Il n'ya rien je te dis .
- Écoute je ne suis pas dupe hein ! Tu arrives sans prévenir . Tu m'as l'air étrangement désorienté . Il a fallu que je parle des rêves prémonitoires de maman pour que tu transpires à grosses goutes de su...
- Te fais pas des idées , il n'ya rien ! Je suis simplement de retour . Et transpirer à grosses goutes tu dis ? N'oublis pas que je suis un dur à cuir ; rien ne m'effraie . Absolument rien .
Il sourit à nouveau . Seulement , deux individus armés infiltrerent le domicile à la vitesse du vent . Il n'eût même pas le temps de s'en rendre compte tant il était déjà par terre . Sa sœur tétanisée, n'eût que sa corde vocale pour crier " help ! " ou " À l'aide ! " si vous voulez . La calachnicov pointée sur elle ,la menaça et lui fît perdre l'usage de ses lèvres . Elle pleurait et observait , impuissante . L'attention des dits bandits semblait tournée vers Jack . Par terre , il n'avait que ses mots pour se défendre .
- Que voulez vous ? Qu'avons nous fait ?
- Maudiiit là ! Ton gros gros français là c'est pas sur nous hein ! Fo nous donner paquet de gbonn là , on va quitter ici ! Répliqua l'un d'entre eux .
- C'est quoi le " gbonn " ? J'ignore ce dont vous parlez !
Il y'avait dichotomie de registres langagiers, force est de le faire remarquer . Quelle situation Caucase ? La mort d'un côté qui se rincait les bras contrastant avec le fou rire que denudait la réplique du bandit .
- Annh ! Donc tu sais pas quoi ? Je dis ô Kèlètici , onn ka le dja* non ?