La Décadence des Flamants - T...

miss-red-in-hell tarafından

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Neuf mois se sont écoulés après les derniers évènements. Cole et Heather ont chacun refait leur vie, mais auc... Daha Fazla

Résumé du tome précédent
Prologue (Cole)
Chapitre 1 : Échec (Cole)
Chapitre 2 : Le manque (Cole) | TW
Chapitre 3 : Case départ (Heather) | TW
Chapitre 4 : Ignorer est toujours plus facile (Cole) | TW
Chapitre 5 : La souffrance ou le défouloir (Cole) | TW
Chapitre 6 : Adoré de tous (Heather) | TW
Chapitre 7 : Possession (Cole) | TW
Chapitre 8 : Je ne veux pas pleurer (Heather) | TW
Chapitre 9 : Je ne te veux pas de mal (Cole) | TW
Chapitre 10 : Perdue dans les doutes (Heather) | TW
Chapitre 11 : Le destin (Cole) | TW
Chapitre 12 : Retourner sur les rails (Heather)
Chapitre 13 : Juste des lâches (Cole)
Chapitre 14 : Je t'aime trop... (Cole)
Chapitre 15 : Mon cœur est bien trop lourd (Heather)
Chapitre 16 : Tu es né dans la crasse (Cole) | TW
Chapitre 17 : L'alcool ou le révélateur (Cole) | TW
Chapitre 18 : Je n'aurais pas dû (Cole) | TW
Chapitre 19 : On ne cesse de se mentir (Heather)
Chapitre 20 : Reconnaître ses torts (Cole)
Chapitre 21 : L'ombre d'une famille (Cole) | TW
Chapitre 22 : Le mensonge est toujours un poids (Heather)
Chapitre 24 : La déception n'est jamais loin (Cole) | TW
Chapitre 25 : Peu à partager (Cole)
Chapitre 26 : Les limites de la douleur (Cole)
Chapitre 27 : Le garçon qu'elle aimait (Cole) | TW
Chapitre 28 : En pleine détresse (Heather) | TW
Chapitre 29 : Le retour de la brune (Cole)
Chapitre 30 : Une tentation comme une autre (Cole) | TW
Chapitre 31 : Les secrets qui nous tuent (Heather)
Chapitre 32 : Les funambules (Cole) | TW
Chapitre 33 : Journée de merde (Cole) | TW
Chapitre 34 : La culpabilité n'a pas de limites (Heather) | TW
Chapitre 35 : On n'est jamais sûr de personne (Cole)
Chapitre 36 : Ressasser les morts (Cole)
Chapitre 37 : Certaines armes sont plus dangereuses que d'autres (Heather) | TW
Chapitre 38 : Se fondre dans la masse (Cole)
Chapitre 39 : Un de ces étranges sentiments... (Cole) | TW
Chapitre 40 : Ma plus grosse erreur (Heather) | TW
Chapitre 41 : Mensonges et culpabilité destructeurs (Cole)
Chapitre 42 : Les erreurs ne s'arrêtent jamais (Heather) | TW
Chapitre 43 : Un autre démon du passé (Cole) | TW
Chapitre 44 : Notre avenir (Heather)
Chapitre 45 : Karma (Heather) | TW
Chapitre 46 : La cité des vicieuses réflexions (Cole) | TW
Chapitre 47 : Les mains liées (Heather)
Chapitre 48 : Les âmes torturées (Cole) | TW
Chapitre 49 : Chaque jeu a un résultat (Cole)
Épilogue (Cole)
NDA Finale
Le tome 3 est en ligne !

Chapitre 23 : Illusions d'une famille (Cole)

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miss-red-in-hell tarafından

J'avais prévenu une de mes connaissances dans la police pour régler la situation. Il m'avait avoué être en déplacement et était incapable de m'aider aujourd'hui. Seulement à partir de demain. Ceci ne me rassurait pas de devoir garder ce gamin une nuit entière chez moi, même s'il avait désormais complètement confiance en moi.

Je lui expliquai brièvement ce qui allait se passer. Il n'était pas angoissé et plutôt confiant. Je l'avais été autant que lui quand un inconnu m'avait proposé du réconfort. Cependant, je n'étais pas tombé sur la bonne personne.

À ma plus grande surprise, Heather finit par rentrer. Elle avait quelques sacs dans les bras. Je m'approchai d'elle pour la décharger et jetai accessoirement un coup d'œil dans ceux-ci.

— Tu n'as rien pour un gamin... Alors j'ai acheté des gâteaux, des glaces... et un gâteau d'anniversaire, annonça-t-elle en tentant d'en sourire du mieux qu'elle pouvait.

— C'est pour ça que tu es partie ? m'enquis-je, désormais rassuré.

— Je me sentais un peu de trop... Je pense que je n'avais pas à être là.

Je lui adressai un sourire. Elle n'avait pas voulu être indiscrète, même si je pensais que la situation l'avait vraiment gênée.

Elle me demanda immédiatement des nouvelles de l'avancée de la situation.

— Je connais quelqu'un à qui il pourra en parler, lui expliquai-je calmement. En attendant, il devra rester avec nous cette nuit.

— On va faire du baby-sitting à ce que je vois, me fit-elle remarquer, assez amusée.

— C'est une façon de voir les choses...

*

Matthew avait mangé avec nous. Il n'avait pas été compliqué et avait fini son assiette. J'étais persuadé que les légumes l'auraient dégoûté. Moi-même à son âge j'étais capable de tout envoyer par terre.

— Tu veux du gâteau Matthew ? demanda Heather d'un ton posé et maternel.

Il hocha la tête. Ce gamin parlait à peine, sauf à moi. Il faisait peu confiance à Heather.

Elle déposa le gâteau sur la table. Ce n'était qu'un simple gâteau au chocolat sans prétention. Ceci sembla réjouir Matthew, prêt à dévorer une part ou deux. Le pauvre devait être à peine nourri chez lui.

— J'ai acheté des bougies, me lança Heather.

— Je croyais que tu savais vraiment mon âge, tu me déçois. Je suis peut-être un petit trop vieux pour des bougies.

Elle laissa échapper un petit rire. Le gamin en fit de même puis il se tourna vers moi :

— Tu as quel âge ? m'interrogea-t-il d'une voix timide.

— Trente ans, soupirai-je. Ouais, c'est vieux. Tu peux me traiter de vieux croûton.

Il rit sans le moindre complexe, laissant apparaître ses fossettes aux commissures de ses lèvres. Il ne semblait plus effrayé et avait presque totalement confiance en moi.

Puis il se tourna vers Heather quand il s'arrêta de rire :

— Et toi tu as quel âge ?

— Vingt ans.

Il sembla réfléchir un instant puis abandonna. Les maths ne semblaient pas son fort.

Je pris les bougies des mains de Heather et les posai sur le gâteau. Je poussai celui-ci vers Matthew après les avoir allumées.

— Je t'en prie, souffle-les.

— Ce n'est pas mon anniversaire.

— Peu importe, fais-toi plaisir.

Il finit par accepter et souffla sur les bougies. Heather applaudit immédiatement, le félicitant. Elle aussi tentait d'égayer la vie de ce pauvre garçon.

*

J'avais laissé Matthew dormir dans la chambre d'amis le temps d'une nuit. Je l'installai, le recouvrant d'une couverture, puis m'assis à ses côtés sur le rebord du lit.

— Si jamais quelque chose ne va pas, je suis dans la chambre d'à côté, l'avertis-je au cas où. N'hésite pas à me réveiller, même pour un rien.

Il hocha la tête. Je lui caressai délicatement sa chevelure. Ce geste me semblait à la fois anormal et naturel, comme si je devais le faire contre mon gré.

Je me levai et m'éloignai du lit.

— Bonne nuit Matthew.

— Bon anniversaire Cole.

Je lui adressai un bref sourire. Deux personnes me souhaitant mon anniversaire en une journée étaient un record plutôt surprenant.

— Dors bien, murmurai-je.

J'éteignis la lumière et quittai la chambre pour rejoindre la mienne. Je croisai Heather habillée d'une longue nuisette. Elle semblait angoissée.

— Tout va bien, la rassurai-je.

— C'est adorable ce que tu fais.

— Ce gamin avait besoin d'aide... N'importe qui l'aurait fait.

Elle eut une rapide grimace.

— Non, pas n'importe qui. Je ne l'aurais pas fait...

Je m'approchai d'elle et la pris dans mes bras.

— Je ne suis pas sûre que ton anniversaire aurait dû se passer ainsi...

— C'est sûrement le meilleur anniversaire de ma vie. Rien de mieux que d'aider une personne.

— C'est en rapport avec ce qui t'est arrivé ? me demanda-t-elle d'un air triste.

Avant même que je trouve une esquive aussi absurde que stupide, le gamin était entré dans notre chambre, apeuré.

— Je n'arrive pas à dormir, lâcha-t-il d'une faible voix.

— Tu n'as qu'à dormir avec nous, suggérai-je.

Elle m'adressa un sourire amusé. Immédiatement, il s'installa l'air rassuré.

J'échangeai un bref regard avec Heather. Elle semblait compatissante bien que la situation la gêne. Je ne pensais pas être celui le plus à l'aise avec un gamin. J'en étais le premier surpris.

Puis le sommeil nous emporta rapidement et cette journée s'envola...

*

Il était encore très tôt quand j'ouvris les yeux. La lumière du jour apparaissait petit à petit. Heather dormait tout autant que le gosse. Il semblait paisible. Je l'aurais été à sa place, même si je n'avais pas aussi bien dormi que lui.

Je quittai le lit en tentant d'être discret. Je les regardais longuement, encore endormis sur le lit. C'était une scène adorable, mais pas le genre de scène que j'étais capable de vivre au quotidien.

Je me rendis dans la salle de bains pour prendre une rapide douche puis enfilai les mêmes vêtements que d'habitude. Chemise, veste, pantalon et cravate. Par la suite, je commençai à me raser, essayant d'éviter mon reflet du mieux que je pouvais.

Je fus interrompu dans mes gestes lorsque je sentis la présence de quelqu'un à mes côtés. J'entendais son timide souffle. Je descendis alors mon regard pour croiser celui du gamin tout en étant persuadé qu'il n'irait pas se rendormir de sitôt, voire même que sa nuit était désormais terminée, tout comme la mienne.

— Tu as bien dormi ? lui demandai-je d'une douce voix.

Il haussa les épaules pour me répondre. Il avait du mal à communiquer. Je ne lui en voulais pas, c'était normal et tout à fait compréhensible.

— Qu'est-ce que tu fais ? m'interrogea-t-il d'un air curieux.

— Je me rase. Tu découvriras ça en grandissant.

J'échangeai un bref regard avec lui puis rinçai mon visage pour me débarrasser de la mousse superflue. Je m'essuyai rapidement le visage avec une serviette posée à côté de l'évier.

— Tu as faim ?

Il hocha la tête très rapidement, comme si sa tête était sur un ressort. J'en déduisis que la réponse était un énorme oui et que c'était très urgent.

— On va aller en cuisine, annonçai-je en reposant la serviette à sa place.

Je lui pris la main et le conduisis à destination. Il s'assit immédiatement à table.

— Que préfères-tu pour le petit-déjeuner ? J'ai du jus... du lait... et Heather a acheté quelques gâteaux.

Il était muet ou indécis et je ne savais pas vraiment comment je devais interpréter ça. Ne sachant pas comment réagir, je posai les gâteaux, le jus, le lait et un verre sur la table puis m'assis face à lui. Il finit par se décider à prendre un verre de lait et quelques gâteaux dans le plus grand des silences. Il me regarda avec insistance pour finalement lâcher d'une faible voix :

— Tu ne prends rien ?

— Je ne prends pas grand-chose au petit-déjeuner.

— Tu devrais goûter aux gâteaux, ils sont bons.

Je cédai et m'en emparai d'un pour en croquer une bouchée. Effectivement, ces gâteaux étaient assez bons contrairement à ce que je pouvais en penser.

— J'irai remercier Heather de les avoir achetés, lançai-je d'un ton presque plaisantin.

— Tu es marié avec elle ? m'interrogea-t-il d'une voix basse.

— Non.

— Elle est très belle. On dirait une princesse, la complimenta-t-il.

Je ne pus m'empêcher d'afficher un sourire. Heather n'avait jamais été mon type de femme, pourtant, elle était très belle. J'avais eu une vision assez brouillée de la beauté tout comme de l'amour jusqu'à récemment.

— Elle est très gentille aussi.

— En effet...

Je pris une autre bouchée du gâteau. Elle était très gentille, bien trop gentille avec quelqu'un comme moi. La gentillesse n'était certainement pas une qualité, ou du moins, selon moi.

— J'aimerais bien avoir quelqu'un comme elle.

— Tu trouveras quelqu'un de bien parmi toutes ces mauvaises personnes. Déjà, si tu dis tout, tout ira mieux.

Il eut un sourire hésitant puis continua de manger son gâteau.

Dans quelques heures, il ne serait plus là. Je n'aimais pas les enfants, pourtant, ce serait mentir de dire que ça ne me faisait aucun effet. Dans quelques heures seulement...

*

Aux alentours de vingt heures, John s'était finalement pointé à ma demeure. Il avait compris la situation et était prêt à écouter le gosse.

C'était malheureusement l'heure des adieux.

Je m'accroupis face à Matthew pour être à son niveau. Il n'était pas très grand, normal à son âge.

— On se reverra ? me demanda-t-il d'un air morose.

— Bien sûr, répondis-je sans certitude.

Il me prit par surprise dans ses bras, me serrant fermement contre lui. Je tentais de poursuivre son étreinte. John et Heather me regardaient d'un air amusé. Les gosses et moi, ça faisait vraiment deux.

— Tu vas me manquer Cole, murmura-t-il.

J'avais l'impression qu'il était prêt à pleurer mais toujours incapable de me lâcher. Pourtant, je ne le forçai pas à s'éloigner de moi. S'il voulait rester ainsi pendant des heures, je l'aurais fait. Il agrippa ses doigts à ma veste comme si la mort l'attendait. En réalité, ce n'était que la peur de l'inconnu, celle que j'avais dû affronter à de nombreuses reprises.

Il finit par me relâcher. Ses yeux étaient humides et il se mordait la lèvre inférieure.

— Je te jure que l'on se reverra, lui assurai-je encore une fois sans certitude.

— Promis ?

— Promis.

John, bien qu'attendri, par cette scène reprit aussitôt de son sérieux.

— Matthew, on y va ?

Le gamin hocha la tête et prit la main de mon ami sans me quitter du regard. Je me relevai tout en lui adressant un regard compatissant.

Puis il partit. Heather s'approcha de moi et posa sa tête sur mon épaule droite. Je sentais sa douce chevelure me caresser le cou.

— Tu as l'air de t'être vraiment attaché à ce gamin, me fit-elle remarquer d'un ton enjoué.

— Non, pas du tout, mentis-je. Je n'ai fait que l'aider.

Je l'entendis lâcher un petit rire amusé. Elle se foutait clairement de ma gueule. Merci, ça fait plaisir.

— Serait-ce un moyen de dire que tu veux des enfants ? demanda-t-elle en tentant de se retenir de rire.

— Certainement pas. On n'aura pas d'enfants.

Elle secoua gentiment la tête en signe de désaccord. Elle était une de ces femmes qui voulait des enfants, à mon plus grand malheur.

— On aura des enfants, insista-t-elle.

— On n'aura pas d'enfants, rétorquai-je d'un ton assez dur.

Elle enleva sa tête de mon épaule et se mit face à moi pour me regarder dans les yeux.

— Cole, on aura des enfants, répéta-t-elle plus déterminée que jamais. Un jour ou l'autre, on en aura. D'ailleurs, si on a un garçon, il devrait porter ton nom. Ça serait une bonne idée.

— Quelle horreur, un mini-moi, déclarai-je d'une voix grave, avec de nombreuses appréhensions. Je te promets que ce n'est pas une bonne idée.

Sa réponse ne m'étonna pas, je m'en serais douté :

— J'adorerais avoir un enfant. Imagine ce que ça donnerait.

Je tentais d'imaginer la situation. J'en étais incapable et écarquillai subitement les yeux.

— Ça serait une catastrophe, lançai-je, presque dépité.

— Je ne vois pas pourquoi ! objecta-t-elle en haussant le ton.

— Déjà, si ce gosse a la moitié de mes gènes, il est foutu.

— Ne dis pas ça, il aura aussi mes gènes, tenta-t-elle de me rassurer.

Je lui souris. Elle était très optimiste et relativisait bien trop facilement. La vie n'était pas aussi simple.

— Si seulement il pouvait avoir plus que la moitié de tes gènes, lâchai-je, songeur.

Elle eut un sourire plutôt gêné. C'était une forme de compliment, du moins, je le croyais. Puis elle leva brièvement les yeux au ciel comme pour rêvasser.

— J'adorerais entendre ses premiers mots. Je me demande ce qu'il dirait en premier.

— Il a intérêt à ce que ce soit putain, rétorquai-je pour l'éviter de partir dans un délire dégoulinant.

Elle secoua la tête comme si ma remarque venait de la désespérer. À quoi s'attendait-elle après tout ?

— Mais on n'aura pas d'enfant, alors on s'en fiche, soufflai-je en espérant mettre court à cette conversation.

Je n'aimais pas vraiment la tournure de cette discussion et tentai de détourner le sujet de celle-ci en la prenant dans mes bras. Elle avait dû se rendre compte de mon malaise et ne força pas davantage.

— En tout cas, tu t'es attaché à cet enfant, que tu le veuilles ou non, clama-t-elle comme pour me provoquer.

Peut-être bien un peu. Mais bizarrement, je m'étais senti responsable de son état. Jamais je n'aidais les autres généralement. Ce n'était que de la perte de temps.

Son regard s'attrista soudainement et elle baissa les yeux.

— Sinon, il est sûrement trop tard pour aller à la patinoire, marmonna-t-elle la voix teintée de déception.

— Tu y tiens vraiment à ton idée ? demandai-je prêt à faire quelques concessions.

— C'était le dernier jour et c'est fermé maintenant, soupira-t-elle.

— Si tu veux y aller, on ira.

— C'est fini maintenant, rétorqua-t-elle d'un ton morose.

Comment pouvait-elle croire qu'une simple fermeture m'empêcherait d'y aller ? Elle me connaissait mal. Je lui adressai un rapide sourire malin et m'emparai de sa main pour qu'elle me suive.

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