Fatima : La Femme Du Boss

By MlleGueye23

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Fatima est une brillante jeune femme très ouverte avec beaucoup de caractère. Elle vit à la Médina, un quarti... More

présentation de Fatima
Mara bi ( le marabout ) 1ère partie
Mara bi ( la suite ).
Brioche omelette
coucou Yaay😟
guys
le départ
appel vidéo bi🥵
A new day has come.
Diamniadio
( Diamniadio: La suite )
le boss ?
la rencontre partie 1
La rencontre ( suite )
message
Ndiouga
Ndiouga 2
l'ultimatum
message
ultimatum suite
clamer
Le début des ennuis ?
bataille psychologique
visite surprise 1 ( bb Maty )
visite surprise 2 ( bb Maty et bb Aida ).
Fatima vs Zara (1-0)
mission remontada ?
wekh dounk ( avoir bon dos ).
Par force
Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis
le Bonjour 🤣😭
Goumin
matelas de la réconciliation ( Ndiouga et Seynabou )
Du Maïga au dîner
Un anniversaire peu joyeux.
le signe
Coup de gueule et passion
chez maman Jongué ( l'astucieuse)
Message visé de maman
Déjà la fin entre eux ?
jubbo bi ( la réconciliation)
Chaud comme la braise.🥵
ceci N'est pas un chapitre mais plutôt un msg
dewenety
un rêve éveillé
La convocation
Affaire vol de données
Show must go on ( le spectacle doit continuer)
LA taupe dans la trappe.
Le pardon
KFC
jour de vérité
mission 2e dame
Karma
joyeux anniversaire
préparatifs.
wedding day le mariage
petite lune de miel
ceci n'est pas un chapitre
hello choix 1
choix 2
De retour!
recap+noces écourtées 1 et 2(suite)
Une belle-mère en or

noces

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By MlleGueye23

"Boul door boul saga lebou bou rafet lenla indil.
"Boul door boul saga lebou bou rafet lenla indil."
( ne frappe pas et n'insulte on t'as amené une belle lebou. ) c'est sous les chants que nous entrons dans la maison. Avec modération cependant par respect pour les personnes âgées vivant ici. Après quelques étapes incontournables comme être portée sur le dos d'un membre de la famille, verser du mil sur le "layou" et plus tard dans la chambre, mangé la bouillie de mil avec du lait caillé. La tradition veut que l'un des époux use de stratagème pour être le premier à tâcher l'autre époux de ce qu'ils mangent. Et Ndiouga a gagné sur ce coup je n'ai pu que répliquer sous les rires moqueurs des femmes présentes dont sa mère, bbMaty et ses badienes. Il me tirait la langue comme un gosse mais je ne m'avoue jamais vaincue.

Après cela nous sommes enfin libres et seuls dans la pièce. Je portais une robe décontractée blanche et comme par télépathie lui aussi était en jellaba blanc.Il va fermer la porte à double clé.

Ndiouga: maintenant qu'on est seuls on peut passer aux choses sérieuses.

-déjà. Dis-je faussement étonnée.

Ndiouga : heey lève toi prendre unee douche purificatrice et viens me rejoindre pour prier avec moi.

-je vais juste faire mes ablutions.

Ndiouga : tu penses à ce moment depuis des heures c'est plus sûr de prendre le bain tu as peut-être joui en regardant mes photos sans le savoir mdr.

-c'est ça oui rigole bien. J'arrive.

Au fond il n'avait pas tout faux. Je n'arrêtais pas de regarder ses photos et de me dire à quel point il est beau. Sûrement il fait pareil.

Nous effectuons deux rakkas de prière. Ma première avec lui qui dirige. J'étais contente mais j'aurais tout le temps de montrer ma joie. Là c'est un moment privilégié, sacré qui requiert une grande concentration.

Une fois la prière terminée, il se retourne pour s'adresser à moi.

Ndiouga : tu sais beaucoup de gens sont malheureusement ingrats. Ils prient Dieu jour et nuit pour avoir ce qu'ils veulent. Et une fois qu'ils l'ont, ils oublient de dire merci. En voilà un acte ingrat. Aujourd'hui mon vœu a été exaucé. Toi. Et je prie Dieu pour qu'il nous laisse ensemble pour des décennies et des décennies encore. Que ce mariage soit ce qu'il y a de mieux pour nous. Je remercierai tous les jours Dieu pour avoir exaucé mes prières. Aujourd'hui je promets d'être attentionné à ton égard, de t'aimer sans limites, de te soutenir et de prendre ta défense. Je te compléterai tout comme tu me compléteras. J'accepte tes défauts comme tu acceptes les miens. Aujourd'hui je fais de toi une mère pour mes...ma fille.

-tes filles.

Ndiouga : oui mes filles. Tu deviens leur maman. Tu deviens la fille de la famille et non juste la belle-fille. Je fais de toi ma confidente, ma moitié.je t'aime plus que toi tu ne pourrais jamais M'aimer Fatima Fall.

-ne zappe pas le Diop non plus c'est trop brutal deh.

Ndiouga : ya plus que mon nom qui compte. Tu n'as pas le choix tu es désormais mienne.

-tout comme tu es dorénavant le mien. Je donnerai bien que mon nom pour toi. Je te donne mon cœur, mon corps, ma vie, mon présent et mon futur. J'assume pleinement cette nouvelle vie que je n'échangerai pour rien au monde. Je te suivrai partout où tu iras. Tes désirs seront désormais les miens. Quelle bénédiction de t'avoir à mes côtés !!! J'accomplirai mon devoir de mère, de femme et de fille pleinement. Je t'aime plus que tu ne peux l'imaginer Mr.Fall.

Il me tient tendrement la tête et m'embrasse passionnément. Puis il m'aide à me relever. A peine debout, il me porte sur son épaule et me jette sur le lit.

Ndiouga : tout ce temps où tu me chauffais. Il est temps de payer tes dettes.

-je suis l'enfant de quelqu'un tu ne peux rien me faire.

Ndiouga : peut-être que moi je suis l'enfant de personne ? En tout cas tu vas y passer ce soir et tous les autres soirs.
Il attrape mes jambes et me tire vers lui avant de se mettre sur moi et de m'embrasser cette fois-ci avec plus d'audace et de rigueur.
Ses mains devenaient de plus en plus baladeuses. La gauche traînait sur ma cuisse et l'autre sur mon sein gauche. Il transpirait déjà. Ses gestes s'accentuaient. Il m'embrassait et me lâchait le cou puis descendait et met mon sein dans sa bouche tandis que sa main malaxait l'autre sein. Ça se voyait qu'il adorait me sucer le sein. La tension montait aussi de mon côté et je commençais à perdre la notion du temps et de l'espace. Je lui caressais la tête et le cou. NB: nous sommes toujours habillés. Il a juste déboutonné le haut de ma robe. Ce suspense nous excitait encore plus. Il ne durera pas très longtemps qu'il me l'arrache littéralement et je me retrouvais là nue. Il prend une pose pour me regarder de haut en bas et sourire.

Ndiouga : ce corps est à moi ?

-entièrement à toi. Luis Dis-je en me mordant la lèvre inférieure.

Il me donne une tape et reprend de plus belle à me sucer le sein. Puis à me lécher le ventre avant de remonter à mon cou. Moi je ne pouvais plus retenir car savais qu'il faisait exprès de faire durer le suspense. Je lui arrache à mon tour son jellaba et son caleçon. Nos corps bouillaient d'excitation. Il bandait et je commençais à paniquer car son engin était de taille. Il semblait ressentir mon stress donc il ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il retourne en bas et commence à me lécher la charte qui était déjà toute mouillée. Visiblement pas assez pour lui il passe à la vitesse supérieure.

Il ouvre le tiroir de la commode pour en sortir le fameux honey de chez stamipol.

-tu as volé ça dans mes cadeaux.

Ndiouga : voler ? J'ai moi-même acheté la gamme noces. Qui dit que c'est juste aux femmes d'en acheter. Je suis paré à tout bb pour t'emmener au 7 e ciel.
Il se remet entre mes jambes et met ce miel dont le contact avec ma peau m'excitait davantage. Et ooop. Je ressentais à nouveau les mouvements de sa langue tantôt saccadés tantôt il faisait des mouvement circulaires et la rentrait puis la ressortait. En plus de sa langue il y mettait ses doigts. Je perdais mon souffle et m'aggripais à tout ce qui me tombait entre les mains y compris sa tête. Il pressait le point g tout en faisant des aller-retours. Puis il me retourne pour me mettre sur le ventre. Désormais il était derrière moi. Son engin pressait contre mon cul et il gardait sa main dans ma chatte contre le matelas. Il me donnait des tapes sur les fesses et me doigtait en même temps. Il me léchait la nuque et les oreilles. Cela me faisait frémir. Je mouillais grave et de ce fait le doigté dans un endroit humide faisait beaucoup de bruit encore plus excitants. Même pas besoin de lubrifiant j'étais pire qu'une patinoire. Il sentait que le moment était venu pour me pénétrer. Il me retourne à nouveau en position du missionnaire. Et là il pose son engin bien dur et le fait glisser dans mon vagin. Sur le coup la pression était trop forte et cela m'a fsit grimacer de douleur.

Ndiouga : tu veux que je te laisse souffler un peu ?

-pas question. Baise moi sans retenue.

Il sourit et se mord la lèvre et commence ses va-et-vient d'abord lentement et sûrement. Je gémissais de douleur et de plaisir. L'arrière de mes cuisses était en feu je sentais mes muscles se tendre au maximum mais je n'osais pas trop me plaindre pour ne pas lui gâcher le plaisir de la nuit de noces. Je le griffais et lui m'embrassait.

Ndiouga : tu as l'air d'avoir trop mal bb t'es sûre que...

-il faut bien un début à tout ça va vite passer.

Il s'y prenait avec douceur. Je le caressais de partout, la nuque, la taille, les abdos et les fesses. Son souffle rythmé sur mon oreille me faisait frémir. On sentait que son excitation était à son maximum. Il commençait à réellement me pillonner. Il accélérait ses mouvements. C'était plus douloureux mais je maintenais le cap.

Ndiouga : oh putain t'es trop bonne. Tu aimes le sentir bien profond ?

J'étais déjà hors de ce monde. Je ne contrôlais plus ni mes mains ni ma bouche et mes yeux et prononçais des phrases inaudibles. Je gémissais et lui grognait. Je tremblais pendant qu'il me pillonnait. Plus fort et encore plus fort et puis...il jouit en moi. Lentement, il assurait les derniers mouvements de va-et-vient tout en éjaculant. J'étais toute tremblotante. Il m'embrasse sur le cou puis les joues et voyais que j'étais bien fatiguée. Il se couche à côté de moi.

Ndiouga : ça va mon ptit coeur ?

-je vais bien. Je viens de vivre plusieurs émotions en même temps. Je suis un peu sonnée là.

Ndiouga : je t'ai pas fait trop mal ? C'est bien serré en dessous deh. Je sens que je vais pas pouvoir me lasser de toi. Dit-il en me donnant des bises sur la poitrine.

-j'aime trop. J'ai un peu mal mais j'aime trop. Je le fais avec l'homme que j'aime alors...

Ndiouga : je te laisse te reposer puis on passe à la deuxième vitesse.

-aie pitié de moi.

Ndiouga : pas de pitié ici. Tu vas assumer tes responsabilités Madame. La seule chose que je ne te ferai pas c'est de te manger.

Il me fait une bise sur la joue puis va dans la salle de bains. Moi je n'avais plus qu'une préoccupation : la fameuse tâche sur le drap. Je me lève pour regarder et il n y avait rien. Je touche en bas et il n y avait pas de trace de sang. Je paniquais un peu. Et pourtant je savais bien que c'était ma première fois. J'étais là à me poser 1000 questions quand il ressort de la salle de bain et vient m'enlacer de dos.

Ndiouga : tu pouvais venir avec moi. Qu'est-ce qu'il y a ?

-tu sais les traditions et...

Ndiouga : tu stresses pourquoi au juste ? Il vient se mettre en face de moi.

-normalement mon hymen devrait déjà être rompu.

Il se met à rire.

Ndiouga : tu crois vraiment à ça. Lol tout n'est pas vrai hein. Il peut se rompre après le deuxième, troisième round. Ou même les jours suivants ça dépend. Y a pas de souci à se faire façon je m'en fous. Je t'aime et c'est tout ce qui compte.

-comment tu sais que peut ne pas se rompre dès la première fois ?
Cette fois il pouffe de rire.

Ndiouga : ce premier round t'a fait perdre la tête chou girl. J'ai été marié deux fois quand même avant celui-ci tu l'as déjà oublié. La question ne se pose pas. Laisse moi mener des investigations sur ce corps, que je le maîtrise, le dompte et lui fasse plaisir... pour l'instant va je vais changer le drap il est bien trempé Humm tu es une vilaine jeune fille.

-parce que j'ai un vilain papa. Dis-je en m'éloigner de lui.

Ndiouga : si je te trouve Là-bas tu vas moins faire la maligne.

Je cours m'enfermer dans la salle de bain pour pisser, me nettoyer et prendre une douche avec un gel de bain qui sent super bon la vanille. Puis j'en ressors avec une mini serviette. J'avais l'impression d'avoir toujours son engin entre mes jambes tellement la pression était encore là.
A ma sortie je le voyais allumer des bougies parfumées. Ce que je devais faire en principe. J'en étais agréablement surprise et il l'a remarqué.

Ndiouga : je connais toutes vos astuces. Si vous remuez ciel et terre pour nous faire plaisir nous vos maris on se doit bien de faire de même. Allez viens approche. Je me colle à lui encore trempé. Il m'aggripe fermement les fesses.

Ndiouga : on va éteindre la veilleuse. Nous laisser emporter par cette bonne odeur et la lumière des bougies. Détendre l'atmosphère histoire que tu profites à fond de cette première nuit à deux. Ça doit être mémorable.

-ça l'est déjà.

Et puis on s'embrasse et ma serviette se retrouve par terre. Il s'asseoit et je me mets sur lui. On se touchait de partout et nos cœurs battaient la chamade comme s'ils avaient du mal à gérer la passion qui nous envahissait. L'atmosphère était toute autre et pour moi c'était comme une autre nuit. Je me frottais à lui et lui me tenait la taille et les fesses pour me coller encore plus à lui. On se léchait le visage ou le cou puis il se couche. A moi de lui rendre la pareille. Je m'empare de "sucette" goût framboise de la gamme stamipol que je verse sur son pénis. Je léchais tout autour du bout et jouais avec ma langue puis je la mettais en bouche avent de le ressortir et recommençais de nouveau pour le faire languir. Parfoid je soufflais légèrement sur le bout ce qui le faisait frémir violemment. Il saisit ma tête avec sa main pour les mouvements. Avec ma main et ma bouche je lui faisais une fellation. Il grognait de plaisir. Puis il commençait a soulever ses hanches et à me faire des va-et-vient dans la bouche et sa main appuyait sur ma tête. C'était rapide et j'avais son engin en pleine bouche. Avant qu'il ne jouisse, il se relève me fait basculer pour se mettre sur moi.

Il soulève mes jambes pour les mettre sur ses épaules et là on sentait son engin s'enfoncer encore plus. Là j'ai hurlé de plaisir. Je voyais les gens le faire sans savoir quel plus cela apportait. Là je le sais. Je le sentais bien profond et glisser plus rapidement. Mes larmes coulaient sans que je ne sache si c'était de plaisir ou de douleur. Il me regardait et tournait ma tête pour qu'on se regarde droit dans les yeux. Notre alchimie à ce moment là était indescriptible. Son regard était tueur. Il abaisse mes jambes pour se mettre entièrement sur moi. Il s'empare de mes lèvres et m'embrassait limite violemment tout en enfonçant plus fort son engin dans mon vagin et en pressant mon sein.
C'est comme s'il devenait une machine et ne pouvait plus s'arrêter. Je criais et le griffais. J'avais le bas ventre qui me brûlait. Il me martelait de coups de reins je ne pouvais même plus prononcer un seul mot. Lui était dans le feu de l'action et a même semblé oublier que c'était notre nuit de noces. Cependant ses mouvements, grognements me faisaient oublier par moments la douleur. Je gémissais et lui sans arrêt me pillonnait jusqu'à l'orgasme. Il s'arrête enfin essoufflé et dégoulinant de sueur mais il sentait bon hein.

Ndiouga : j'ai pas dit de gros mots ?

-non bb

Ndiouga : pas encore. Je m'étais promis de ne pas le faire ce soir. Une fois que je mets ma bite dans ta chatte je veux plus la ressortir. On est tellement bien Là-dedans. Tu me faisais déjà jouir toute habillée mais là nue c'est trop pour moi. Bb nekhnga ( tu es trop bonne )

-dara dakoula ( rien n'est plus bon que toi) tu as failli me tuer.

Ndiouga : tu n'as encore rien vu. On va tellement se blesser. Blague à part tu as trop mal ?

-oui.

Ndiouga : tu as mal où ?

-là où tu viens de t'introduire en me donnant des coups de marteau remarquable

Ndiouga : j'avoue que sur ce round ci je t'ai trop senti et j'avais vraiment l'intention de te faire l'amour. Désolée mon coeur mais je vais arranger ça avec un bon massage avec du karité et des huiles. Tu vas vite être remise pour le 3 e round.

-alors là ne compte pas sur moi. 3e ?????? Sors toi ça de la tête.

Ndiouga: la nuit est encore longue. Il est juste 03h et demi.

-tu m'auras pour toute la vie pourquoi vouloir me tuer aujourd'hui. J'ai l'impression d'être assise sur de la braise.

Ndiouga : c'est juste pour que tu t'y habitues vite.

-merci sans façon.

Ndiouga : laisse moi te porter jusqu'à la salle de bain te nettoyer puis te masser t'es d'accord avec ça.  Dit-il en me donnant des bisous.

-avec plaisir mon coeur. Merciii.

C'est seulement à notre retour que je remarque...la tâche. Elle n'était pas comme je l'imaginais. Elle était assez petite, minime je vais dire et non d'un rouge sombre mais cela virait presque au rose. On aurait pas cru du sang. Ndiouga lui me faisait tourner dans tous les sens avec un sourire aussi large que le ciel

Ndiouga : tu vois non ? Quelle fierté d'être le premier en toi même si je m'en foutrai si ce n'était pas le cas mais c'est quand même flatteur de savoir que je suis le seul à avoir l'exclusivité de ce corps aussi sexy.

-demain matin tu appelles maman hein pour lui dire.

Ndiouga : tout ce que tu voudras. Maintenant laisse moi te faire un massage et n'hésite pas à te jeter sur moi okay ?

Il m'allonge et commence à me masser l'intérieur des cuisses et l'extérieur puis ma foufoune qui Dit-il était un peu enflée et rougeâtre. Il me massait avec la plus grande douceur qui soit et ça se lisait sur ses yeux qu'il se sentait mal de m'avoir fait mal. Je le rassurais que c'était ma première fois et que c'était normal. Il fait mine d'être d'accord avec moi.

Ndiouga : sur une échelle de 1 à 10, la douleur tu l'estimes à combien ?

-elle est à 10.

Ndiouga : oh putain. Je suis désolé princesse. Je ferai de mon mieux pour te soulager.

-10 millions.

Ndiouga : je ne comprends pas.

- donne moi un million pour chaque niveau de douleur. Ce qui fait un total de 10 millions.

Ndiouga : ah ouhais carrément. Tout pour ton plaisir Madame...

Sans aucune hésitation il va dans le dressing et emmène un sac de taille moyenne Louis Vuitton qui contenant des liasses d'un million chacun. Il revient et un à un il me remet les liasses jusqu'au 10e million.

-finalement je pense que la douleur dépasse même le niveau 12.

Ndiouga : prends tout ce qu'il y a dans le sac. Ma vie, mon corps, mon argent tout est à toi...

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