« Arrête ! » crie Michael, courant à travers la maison alors que tu le poursuit avec tes mains pleines de glaçage.
« C'est une revanche Michael Clifford. » tu l'informes.
Il rigole et saute par dessus le canapé, passant brusquement a côté de toi et retournant dans la cuisine.
« Je ne vais pas te blesser, Mikey ! » l'appelles-tu alors que tu le suis.
« Tu vas me remplir de glaçage ! » argumente-il.
Il grimpe sur le comptoir, tenant une cuillère en bois pour se protéger.
« Qu'est-ce que tu vas faire avec une cuillère ? » rigoles-tu, secouant ta tête vers ton petit-ami.
« Je sais pas, te combattre. » répond-il, tenant farouchement la cuillère.
« Viens me voir. » tu l'invites. « Je peux affronter ça. »
Tu le menace avec tes mains recouvertes de glaçage. Soudainement, tu vois Michael se lever et courir sur le comptoir vers toi. Tu t'écartes rapidement alors qu'il saute et t'atterris presque dessus, courant de nouveau vers le salon.
« Michael, tu m'a presque tuée ! » tu cries, le poursuivant avec une nouvelle énergie.
Tu te dépêches vers le salon, mais ne le vois nulle part. Tu cherches alors à travers la maison, vérifiant derrière les portes à la recherche de ton petit-ami espiègle quand tu l'aperçois reprendre son souffle dans l'entrée.
« Oh. » dis-tu avec un sourire mesquin alors que tu t'approches de lui. « Quelqu'un aurait abandonné ? »
« Jamais. » halète Michael, te faisant rire.
Tu t'approches doucement de lui, seulement quelques centimètres d'écart entre vous quand ses mains s'emparent rapidement de tes poignets.
« Non ! » cries-tu dans la défaite alors qu'il tient tes mains au dessus de ta tête par tes poignets, s'assurant de ne pas se mettre de glaçage sur lui-même.
« Oh, est-ce que c'est du gui que je vois ? » demande-il, regardant au dessus de toi.
« Quand est-ce que tu as pris le temps de mettre ça ici ? » tu rigoles, secouant ta tête vers lui.
« Ce n'était pas moi. » ment-il avec un sourire narquois. « Mais ça n'a pas d'importance. Tu dois m'embrasser. »
Tu obéis, t'avançant plutôt maladroitement, considérant que tes mains sont toujours tenues au dessus de toi, et embrasses Michael.
Tu mords gentiment sa lèvre, sachant que ça le rend fou, et très rapidement tu sens ses mains libérer les tiennes, pour les poser sur tes hanches.
Obtenant enfin le moment parfait pour ta revanche, tu déplaces l'une de tes mains pleine de glaçage dans ses cheveux tandis que l'autre enveloppe son visage, le faisant s'éloigner immédiatement.
Il touche son visage, sentant le glaçage là où ta main était.
« Je t'ai eu ! » tu cries en triomphe avant de te précipiter au loin.