaya de calmer l'inconnue, ou plutôt le loup, en vain. La bête lui sauta littéralement dessus.
À la vue de cette scène, mon coeur ce mit à battre à vive allure, un cris incontrôlée sortie de ma bouche. La bête me remarqua ! C'est là que je repris mes esprits, je m'éloignais doucement lorsque je trébuchais, j'avais beau essayer de me redresser mon corp ne répondait pas a les attente. Je finis les fesses au sol, tendis que le loup ce rapproché dangereusement de moi.

Je le voyais ce rapproché, la rage dans son regard me terrifié, c'était comme-ci qu'on lui avait volé quelque chose qu'il recherchait. Bizarrement, lorsqu'il s'approcha, les babines retroussées, il se calma instantanément !
Comme ci que ... Son regard ce transforma, je percevais de la honte, de la tristesse, de la culpabilité, mais surtout de l'amour, un amour pas commun, c'était bizarre, même à ce jour je ne pourrais l'expliquer.

Des questions se bousculèrent alors dans ma tête : pourquoi y avait-il tant d'amour dans son regard ? Pourquoi cette personne m'était-elle familière ? Et pourquoi avais-je ce sentiment de sécurité ? Je n'avais que 16 ans, mais pourtant, je connaissais déjà très bien ce monde : Le Monde des Loups Garous. Oui, j'avais déjà eu affaire avec eux, pourquoi ? Ça, c'est une tout autre histoire !

Ce soir là, était l'un des pire que j'ai vécu jusqu'alors, je venais de perdre mon père, celui que j'aimais le plus sur cette terre. Il venait de se faire attaquer, sous mes yeux. Mais je n'arrivais pas à oublier ce que j'avais ressenti, quand cette personne m'avais regardé droit dans les yeux. Je n'arrivais pas à haïr celui qui me l'avais enlevé.
Quelques jours après les funérailles de mon père, ma mère m'envoya dans un internat. Je ne pourrais pas vous citer les raisons, moi-même, je les ignoré. Je ne comprenais pas pourquoi elle avait décidé de se séparer de moi du jour au lendemain.
Lui avais-je fait du mal ? M'haïssait-elle de ne pas avoir sauvé mon père ? Toutes ces questions tournèrent en boucle dans ma tête.
Dans mon pensionnat, je n'arrivais pas à me faire des nouveaux amis, c'étais soit on me regardait de haut, sois j'avais trop mal. Je me sentais seule à vrai dire, mon papa me manquer énormément.
Malgré la tristesse que je ressentais, due à cette décision, je me tus, je n'en parlai à personne, je me forçais à sourire pour ne pas rendre ma mère plus triste. Je respectais ça décision, même si pour moi elle était injuste.
Je faisais tout mon possible pour ne pas me faire remarquer, jusqu'à a en devenir invisible. Je me disais qu'ainsi, je m'adapterai plus rapidement à ma nouvelle vie, et c'est ce qui ce passa.
Quelque mois passèrent, j'avais enfin réussi à m'adapter. Je n'avais pas énormément d'amis, mais je me sentais beaucoup moins seule. Je n'avais que très rarement des nouvelles de ma mère.

Un jour, alors que je m'y attendais le moins, ma mère me rendis une petite visite, et devinez quoi ? Allez, un peu d'imagination ! Repensez à mon souhait. Ouiii !! J'aillai enfin avoir une petite sœur ou un petit frère ! J'en avais tant rêvé, j'étais tellement heureuse, même si mon père me manquait énormément.
Avant de partir, il m'avait donné ce que j'avais toujours souhaité, à chacun de mes anniversaires. Avoir un frère ou une sœur ! Comment lui en vouloir ? On ne peut pas, chaque nuit, je me demande ce qui se serait passé si j'avais pu faire quelque chose pour lui, cette question resté sans réponse.
Mais mon bonheur sera d'une courte durée. Car un soir, alors que je dormais paisiblement, mon téléphone ce mit à sonné. Je répondis, presque furax, j'avais horreur qu'on me réveille aussi tard. Ne sachant pas de qu'il s'agissait, je laissais mon téléphone sonner une première fois. Voyant que cette personne insistait, je répondis froidement.

📞Conversation téléphonique 📞

« - Allo ! dis-je en colère. Quoi ?! Il m'avait réveillé tout de même.
- Bonjour, puis-je parler à Taylor Logan, s'il vous plait ?
- Ca dépend ! Qui la demande ? répondis-je ironiquement en m'allongeant sur mon lit.
- Bonsoir mademoiselle, je me prénomme Mathieu McGregor, je suis infirmier à l'hôpital central d'Overwood... eût-il le temps de dire avant que je ne lui coupe la parole.
- Que ce passe t-il ? Est-ce ma mère ? Qu'est ce qui c'est passé ? Qu'est-il arrivé ? Comment va-t-elle ? Pourquoi m'appelez-vous ? Demandais-je paniquée, en me redressant immédiatement. Je fis les 100 pas, le téléphone à l'oreille, j'avais peur d'entendre sa réponse.

- Je suis désolé mademoiselle, je ne peux rien vous dire. Je suis juste autorisé à vous informés, que votre mère viens d'être admise dans notre hôpital. m'avoua t-il calmement.
- Mais au moins, dîtes-moi ce qu'il c'est passé ! Vous ne pouvez pas me laisser ainsi ! insistais-je encore plus paniquée.
- Calmez-vous mademoiselle, je ne peux rien vous dire au téléphone, vous devriez venir ici, pour que je puisse vous parlez de vive voix. m'expliqua-t-il le plus calmement possible, essayant ainsi de me calmer.».

📞Fin de la conversation Téléphonique📞

Je ne pris pas le temps de répondre, que je sortis en vitesse de ma chambre, sans prévenir personne. Je me rendis à l'hôpital en pyjama. Arrivée à l'endroit indiqué par l'infirmier, je m'avançais à toute vitesse vers le panneau avec annotée comme inscription "Accueil".

Je repris rapidement mon souffle, avant de demandais, les larmes aux yeux à l'infirmière qui ce trouvait derrière le comptoir, où se trouvait l'infirmier McGregor. Sans me donner de réponse, elle le fit appeler.

« L'infirmier McGregor est demandé à l'accueil, infirmier McGregor, merci ! »

On ce serait crus dans un super marché ! Si je n'avais pas été aussi inquiète j'aurais surment rie.

Après quelques minutes d'attente, où je ne fis rien d'autre que me ronger les ongles, il arriva. Dès son arrivé à mes cotés, je le bombardais de question sur ma mère mais il avait l'air perdu dans ses pensées.
Il me demanda alors mon identité ainsi que celle de ma mère.

Pressée, je lui donnais mon nom "Taylor Logan" ainsi que celui de ma mère " Lucie Logan ". Surpris, il me demanda d'attendre un moment. Plus les minutes passèrent, plus ma colère augmenta.
Après un moment interminables d'attente, un médecin arriva avec à son côté l'infirmier. Ce n'était pas trop tôt ! J'avais attendu 1 heure, 1 heure pour avoir des nouvelles de ma mère. Imaginé le sentiment que je ressens à ce moment, imaginé la torture qu'ils me font vivre.

Lorsqu'il me vit, il me demanda s'il pouvait parler à une personne adulte, en larmes et en colère j'hurlai :

« - Vous voulez un adulte, je suis l'adulte ici, on m'a réveillée à une heure du matin, je suis venue ici par mes propres moyens ! Vous m'avez laissée 1 heure dans un attente interminable, alors ne venez pas me demandé d'adulte !! Dites-moi ce qui est arrivé à ma mère. !!! Criais-je, enragée.».

Le docteur, comprenant l'erreur qu'il avait faite, me demanda de m'asseoir, avant de m'expliquer la situation. Ma mère avait été retrouvée inconsciente par des passants, qui avaient un peu trop picolé, lorsque les médecins l'ont auscultée. Ils ont découvert, qu'elle portait des blessures graves, qui avaient été causé par un ou plusieurs animaux, des loups voilà leur suggestion.

Des loups mais oui, le seul problème était qu'aucun loup n'avait été aperçu dans notre ville depuis plus d'un siècle. Ce qui restait pour eux une énigme. Les larmes coulèrent d'elles-mêmes, l'infirmier prit une grande inspiration, avant d'ajouter qu'ils avaient placé ma mère dans un coma artificiel. Ils voulaient donner une chance au bébé de survivre.

Le docteur m'expliqua aussi que ma mère elle, n'avait aucune chance de s'en sortir, je gardais malgré tout l'espoir, qu'un beau jour elle se réveille.
Alors si j'ai bien compris les explications du docteur, ma mère est décédée, mais grâce à toutes leurs machines, ils pouvaient la garder en vie pour avoir une chance de sauver ma sœur.
«Une chance incertaine ! Il ne reste plus qu'à attendre. Avait-il dit.».

Et dire qu'un monstre de loup-garou avait tué ma mère, après m'avoir volé mon père. J'étais folle de rage, mais j'essayais de comprendre. POURQUOI !!! Pourquoi ma famille, pourquoi moi !!!

Après toute leur explication, l'infirmier m'emmena au côté de ma mère, j'avais besoin de la voir. Une fois que j'arrivais à ses côtés, je sautais sur son corp pâle, livide étendu sur le lit. Je la secouais espérant la faire réagir mais rien.

L'infirmier voyant ma détresse me serra contre lui, avant de me caressé le dos calmement. Les larmes ce frayèrent un passage et coulèrent par elle même.
Une fois calmé, il me décala de lui avant de me demandé si j'allais bien, j'en profitais pour le détaillé.
Il s'appel Matthieu, il doit avoir dans la vingtaine, il est brun aux yeux vert, 1m87, une musculature d'enfer.
Un belle homme, gentille et compréhensif.
- Oui sa va beaucoup mieux, merci beaucoup.
- Y'a pas de soucis, voulez-vous que je reste à vos côté ? Me questionna-t-il calmement.
- Déjà si tu me tutoie sa serait tellement mieux, répondis-je avec un petit sourire avant d'ajouter : Mais oui, ça serait tellement gentille, je n'aime pas me sentir seul.
- D'accord ! On ce tutoie, répondit-il en ricannant.

Je me dirigeais vers ma mère, avant de posé ma main sur sa joue, les larmes coulèrent le long de ma joue, avant que je ne dise d'une voix déchiré.
- Maman, ne me laisse pas, je t'en pris, je t'en pris réveil toi, j'ai déjà perdu papa. Je ne peux pas te perdre toi aussi, j'ai besoin de toi, j'ai besoin de ma mère. Même si... Même si tu m'as mise de côté, je ne sais pour qu'elle raison, je t'aime... Maman, m'abandonne pas, la suppliais-je en lui caressant la joue.

Après quelque minute, Matthieu me prit dans ses bras, comme pour me dire qu'il était là pour moi.
Ensemble nous sortîmes à l'extérieur, lorsqu'il ce rendit compte que j'avais du mal à respiré...
Il m'aida, en m'expliquant quelque consigne du genre :
" Visualise un point, fixe le et inspiré, expiré, inspiré, expiré calmement. "

C'est mots et ses caresse, m'aidèrent j'avais la sensation que sa pourrait s'arrenger. Une fois calmé, il m'expliqua que je venais de faire une crise de panique. Je n'avais tellement pas l'habitude, j'en avais jamais fait au paravent, j'avais eu si peur. J'avais la sensation que mon coeur allé s'arrêter, que mes poumons me brûlé. Voilà le sentiment qu'on ressent quand on fait une crise de panique ?

Mathieu resta à mes coter, jusqu'à ce que son bipeur sonna, il me fit un baisé sur mon front, avant de s'en allé. Me laissant seul avec ma mère.

Quelques mois passèrent....

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