Fatima : La Femme Du Boss

Por MlleGueye23

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Fatima est une brillante jeune femme très ouverte avec beaucoup de caractère. Elle vit à la Médina, un quarti... Más

présentation de Fatima
Mara bi ( le marabout ) 1ère partie
Mara bi ( la suite ).
Brioche omelette
coucou Yaay😟
guys
le départ
appel vidéo bi🥵
A new day has come.
Diamniadio
( Diamniadio: La suite )
le boss ?
la rencontre partie 1
La rencontre ( suite )
message
Ndiouga
Ndiouga 2
l'ultimatum
message
ultimatum suite
clamer
Le début des ennuis ?
bataille psychologique
visite surprise 1 ( bb Maty )
visite surprise 2 ( bb Maty et bb Aida ).
Fatima vs Zara (1-0)
mission remontada ?
wekh dounk ( avoir bon dos ).
Par force
Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis
le Bonjour 🤣😭
Goumin
matelas de la réconciliation ( Ndiouga et Seynabou )
Du Maïga au dîner
Un anniversaire peu joyeux.
le signe
Coup de gueule et passion
chez maman Jongué ( l'astucieuse)
Message visé de maman
Déjà la fin entre eux ?
jubbo bi ( la réconciliation)
ceci N'est pas un chapitre mais plutôt un msg
dewenety
un rêve éveillé
La convocation
Affaire vol de données
Show must go on ( le spectacle doit continuer)
LA taupe dans la trappe.
Le pardon
KFC
jour de vérité
mission 2e dame
Karma
joyeux anniversaire
préparatifs.
wedding day le mariage
noces
petite lune de miel
ceci n'est pas un chapitre

Chaud comme la braise.🥵

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Por MlleGueye23

Une semaine après le mariage de Sokhna et Seydina Alioune....

Je me rends chez la jeune mariée aux Almadies pour le yendou ( une tradition de passer une journée avec la jeune mariée chez elle à manger, boire etc). Elle m'avait personnellement invité donc je ne pouvais pas y manquer.
Il n y avait pas beaucoup de monde juste quelques cousines et amies, environ 8 au total. Sa maman était d'une gentillesse remarquable. Sa famille en général je dirais. Ils sont très avenant et corrects. J'étais admirative face aux étroites relations qu'ils avaient. Une famille unie comme il est rare d'en voir. J'étais accueillie comme un membre de la famille. Or on se connait que depuis peu grâce à son désormais mari.

Vers l'après-midi nous nous rassemblons dans une chambre à coucher : celle qu'elle occupait avant son mariage. Et tout le monde commence à sortir de sa coquille et à jouer les curieuses.

L'une des filles présentes lance le débat tant attendu.

Astou : alors dis-moi il a fallu combien de rounds pour que tu... tu vois ce que je veux dire. Tu as pleuré. Raconte nous on veut tout savoir.

Sokhna : non je ne vois pas ce que tu veux dire et je ne parlerai pas de choses de mariés ici.

Bintou : comme si tu étais la seule mariée dans cette pièce. Quand je goûtais au truc là tu n'avais même pas encore rencontré ton mari. Tu prends la grosse tête deh yaw. Réglerl

Sokhna : en tout cas je ne veux pas vous pervertir même si certaines le sont déjà.

Amina : sois pas rabat-joie on doit nous préparer pour notre nuit.

Sokhna : yaw deh khamalumala dara. je ne sais rien de toi. En tout cas c'était un peu dur mais quand tu partages ces moments avec quelqu'un qui t'aime autant que toi franchement c'est que du bonheur. La douleur n'est que passagère car c'est la passion qui vous anime. Quand il t'aime il peut pas te faire mal.

Astou : kholko mouy melni telenovelas nane passion ak douleur wakhal lima beug deg. Niata danou la am gudi goguou? ( regardez là avec ses airs de telenovelas à parler de passion et de douleur. Réponds à ma question. Combien de fois l'avez-vous fait lors de la nuit de noces ?)

Sokhna : je ne dirai rien du tout curieuses que vous êtes. Mais en tout cas Fatima je suis agréablement surprise par ton cadeau. J'ignore où tu as trouvé ce genre de choses mais c'est sûr que c'est un vrai régal.

Bintou : yane choses nonou ( de quelles choses tu parles ? kagne nga mine affaires yi bay utiliser ay produits ? ( tu t'es déjà habituée ?l

Sokhna : attendez je ne l'ai commencé que plus de 4 jours après mais je vais me réserver de l'utiliser pendant plusieurs jours encore car c'était chaud pour moi. Alioune ne me laissait pas une minute de répit. Il en redemande mais j'ai pris mes jambes à mon coup. Je viens d'entrer dans la cour des grands je prends mon temps.

-aah contente que ça te plaise aloes. bon courage pour la suite tu vas gérer amoul danger. ( y a pas de danger ).

Sokhna : lima si geuneu nekh tei defma ree moy le petit avec le panier : " a utiliser avec précaution " c'est là que j'ai su que c'est autre chose.

Fille C : ah Fatima donne nous des pistes toi aussi. Tu es mariée khana ?

J'étais un peu gênée par la situation d'autant plus que l'environnement et les jeunes femmes autour ne m'étaient pas familiers. Et une Amina semblait avoir un problème avec moi ce qui m'importait peu toutefois.

-pistes rek ak astuces je vous en donnerez à volonté. Non chérie je ne suis pas encore mariée. Affaires yi link la rek mdr.

Sokhna : kone deh amnga link yu diara linkal.

Amina la renfrognée : ah les célibataires d'aujourd'hui deh ils en savent plus que les mariés. On dirait qu'ils vivent le mariage avant l'heure avec leurs copains.

-perso on m'a non seulement éduquée pour être digne, respectée, prendre soin de moi mais aussi à devenir une bonne épouse. Savoir gérer son foyer, son mari, sa cuisine et son lit. Le mariage se prépare ma chère il n y a aucun mal à savoir tout ça.

Astou : c'est ce manque de préparation du terrain là qui a augmenté la polygamie et les divorces. Tu vois des jeunes femmes mariées qui ne savent rien à comment épicer leur routine. Elles peuvent pas se satisfaire ni satisfaire leur mari. Ou elles vont mal s'y prendre mentholer leur mari jusqu'à ce qu'il pique une crise cardiaque et prenne la fuite.

Sokhna : les produits mentholés, mielleux avec je ne sais pas quoi dedans que tu m'as donné je les trouve efficace et non excessifs. Vraiment rien à dire j'ai pas de souci à me faire.

-ne t'en fais surtout pas c'est des produits naturels sans danger qui font le bonheur des couples. Même si je n'ai pas encore testé lol.

Astou : tu ne nous diras rien comme ça là ?

Sokhna : je ne dirai rien. Je fais ce que font les mariés toi tu en sais quelque chose donc pourquoi demander ?

Amina la renfrognée : woroul sakh nak. Tu fais bien de garder ta vie privée c'est pas sûr. Y en a que tu connais à peine tu ne peux pas étaler ta vie comme ça on peut même t'enregistrer.
Elle faisait bien sûr allusion à moi et me regardait droit dans les yeux. Wallah mon attitude calme l'a bien trompé elle sait pas que c'est une folle furieuse qu'elle défie comme ça. Mais bon je suis chez des gens respectables donc je me comporte convenablement.

Sokhna : d'où tu sors toutes tes idées là. On se connait tous depuis des années. Qui va faire une choses pareille

Amina la renfrognée : je dis ça je dis rien cette Fatima par exemple nous on la connait pas je doute aue toi aussi.on ne t'a jamais vu avec elle. Donc peut-elle nous parler un peu d'elle comme çaon va faire connaissance ?

Sokhna : yiii Fatima bokoussi. Elle c'est autre chose. C'est ma future belle-sœur. Ici c'est sa maison. Nos liens vont encore plus se raffermir.

Amina : belle-sœur ? Elle va épouser un de tes frères?

Sokhna : pas un frère de sang mais oui c'est tout comme. L'un des hommes les plus convoités du pays nak. Fatima c'est pas n'importe qui deh. Elle a réussi là où d'autres ont échoué. Mais cas bi nak confidentiel la pour l'instant. Je ne peux pas en dire plus c'est confidentiel.

- moh arrête de me flatter. Ne lui accorde pas autant de buzz à ce gars là.

Sokhna : gars bobou molay danel deh. Il est beau il est riche ( c'est ce gars pour qui tu craques ).

Astou : aahh donne des indices au moins.

Sokhna : vous le saurez le jour j.

Comme pour me moquer de cette Amina qui semblait être sur les nuages. Ses méninges devaient la travailler. Elle ne s'y attendait pas

-et toi tu es qui ? Parle moi de toi.

Amina :mane (moi). Je suis l'amie de...

Puis quelqu'un toque et entre c'était Aicha la petite soeur de Ndiouga.
Elle vient accompagnée de bongomans. Et l'ambiance reprenait de plus belle. La pauvre en avait perdu toute sa bonne humeur.

-----------'

Pov Ndiouga...
Il se rend chez l'imam qu'il considère comme son père pour lui porter conseil sur son choix de se marier avec Fatima.

Imam : de quoi as-tu peur ?

Ndiouga : moi-même je l'ignore. J'espère que je ne serai pas à nouveau déçu.

Imam : ne sois pas perplexe. Moi j'ai confiance. Ton papa Ibrahima est déjà venu me parler de cela. Il a bon espoir que cette fille puisse refermer toutes tes blessures.

Ndiouga: c'est ça le problème. Refermer mes blessures ne suffit pas. Elles peuvent à tout moment se rouvrir. Je veux qu'elles disparaissent pour de bon.

Imam : laisse-toi aller. Ne doute pas. Cette fois c'est la bonne mais fais plutôt attention à qui fera partie de votre cercle d'amis. C'est peut-être de là que vont surgir les problèmes.

Ndiouga : je ferai attention père. Je pense que je l'aime j'ai tenté de suivre les conseils de Seydina Alioune comme quoi je devais l'ignorer quelques temps pour être sûr de mes sentiments mais je peux pas me passer d'elle.

Il est vite gêné.

Ndiouga : je suis désolé. Je retire ce que j'ai dit. C'est vraiment impertinent de vous parler de ça.

Imam : hey tu me parles à moi ton ami, ton papa. Tu peux tout me dire sans gêne on a dépassé ce stade depuis. Et oui tu l'aimes mais ne reste pas dans le passé vis pour toi et pour tes filles. Laisse la personne amère que tu étais de côté.
Je ne l'ai jamais vu mais je sais que cette fille est faite pour toi.

Ndiouga : j'ai hâte de vous la présenter si seulement vous saviez. C'est vous qui scellerez notre union.

Imam : vous en avez discuté. J'ai l'impression que tu prends trop d'initiatives tout seul.

Ndiouga : vous avez raison. Je lui en parlerai.

Imam : il faut lui demander pas juste lui parler. Tu n'es pas son patron et vous n'êtes pas au travail. Elle va devenir ta partenaire de vie. Son avis compte autant que le sien.

Après leur discussion Ndiouga rentre chez lui à Nord Foire seulement une visite des plus inattendues l'y attendait.

Le gardien : je ne pouvais leur refuser l'entrée. L'une ne se sentait pas très bien.

Ndiouga : pas grave je saurai tout de suite qui c'est.

Il va dans le jardin ameublé et y trouve des gens dont il ignorait toute l'existence...enfin presque.

----------------
Pov Fatima.

Je me fais tresser par maman (des renversées). On discutait de banalités puis elle évoque le sujet délicat.

-cheut tes tresses ancien modèle là je vais devoir porter une perruque par dessus.

Maman : yii deh lenlay defal sougnoulay mour nga seuyi. (Ce sont ces tresses là même qu'on te fera le jour où tu rejoindras le domicile conjugal).

Silence...

Maman : je suis ta mère et on est très proches raison pour laquelle je ne t'ai toujours pas posé de questions sur tes sentiments envers ce jeune homme.

-quel jeune homme ?

Juste pour la faire parler.

Maman : ne te fous pas de moi. Je sais que tu l'aimes. Mais j'ai des doutes. N'es-tu pas prête à te marier ? Quelque chose te tracasse ?

-pour dire vrai tout me tracasse maman. Disons nous la vérité tu n'as pas un peu peur.

Maman : pourquoi aurai-je peur ?

-je ne sais pratiquement rien de lui. J'ai rencontré sa famille oui. On a discuté de ses loisirs préférés, de ses gouts etc. Mais qui il est réellement.

Maman : wakhal wakh dji. Dis Plutôt que tu voudrais savoir comment étaient ses précédents mariages.

-non c'est sa vie privée.

Maman : demande lui au lieu de stresser pour rien. Je te connais tu meurs d'envie de savoir.

-tout ça me paraît trop précipité. Je ne suis pas rassurée. On me tarit d'éloges comme quoi je l'ai souvent mais de quoi exactement. J'ai l'impression que c'est juste pour m'attirer dans des filets de je ne sais quoi. J'ai rien fait concrètement pour lui hormis lui tenir tête et m'en foutre de lui.

Maman : peut-être que c'est ça qu'il lui fallait. A chacun son remède. Tu sous-estime tes actes mais qui sait l'effet que tu as eu sur lui.

-on ne peut pas changer du jour au lendemain. J'y crois pas. Je suis confuse.

Maman : parle lui. Pose lui toutes les questions que tu voudrais une bonne fois pour toutes.

-en plus je pense qu'on a encore besoin de temps pour mieux nous connaitre. Qui se marie au bout de quelques mois.

Maman : wa ki werna ( elle est malade ou quoi ? ). Tu sais pas que trois mois suffisent à sceller un mariage ? Avant les gens ne voyaient jamais leur mari ou femme avant le jour du mariage. Vous vous êtes gâtés et libres de fwire vos choix. Tu veux quoi encore 10 ans avant d'être rassurée.

-mais c'est different les temps ont changé.

Maman : tu veux te marier avec lui ou pas.

-je ne refuserai pas sa...

Maman : donc c'est bon ce sera vite fixé. En attendant tu vas lui dire ce que tu as sur le coeur et finissez en avec toute cette histoire de doutes etc.

-ta compréhension m'étonne.

Maman : si c'était pour des futilités J'y aurai déjà mis un terme.

-et s'il était pauvre ? Tu aurais accepté le mariage comme tu le fais là ?
J'en rigolais mais je savais qu'elle allait me larguer une bombe.

Maman : kholal ( regarde) lève tes fesses va finir tes tresses ailleurs tu ne me manqueras de respect sous mon petit toit. Debout.

-faut pas mal le prendre. C'est une question dih.

Finalement elle finira mes tresses. Mais je continuais tout de même à la taquiner.

-------
Le lendemain au travail.

Je ne trouvais pas mon boss au travail seulement un message de lui m'informant qu'il avait besoin d'espace. J'étais bien sûr énervée. Mais je fais mon travail en essayant de l'oublier

Vers 17h Awa vient me voir.

Awa : alors cocotte on s'ennuie ? Ton amoureux n'est pas là.

-de quel amoureux tu parles ?

Awa : tu ne vas pas le larguer parce qu'il est pas venu au travail quand même?

-je suis de très mauvaise humeur ne me tente pas.

Awa : je venais juste transmettre un message. Ta journée de travail smest terminée. Descend voir qui t'attend en bas. Je veux dire la porte"secrete" tu la connais déjà apparemment.

-tu peux arrêter d'être aussi énigmatique.

Awa : aah ma fille l'amour t'a piqué deh. Va dehors Ndiouga t'attend...

-quoi il est là ? J'étais surexcitée puis je me reprenais vite pour faire genre je m'en fous quoi

-je veux dire ah il est là tant mieux pour lui.

Awa : tu as 3 minutes pour le rejoindre sinon il s'en va tu le connais deh.

Je file le rejoindre...seulement une fois dehors des voitures garées mais je ne voyais pas la sienne. Je cherchais un oeu partout mais il n y avait personne. Les larmes me montaient aux yeux. Awa n'a pas osé me faire un canular quand même.

Ndiouga : que peut bien chercher cette belle jeune femme ? Un beau gosse comme moi ?

Je le frappe au ventre avec mon sac.

-tu te crois drôle ? Tu ne laisses pas de nouvelles toute une journée puis tu me fais minoter là.
Avant de terminer ma phrase il me serrait déjà contre lui de manière un peu trop sensuelle.

-tu es devenu vraiment éhonté ces temps-ci. N'est-ce pas toi qui passe par ici pour ne pas te faire remarquer maintenant tu me colles là sans te soucier de qui peut te voir.

Ndiouga : justement personne va nous voir enfin ils n'en auront rien à foutre façon.

-pousse toi un peu je respire plus.

Ndiouga : tu peux me croire tu devras avoir un bon cardio pour la suite.

-et je peux savoir pourquoi t'étais pas là?

Ndiouga : tu veux déjà un compte rendu de mes journées loin de toi ?

-bref ça ne me regarde pas.

Ndiouga : si un peu quand même. Je me suis réveillé avec de ces envies je pouvais plus rien contrôler. J'aurais très bien pu te faire des choses ici même et je ne voulais pas que ça arrive.

-et tu t'es une fois demandé si je voulais justement que ça arrive.

Il me regardait l'air pensif. Il se demandait sûrement si j'étais sérieuse

Ndiouga : il aurait fallu que je te tienne la main pour t'enfuir donc je ne te crois pas jusqu'à ce que tu me montres de quoi t'es capable. On va chez moi monte dans la voiture.

Je comprends mieux il est venu avec une nouvelle voiture.

-ah une autre.

Ndiouga : passionné de voitures oblige. J'aime changer de véhicules. Tu seras la première invitée à bord.

Dedans le luxe et le confort total.

-justement j'aurai besoin de te parler de choses assez importantes.

Ndiouga : on parlera de tout ce que tu voudras après que j'aurai fait ce que je voulais.

- c'est-à-dire?

Ndiouga : je vais mettre de la bonne musique.

Youssou Ndour "c'est l'amour"

On chantait en chœurs et rigolait comme des enfants. Il était aussi fan de Youssou Ndour je ne pouvais pas rêver mieux.

On arrive devant une très belle et immense villa. Il me fait visiter et me présente à son personnel.

Ndiouga : on va au deuxième dans mon salon privé. Celui-ci est trop fréquenté.

-tu as besoin d'autant de...

Ndiouga : d'intimité oui.

Il me tire par la main limite en courant et nous montons les escaliers.

Le salon privé était assez grand, chaleureux et plus que confortable avec une immense télé.

-très belle ta maison. C'est la première fois j'entre dans un tel endroit.

Ndiouga : bientôt tu pourras la décorer à ton goût ou même changer de maison pour une plus grande. C'est toi qui décide.

- n'importe quoi.

Ndiouga : je suis sérieux. Tu auras tous kes commandes tu feras tout ce que tu veux. Je te donne mon chéquier tu inscris le montant que tu veux.

Il sort d'un mini frigo de la boisson, des jus locaux qu'il me sert.

Ndiouga : comme tu peux le voir J'essaie d'avoir une vie saine j'aime pas les boissons gazeuses j'espère que...

- c'est parfait comme ça.

Ndiouga : bois vite et lève toi je veux te voir danser pour moi.

-danser ? Quelle mouche t'a piqué.

Ndiouga : je suis chaud comme la braise faut bien que quelqu'un me calme un peu. Fais redescendre tout ça j'en peux plus là.

-er tu penses que danser va régler le problème.

Ndiouga : non au contraire. Mais après ce qui va suivre me soulagera.

-tu es sérieux là? Après toutes tes promesses.

Ndiouga : yaw nak yaa seytanei ( tu es mesquine). Qui te dis que je vais te... bref danse pour moi s'il te plait. Depuis la soirée de l'entreprise j'arrête pas de t'imaginer le faire rien que pour moi. Bouge moi ce beau cul que tu as.

-honnêtement je peux pas. Et arrête tes choses là.

Ndiouga : sinon je peux le faire j'ai pas de souci avec ça. Tu risques d'être un oeu choquée mais tu survivras.

-toi danser ? J'aimerais bien voir ça.

Ndiouga : ne te cache pas les yeux okay ?

Moi qui pensais qu'il rigolait. Je mets la chanson de mon choix...comme pour chercher problème. Coumba Gawlo "sa lii." ( "ta chose" en quelque sorte).

Ndiouga : t'es sure que tu veux pas la changer ? Tu risques de rentrer en fauteuil roulant.

-fais-moi courir ce risque bel homme. Je croise mes jambes en buvant mon verre de jus. Lui se mordait la lèvre et déboutonnait sa chemise très lentement. Il prend une gorgée de jus. Sa chemise et son sous-vêtements étaient à terre. J'étais face à six packs légèrement dessinés comme je les aime et non comme les body builders. Il avait chaud. Il transpirait. Il avait un de ces déhanchés sensuels, doux et lents. Il se baisse vers moi. C'était pas pour m'embrasser mais me mordre la lèvre et de vite s'éloigner à nouveau. Il me faisait signe pour que je vienne. Je disais niet mais c'était sans compter sur sa détermination. Il me fait me lever de force et me met face à lui il se rapprochait davantage. J'étais stupéfaite. Jamais je ne l'aurai imaginer être aussi sensuel il savait utiliser son corps pour m'enflammer. Ses mouvements de reins étaient à couper le souffle. J'en salivais. Il savait me chauffer.

"Gneuweul gnu feithieu viens qu'on danse x 2
Leung ma, foone ma, Kotteu ma niou feithieu ( accroche toi à moi, embrasse moi et enlace moi et dansons)
Ni weureul weureul weureul weureul gneuw niou dadjéTourne tourne tourne et croisons nous
Yeukeuti ma tek ma si say mbageu niou feithieu ( soulève moi sur tes épaules qu'on danse.
Tournel ma tourner niou dadjei feithieu di wey.
Ni weureul weureul weureul weureul gneuw niou dadjé (Tourne, tourne, tourne et faisons nous face )"

Là il me tire brusquement vers lui et serrait son étreinte. Sa main gauche pressait ma fesse tandis que l'autre tirait ma nuque. Il m'embrassait avec tellement de désir. C'en était violent.
" Diapal ndig li yeungeul ko tei bouko yeureum (Attrape la taille, fais la bouger sans pitié.)"

Là impossible de ne pas sentir son excitation puisqu'il se frottait à moi. J'ai déjà un aperçu de ce qui m'attend et ça n'avait rien de rassurant. Je toussais de surprise et lui se moquait de moi et me serrait encore plus fort.

Ndiouga : tu vas où là ? C'était juste l'échauffement pour te mettre dans le bain. Sois à l'aise je sais que y a une grande.. bandit cachée en toi montre moi arrête de me faire languir.

-tu as besoin d'une douche froide là t'es chaud bouillant.

Ndiouga : on va dans la chambre ?

-non absolument pas.

Ndiouga : tu vois j'arrive même pas à ouvrir les yeux là je suis grave en flammes on fera rien de méchant pourquoi t'as peur. Je t'avais prévenu deh tu vas lire l'heure aujourd'hui.

-on se marie bientôt donc pourquoi vouloir précipiter les choses.

Ndiouga : tu me dis toujours rien de concret et je sais que tu meurs d'envie de cette intimité alors profites en au max. Je peux pas te laisser partir comme ça impossible. Il faut que je te donne quelques fessées d'abord histoire de te remettre les idées en place. T'as pas pitié de moi ?

-si pour ce qui t'attend.

Cette fois c'est moi qui me jette sur lui. Ça y est je ne pouvais plus me passer de la chaleur de son corps. Il me porte jusque dans sa chambre et se laisse écrouler sur le lit. Nos vêtements valsaient à l'autre bout de la pièce. Il me restait plus que ma culotte. J'étais à califourchon sur lui. Il sucait mon téton droit tout en plongeant ses mains dans mes fesses, sous la culotte. La température grimpait à la vitesse de la lumière. Je lui léchais le cou et en une fraction de seconde il me met sur le dos pour se mettre sur moi, entre mes jambes. Son caleçon avait disparu depuis.

Niouga : t'inquiètes on n'ira pas plus loin.

Moi j'avais déjà perdu la raison.

-tu peux aller où tu veux.

Ndiouga : calme tes ardeurs jeune fille. . Je t'épargne les phrases salaces qui vont avec pour cette fois sinon tu risques de ne pas t'en sortir indemne. Ne me cause pas d'ennuis

-quels genres d'ennuis.

Ndiouga : comme ce qui va suivre.

Et sans crier gare, il plonge sa tête et c'est parti pour un cunni. Il me caressait avec sa langue puis la minute d'après me pénétrait avec. J'essayai par moment de le repousser pour qu’il arrête mais avec une seule main il me maîtrisait. Quelques minutes après pendant que j'étais en ébullition il se redresse pour se frotter à moi. Il pressait doucement sa main sur mon cou. Ce qui me faisait encore plus d'effets. Il accélérait ses mouvements aller-retour. De plus en plus il il y allait encore plus fort. Je gémissais et tremblais de plaisir. Il ralentissait par moment pour me regarder, sourire avec son air coquine avant de recommencer vigoureusement. Et ce, jusqu'à l'orgasme. Son souffle se mélangeait au mien. On transpirait de chaleur et de désir. Il ejacule sur mon ventre. Nous nous embrassons durant plusieurs minutes dans cette position.

Avant de se lever il me lance la pique de plus.

Ndiouga : t'auras l'occasion de me sucer après.

Il me fait un clin d'œil, se lève et m'aide à en faire de même. Je décide de prendre une douche avant lui et non avec lui comme il me l'a demandé. Puis je m'empresse de porter mes vêtements et de l'attendre dans le grand salon d'en bas. Cet endroit était devenu trop dangereux pour nous. La bêtise était imminente.

Apressa douche il est surpris de me voir en bas.

Ndiouga : j'interprète mal où tu me fuis.

-tu es incontrôlable aujourd'hui c'est plus sûr de rester ici.
Il vient me coller sur le fauteuil tout de même pour me caresser et m'embrasser.

Ndiouga : pourtant je me maîtrise bien. Si je t'avais fait tout ce que j'avais en tête...hmmm. Je t'aurai blessé ici. Ma voix bien excitable et quelques bisous suffisent pour t'envoyer dans un autre monde. Faut que je fasse doucement avec ma princesse pour ne pas choquer cendrillon dirait Dadju.

-tout chez toi m'excite je te fuis parce que c'est moi qui risque de ne pas me contrôler. Ce moment était juste trop nekh (bon). Et tu as raison j'ai tout autant envie de toi. Mais nous devons attendre.

Ndiouga : attendre jusqu'à quand dis-moi et demain même on peut nous marier. C'est quoi le souci ?

-j'ai besoin d'avoir l'esprit tranquille. Je connais déjà plusieurs membres de ta famille mais toi tu ne connais qu'une partie de la mienne.

Ndiouga : ouhais c'est vrai. Mais t'inquiètes regarde même tes badienes sont venus me rendre visite la dernière fois et elles n'ont dit que du bien de toi.

-pardon ? De qui tu parles?

Ndiouga : de tes badienes Awa et consort même ta grand-mère était de la partie.

-tu rigoles ? Mais elles ne savent rien de moi et encore moins de toi.

Ndiouga : tu t'es trompée princesse...

Flashback la veille...

Ndiouga rentre chez lui après sa discussion avec l'imam.

Son gardien l'interpelle dès qu'il sort de sa voiture.

Ndiouga : qu'y a t-il tu m'as l'air stressé ?

Le gardien : il y a quatre dames ici elles sont venues vous voir mais je ne les connais pas elles disent que ce sont vos belle-mères.

Ndiouga : belle-mères ?

Le gardien : je ne pouvais leur refuser l'entrée. L'une ne se sentait pas très bien.

Ndiouga : pas grave je saurai tout de suite qui c'est.

Il va dans le jardin ameublé et y trouve des gens dont il ignorait toute l'existence...enfin presque.

Ndiouga : assalamou aleykoum sokhna yi ( salam mes dames ).

L'une d'elles se lève.

...: yaw yay Fall Ndiaga yaram ? ( éloges).

Ndiouga : rires. Comment allez-vous madame ?

...: je suis Awa Diop. La badiene de Fatima Diop ta future femme. Celles là ce sont mes soeurs et ma mère. On est venus voir notre beau-fils. MashAllah....



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