Quatre jours après le mariage, je suis de retour à la maison pour la tradition du topp tank ( le fait de retourner chez soi quelques temps après le mariage pour partager une journée avec sa famille et amis autour d'un bon repas. Un mouton et des poulets ont été préparés pour le yendou.
Donc j'y suis avec ma team du bureau, tata Alima, trois de mes cousines. Un cercle fermé mais loyal. Tout ce dont j'avais besoin. A la maison, maman et mes sœurs terminaient leurs cartons. Ndiouga avait offert à maman et tonton MaLamine une grande maison aux Almadies, elle fait l'objet de quelques travaux de finition mais est déjà prête pour être habitée. Ma famille s'apprêtait justement à y déménager. Mariam en était surexcitée. Ndiouga a tenu à rendre un vibrant hommage à tous ceux qui m'aiment et était décidé à leur témoigner sa bonne volonté de par mon intermédiaire mais avant cela...
Amina : je t'ai vu tu marchais bien hein. Tu es déjà guérie ?
-de quelle maladie même?
Amina : aahhh ?
Bijou : vous exagérez nak ce sont les deux premiers jours qui sont les plus douloureux après ça va.
-surtout quand tu as un mari si attentionné comme le mien. Il te coule un bain tiède, me fait des massages exquis. Juste après je suis aussi légère qu'une plume.
Amina : deigal ma lii rek. ( Entendez moi ça rek ). Tu es retournée à la bébéssance. Tout ce qu'il fait là là pour toi.
Awa : tu as du pain sur la planche deh. C'est un homme qui a connu plusieurs femmes dans sa vie qui se sont occupées de lui. Ce sera très sur de l'impressionner deh moi-même il m'impressionne et pourtant mon chemin n'est même pas dedans.
Bijou : ma chérie faudra mettre la barre encore plus haute. Il aime prendre soin de toi donc sois parfois capricieuse, aie une longueur d'avance sur lui. Beaucoup de femmes sont négligées par leurs maris. Ils pensent qu'ils doivent uniquement être servis par leurs femmes. Mais pour toi c'est l'inverse mais je vais te dire une chose c'est Ndiouga tout craché lorsqu'il s'investit dans quelque chose il le fait à fond. Il aime à en perdre la tête. Or, argent, maisons il s'en fout il te donne tout ce qu'il a pour te faire plaisir. Si tu le vois attentionné avec d'autres femmes ne pique pas de crise de jalousie il est juste généreux.
-aha je suis pas d'accord. Quand je l'ai connu il ne voulait même pas regarder les femmes. Il était rancunier et ne voulait pas avoir affaire avec elles maintenant tu me demandes d'être compréhensive. Ah ça non pas de rapprochement avec mon Ndiouga.
Awa : ça y est elle a goûté le truc et sait à quel point c'est bon.
-j'ai bien goûté mom sur toutes les facettes nak.
Amina : ah le changement est rapide deh. Tu m'as l'air d'être devenue une junky du mougouli.
-tu veux que je te donne des astuces.
Amina : ne me manque pas de respect deh. Je t'en ai appris des choses. Tu te maries et te sens déjà supérieure à moi. Je te casse la gueule là tout de suite.
Awa : bismilah. Ça fait longtemps que je n'ai pas regardé de combat de boxe.
Bijou : raconte nous plutôt comment ça se passe ? Combien de rounds arrives-tu encore à supporter ?
-beaucoup.
Amina : entendez par là un et demi.
-aigrie va.
Awa : ne gâchez pas la discussion. Allons à l'essentiel.
-vous êtes curieuse deh mais vous n'en saurez pas plus. Je garde jalousement ces moments torrid pour moi.
Elles s'ecrièrent toutes étonnées.
-y a pas de quoi être choquées. En ce moment je n'ai de temps que pour ma lune de miel.
Awa : vous partez quand ?
-demain. On va d'abord tester des hotels du pays ensuite faire deux trois pays avant de revenir. On revient dans max trois semaines...ou quatre.
Tata Alima qui venait avec des tasses de jus.
Tata Alima : en tout cas faites des choses de jeunes. N'emporte que de petites tenues avec toi. Donne lui envie de te ramener toutes les semaines en week-end de miel. Waw. Fais lui perdre la tête et sois la condition, le remède à sa folie. Sa famille nak fais de sorte que tu sois leur chouchou. Mets les de ton côté. Tu es mariée non pas uniquememt à Ndiouga mais aussi à tous les membres de sa famille. Alors assure sur tous les bords.
Maman : et ce qu'il y a de plus important c'est la paix. Sois un refuge pour ton mari. Peu importe les problèmes qu'il a dehors de quelque nature que ce soit avec qui que ce soit dès qu'il rentre à la maison et qu'il te voit c'est comme si tu le déchargeais du poids de l'univers. Il doit tout oublier, aller mieux, retrouver le sourire et le bonheur et c'est un rôle que tu gérer même si vous êtes en froid car dorénavant c'est sur toi qu'il compte pour garder ses secrets et le conseiller sur les décisions qu'il prendra. Tu ne peux pas devenir une source de stress pour lui non. A chaque fois qu'il est dehors il doit avoir hâte de rentrer chez lui car une femme attentionné n'attend que lui pour l'emmener au nirvana.
Tata Alima : malako wakh deh ( je te l'assure). Bouy dugu si keur gui di mode avion téléphone bi bagne kouko delossi souf. En plus dès qu'il rentre il met son téléphone sur mode avion pour ne pas qu'on le ramène sur terre.
-ne vous en faites surtout pas pour ça. Je compte bien gérer mon foyer et surtout mon mari car j'ai un époux en or. Je plains les célibataires qui dansent à tous les mariages.
C'était un clin d'œil à ma plus que sœur mdr.
Amina : prépare toi car à tout moment je peux faire basculer le game. Je vais me trouver un mari bien riche et bien marié même que j'aille troubler des consciences là-bas.
-tu ne changeras jamais. Mais ce jour est encore plus spécial car j'ai aussi été envoyée par Mr.Fall. attendez une minute.
Je vais dans la chambre chercher le sac que j'y avais déposé quelques heures plus tôt.
Je convoque maman et tata qui étaient sur la terrasse à discuter pour assister.
-donc voilà nous sommes réunies ici pour moi mais je suis là aussi chargée de distribuer quelques cadeaux au nom de Mr.Fall.
Awa : vous entendez comment elle prononce deh. Thiey que c'est bon d'être la femme du boss.
Je souriais et rougissais à sa phrase.
-Ndiouga dans sa politique de m'aimer et d'aimer tous ceux qui m'aiment m'a envoyé vers vous.
Donc...
Je commence à ouvrir le sac puis en sort un papier que je tenais en main. Puis je m'adresse à tata Alima.
-ma tata chérie devenue une maman. Je n'ose pas oublier cette nuit tardive à partir de laquelle tu m'as hébergé chez toi, des mois durant. Maman Alima, tu n'as pas juste été une mère pour tes propres enfants mais aussi la mienne et pourtant la mienne est encore là. Tu m'as plus nourri que tes propres enfants. Tu as sacrifié ton sommeil, ton temps juste pour que je me sente mieux. Je n'avais personne vers qui me tourner et tu es venue à moi les bras grands ouverts pour me rassurer. Et pourtant tu ne vis pas dans le luxe même si tu vis bien. Tu n'avais pas des hectares, mais tu me faisais sentir que chaque cm de ta demeure vous la partagiez avec moi. Je ne me suis jamais sentie à l'étroit au contraire j'étais même gênée par tant d'attention que vous portiez en ma personne. Jamais tu n'as sorti de propos blessants à mon égard. Jamais tu n'as douté de moi malgré les accusations de mes badienes. Je primais même sur Amina. Et cette dernière n'a jamais montré de signe de jalousie face à notre complicité. Pour vous remercier de votre hospitalité, Mr.Fall a décidé de vous offrir la maison de vos rêves. Vous choisirez où vous vous voulez cette maison et avant la fin du mois vous pourrez partir. R+2-R+3, la déco tout vous n'avez qu'à choisir et lui faire parvenir le devis sinon il peut aussi vous envoyer son agent immobilier. Tiens ce papier avec tous les détails.
Amina se tenait la bouche, maman souriait, les filles applaudissaient et tata Alima sanglotait. Elle ne pouvait croire à autant de générosité. Je vais la serrer dans mes bras.
-mais tata pourquoi pleurer. Ne dit-on pas qu'on ne récolte que ce que l'on a semé? Tu as semé la bonté donc reçois cette pluie de cadeaux car j'ai pas fini. En plus de cela, une voiture que tu iras choisir toi-même au concessionnaire de ton hoix. Il vous offre aussi à toi et tonton Moustapha des billets pour la Mecque.
Là elle se met à prononcer des mots inaudibles puis se lève brusquement ce qui me fit sursauter. Et elle s'est mise à danser. Cela nous fit éclater de rire la vitesse à laquelle elle est passée des larmes aux pas de danse. Puis elle se remet à essuyer ses larmes.
Tata Alima : comment le remercier ce bonhomme. Je ne sais pas. Je suis tellement contente. Que Dieu vous bénisse mes enfants.
-amen. Maintenant c'est au tour de ma jumelle.
Amina : moiiiiiiii????
-oui toiiiiiiiii.
Je vais vers elle lui tendre les clés d'une berligne, une Fiat Tipo Cross. Elle se jette sur moi surexcitée.
Amina : une voiture? Non il n'est pas sérieux.
-si il l'est. Il dit que tu pourras frimer avec comme la modestie te fait défaut. Pour lui hors de question que tu prennes des taxis ou bus.
Amina : mariez-vous avec...mariez-vous avec...elle ne terminait pas sa phrase et puis soudaine elle s'évanouit submergée par les émotions visiblement. Elle se réveillera quelques minutes plus tard ne perdant rien de son euphorie.
Le lendemain, Mr.Fall et moi bouclions nos valises pour la première étape de notre lune de miel : un séjour de deux jours dans la réserve de Fathala pour un safari 4 étoiles. Un moyen d'admirer de près une panoplie d'animaux sauvages de très près mais aussi de profiter de lodges super beaux et confortables en connexion avec la nature. Les deux jours passés là-bas ont été relativement calmes. On passait plus notre temps à discuter et à profiter de la nature.
Puis nous nous sommes envolés vers les Maldives où un de ses amis, un français possédait un hôtel ( plusieurs mini villas en clair ) directement posées sur une mer d'un bleu turquoise à couper le souffle.
Nous arrivons avec encore plus de rage de s'aimer. Ce que je vis depuis notre mariage il y a à peine quelque jours est indescriptible. Mon amour pour lui décuplait chaque seconde.
Après une demie-journée à visiter les lieux et les alentours, il est 17 heures passé et je n'avais qu'une envie c'est de sentir Mr.Fall en moi. Seulement Monsieur était au téléphone depuis plus de vingt minutes. Je lui faisais signe que j'avais besoin de lui mais il m'a fait savoir qu'un de ses amis avait des soucis et qu'il devait le conseiller. Je n'en rajoute pas et décide de faire quelques caprices. Je monte dans la chambre me changer et d'activer le mode gangsta. Je porte une mini robe trouée. Vous voyez le genre style Jamaican qu'on porte par dessus un maillot de bain. Il est totalement transparent à cause des trous et on voyait en dessous mon string vert et pas de soutien gorge. Ensuite je m'empare de ma longue perruque de locks qui m'arrive jusqu'au dos hors de question qu'elle cache mes fesses bien bombées avec le string. Et pour combler le tout un eyeliner pour un regard d'allume-feu et des faux piercings sur le nez, la lèvre inférieure et le ventre. Aujourd'hui j'amène la Jamaïque jusqu'à lui. Je descends les escaliers avec mes talons haut à lacets. Il était toujours concentré sur le téléphone avec son ami au bout du fil. Lui-même semblait en avoir marre. Je vais me mettre sur la table basse lui faisant face lui qui était affalé sur le canapé. En me voyant il commençait à begayer et à demander à son interlocuteur de se répéter. Je sucais avec passion un bonbon à la fraise en lui faisant des clins d'œil ou en jouant avec mes locks. Il ne quittait pas des yeux ma poitrine et ma bouche et n'osait pas soutenir mon regard car il en perdait ses moyens. J'ouvre partiellement mes jambes et je le voyais écarquiller les yeux puis redresser sa posture. Puis je décide de zapper la chaîne de télé. La télécommande était juste à côté de moi mais non il ne faut jamais faire dans la simplicité. Je me lève doucement et lui tourne le dos pour qu'il aie une vue imprenable sur mes fesses, puis je me baisse en prenant mon temps et en twerkant mes fesses. A elles seules elles faisaient un bon instrumental. J'ai la télécommande en main hein mais je ne me relevais toujours pas. Toujours de dos, maintenant je me mets en position accroupie avec les mains posées sur la table basse. Je m'étais mes locks sur le côté et remuais toujours mes fesses. Je sentais monsieur s'impatienter au téléphone.
Ndiouga : je comprends très bien ce que tu dis. Mais là-bas il n'est pas encore l'heure d'aller prier ? Ne te laisse pas absorber par tes problèmes au point de ne pas prier deh.
Tout ça pour lui dire gentiment de raccrocher mais son ami ne semblait pas vouloir comprendre. Donc je reprends les choses en main. Maintenant je suis devant lui. Il rapproche son visage du mien j'en profite pour lui mordre la lèvre et de bien le regarder et sans crier gare je mets ma main dans son pantalon. Il était en short que j'abaisse sans aucune difficulté. Il ne portait pas de caleçon. A la place de ma main c'est maintenant avec ma bouche que je le titillais. J'ai son engin dur dans ma bouche et à peine le premier aller-retour, sans le faire exprès Mr.Fall crie de surprise.
Ndiouga : oh putain fais chier!!!!!
Puis il se rappelle qu'il était au téléphone.
Ndiouga : non pas toi je suis désolé je viens de me cogner l'orteil sur un meuble je crois que j'ai besoin de soins là je te reviens tout de suite...
Il raccroche mais moi je me lève.
Ndiouga : hey mon coeur tu vas où là ?
-nous préparer à manger khana.
Ndiouga : non termine d'abord ce que tu viens de commencer.
-de quoi tu parles ? Dis-je innocemment.
Ndiouga : oh shit avec toi je sais que je suis prêt à voyager même dans l'espace. T'es trop sexy j'ai envie de te faire des choses pas très bien là. Je vois bien que tu es dans la provoc et ça me plait de ouf. Maintenant viens me sucer comme tu sais si bien le faire.
-j'ai des choses à faire. Dis-je en me dirigeant vers la cuisine et il me suit. D'ailleurs ton ami a des soucis tu devrais l'aider non ?
Ndiouga : il est adulte il peut régler ses problèmes tout seul.
Il y a quelques minutes tu me faisais un truc trop bon maintenant tu veux cuisiner. Tu n'es pas sérieuse bb.
- c'était pour avoir une idée de quoi préparer. Si c'était trop sucré le dîner devra être épicé et vice versa.
Ndiouga : Fatima Diop Fall vient continuer ce que tu as commencé sinon je te prends sur le plan ss travail.
-Ndiouga Fall j'ai...
Il ne me laisse même pas le temps de terminer.
Ndiouga Fall : je te jure que si j'ai ta chatte en bouche je ne la lâcherai pas.
Je me débattais tant bien que bien mal mais il me tenait fermement et commençait à se déshabiller. C'est lorsqu'il enlevait son lcherai que j'en profite pour m'échapper de son étreinte et cours vers la chambre. Je plonge sur le lit sans prendre la peine de refermer la porte derrière moi. Il entre et surprise : la chambre avait d'autres allures. Une lumière qui changeait toutes les 2 minutes, on passait du rouge au bleu ou au blanc. Les bayas étaient dispersés un peu partout sur le lit. L'encens avait bien parfumé la chambre et rendu l'atmosphère très sexuelle. Il entre avec un sourire plus que coquin.
Ndiouga : je sens que le menu d'aujourd'hui c'est nous deux.
Je vais vers lui en tirant sur sa nuque.
-ne perdons pas de temps. Il ne faut pas que le repas refroidisse.
Ndiouga : surtout pas.
Je le pousse à s'asseoir sur le lit. Je prends quelques bayas au hasard que je lui tends. Il choisit les plus bruyantes puis je lui demande de me les mettre une à une. Coquin qu'il est se met derrière moi me les mettait et frottait son engin à mon cul et en donnant quelques tapes au passage. Il a ensuite eu droit à un vrai leumbeul dont les bayas faisaient office de tam-tam.
Il baissait la tête pour me faire des bisous sur les fesses et me dire tout ce qui lui passait par la tête.
Après la danse je monte à califourchon sur lui. Son corps était bouillant et malgré la clim il transpirait de ouf.
-tu as chaud mon coeur ?
Ndiouga : et comment. Tu es entrain de me faire rôtir là.
- comment se fait-il que j'ai toujours mon string ? Tu me déçois beaucoup.
Et opp il me met sur le dos et au lieu de l'enlever avec ses mains il y va avec les dents. En un rien de temps je n'avais plus rien hormis la robe transparente. Il prenait son temps et regardait minutieusement chaque cm de mon corps je me demande bien ce à quoi il pense ces moments là. Je suis à nouveau à califourchon sur lui pour mettre son engin dans ma chatte. Il me regardait en souriant malicieusement.
Ndiouga : hum Madame a envie de baiser on dirait.
J'étais sur lui à monter et descendre comme pour faire des squats. Il me donnait des tapes sur les fesses ou les pressait.
Le sentir en moi me faisait perdre mes moyens. Après quelques minutes je tremblais de partout. Il me jette de l'autre côté du lit, il presse ses mains sur mon coup et me martèle de coups violents.
-ookhh oui c'est ce que je veux.
Je gémissais et hurlais de plaisir. Je voyais bien que me voir dans cet état lui plaisait.
-maintenant baise mon cul.
Ndiouga : hmm t'es sûre? Tu risques d'avoir un peu mal.
- je m'en fous fais de ce corps ce que tu veux.
Il m'embrasse ardemment et me retourne. Après avoir mis du lubrifiant sur la zone, lentement il me pénétre par derrière. J'ouvrai grand la bouche pour savourer ce nouveau truc doulouteux mais intriguant aussi. Je m'y étais déjà préparée depuis un moment d'ailleurs surtout avec le lavement anal pour éviter les mauvaises surprises. Puis il commençait à accélérer ses mouvements. Je me sentais partie ailleurs. Je n'avais jamais ressenti de telles sensations, un tel plaisir. Lui aussi appréciait ce moment par dessus tout et sortait de sa bouche toutes sortes de cochonneries.
Ndiouga : devant ou derrière partout tu es bonne à baiser.
-j veux tout le temps te sentir au plus profond de moi.
Il grognait de plaisir et moi je criais. Il tirait sur ma perruque que j'avais collé, désormais je ne colle plus. Il me martelait de coups et nous faisions trembler le lit et toute la pièce d'ailleurs.
-oh doucement là tu me fais mal..
Ndiouga : tu joues aux putes non tu vas le sentir jusqu'à tes tripes
-t'aimes que je sois ta pute enfoiré.
Il me serrait la gorge tout en me pillonnant si rapidement que je giclais de partout. Je me découvrais femme fontaine. Une première depuis nos rapports. Il jouit en moi puis commence à me lécher.
Ndiouga : hmm c'est super tu vas désormais m'arroser quand j'aurai chaud.
-pourquoi tu sais si bien me faire l'amour. Je peux plus me passer de toi là. N'ose même pas approcher d'autres femmes sinon je te coupe ta bite.
Ndiouga : même si je les approche, seule toi a le don de me mettre dans cet état. Tu me ramènes à mes 18 ans en mieux.
-çe n'est que le début. Je t'emmenerai là où tu n'es jamais allé et ferais ressortir en toi ce que toi-même ignorais avoir. Dis-je en lui touchant la bouche et les tétons.
Ndiouga : tu sais que je t'aime?
-non faudra me le montrer plus tard...
Je lui fais un clin d'œil avant de l'inviter à me rejoindre dans la salle de bains.
J'entends une sonnerie de téléphone.
-naaann s'il te plaît. On avait dit pas de téléphone.
Ndiouga : attends mon cœur celui-ci c'est pour les urgences. Ça ne prendra pas beaucoup de temps t'inquiètes.
Et il décroche...
Ndiouga : .....non ne t'excuse pas maman dis-moi plutôt ce qu'il y a.
Ndiouga : comment ça elle est devenue folle.... bbAida est avec vous ?
Je sors de la sdb en m'essuyant. Ndiouga avait l'air dépité.
Ndiouga : je te promets qu'on va continuer notre lune de miel mais là il faut qu'on rentre à la maison. BbAida y est et apparemment Zara est devenue folle.
-et tu crois à ces histoires. Tu lui donnes encore le pouvoir de changer nos programmes. Ndiouga respecte moi un peu.
Ndiouga : ne parle pas de la sorte. Ça c'est sérieux il faut qu'on aille voir ce qu'il Y'a. Tu m'avais dit que je reste le papa de bbAida non ? Donc là on va voir ma fille elle a l'air terrorisée d'après maman. Tu es aussi sa maman donc ne t'énerve pas on aura tout le temps pour se faire des gâteries toi et moi. Dit-il en me chatouillant de partout pour détendre l'atmosphère.
On vivait nos moments heureux, Zara voulait y mettre un terme mais sans le savoir elle creusait sa propre tombe.
Ndiouga pensait être séparé de sa fille mais c'est aujourd'hui que notre famille allait se constituer au complet.