Dylan
Professeur : Très bien, les élèves, il est temps d'aller chercher du bois pour le feu, de préférence avec votre compagnon de tente.
Avant d'aller chercher le bois, je voulais parler à Léa.
— On se voit au feu de camp, on dirait qu'il va y avoir une vérité ou une conséquence, j'espère que je te verrai là aussi , hein ?
Léa : Je serai là si toi aussi tu seras là. — Nous nous sommes serrés dans les bras et m'a embrassée la joue
Elle est partie en souriant.
Putin, suis si amoureux de Léa, tout ce qu'elle fait me rend fou, voire excité.
Anné : Viens vite
— J'arrive. — dis-je sans aucune animation
Purée comme elle est si agaçante, je ne lui dis pas d'aller se faire foutre parce que j'ai reçu une bonne éducation de la part de ma mère.
Nous nous sommes éloignés du groupe, nous avons ramassé du bois à temps et Anne s'est approchée de moi
Anne : Comment tu fais pour supporter ça ? — demande-t-elle en relations au bois je suppose
— ben, j'ai la force ?
Anne: je ne parles pas de ça
— de quoi alors ?
Anne : rester avec Léa, purée elle est si ennuyeuse
— Ne parles pas de ma copine comme ça, et la réponse à ta question est : parce que je l'aime.
Anne : Si tu dis...
Je n'ai jamais compris pourquoi Léa, Anne et Emanuela se détestaient, alors j'ai décide de demander.
— Pourquoi n'aimes-tu pas Léa ?
Anne : parce qu'elle m'a volé ce qui m'appartenait.
— QUOI ? — je demande trop intrigué par sa question
Anne : J'étais considérée comme la reine de la fac/Lycée, parce que... Regardez-moi, je suis merveilleuse, pratiquement tout le monde bave sur moi... Puis ces filles odieuses sont arrivées et ont attiré l'attention sur moi, surtout cette Emanuela, je ne la supporte pas, c'est la pire, elle se bat tout le temps contre moi.
— Tu es donc jalouse d'eux ?
Anne : jalouse ? Regarde-moi, chéri, je suis 10 × plus sexy qu'elles.
Je n'ai rien dit, surtout que je ne veux pas l'humilier, elle a de plus gros seins que Léa, mais je m'en fichais après tout, même si Anne a de plus gros seins, Léa est celle que j'aime.
Sans crier gare, elle a pris une de mes mains et l'a posée sur l'un de ses seins.
Anne : Tu vas me dire que ce n'est pas le cas,Dylan ?
— wesh,t'es folle ? – J'ai enlevé ma main de sa poitrine.
Anne : Dylan, il n'y a que toi et moi ici, et tu as déjà touché ma poitrine, tu as déjà prouvé que mes seins sont plus beaux que ceux de Léa ,non ?
—Anne, je ne veux rien avoir à faire avec toi.
Anne : D'accord, petit Dylan, mais réponds-moi une dernière chose, et je te promets de te laisser tranquille .
— Oe, dis-moi.
Anne : Est-ce que mes seins sont beaux ,n'est-ce pas ? Dis moi que t'a rien senti en les touchant.
Je n'ai pas pu répondre à cette question
C'est quoi cette question ?
Anne🥀
Je n'arrive pas à croire que je suis dans les bois, Anne Jones Wels. Je pourrais être dans ma maison en ce moment même pour profiter du meilleur du meilleur, mais nooooon, je suis coincée ici avec une bande d'idiots.
J'ai eu la chance d'être dans la même tente que Dylan, non pas que je l'aime, mais en voyant le regard jaloux de Léa, je n'allais pas laisser passer cette opportunité.
Je déteste Léa et sa copine Emanuela, et je vais mettre fin à leur relation, surtout celle de Léa, parce que ces derniers temps elle pense que Matteo et Dylan bavent sur elle.
Je ne suis pas jalouse ou quoi que ce soit, parce que je suis mille fois plus sexy qu'eux et que j'ai eu plusieurs prétendants. Ma haine pour elle a augmenté le jour où elles ont gâché ma « relation » avec Matteo.
J'aimais beaucoup Matteo et j'obtiens toujours ce que je veux, mais ces salopes ont réussi à nous faire rompre.
Ça ne va pas rester comme ça, je vais me venger.
— Tu n'as rien senti quand tu les as touchés ?
J'ai regardé Dylan et il n'a rien dit, il a juste regardé mes seins... C'était donc l'occasion de le taquiner.
J'ai alors pris sa main et je l'ai posée à nouveau sur mes seins. Il les a pressés brièvement et cela m'a suffi pour savoir que je l'ai déjà entre mes mains.
J'ai profité de cette « hypnose » dans laquelle il se trouve pour prendre son autre main et la poser sur mon autre sein.
Les mains de Dylan sont donc sur mes seins.
J'ai brièvement fermé les yeux à cause de l'étrange sensation qui venait de parcourir mon corps.
La seconde suivante, Dylan a mis une de ses mains autour de ma taille et l'autre autour de mon cou. J'ai fixe les plus beaux yeux verts que j'ai jamais vus de ma vie et j'ai reposé mon corps.
Lentement, nos bouches se touchent et nous entamons rapidement un baiser féroce et haletant.
Bon sang, il embrasse bien. — Me dis-je dès que je sens sa langue sur la mienne.
Sa main, qui s'était posée sur ma taille, descendit sans aucune délicatesse sur mes fesses et sans attendre longtemps, j'eus une forte prise sur mes fesses.
J'ai laissé un gémissement s'échapper de mes lèvres en sentant une immense chaleur, puis j'ai pris une de mes mains dans ses cheveux et je les ai tirés brièvement.
Dans un bref mouvement, Dylan attrape mes cheveux et fait un non avec sa main. À ce moment-là, la mienne laisse un passage ouvert dans mon cou, que ses lèvres occupent rapidement.
– Dylan – Je marmonne doucement, sentant mes jambes faiblir.
Dylan : Léa, tu es si sexy.
—Ne me confondez pas avec cette fille stupide.
Dylan me regarde un peu choqué.
Dylan : Q- Qu'est-ce qui s'est passé ici ?
— nous étions à deux doigts de faire l'amour
Dylan : Et... Moi ? Moi et toi ?
— Oui, mais tu as terminé en m'appelant Mirella.
Dylan : Non, non, non - d'un coup il commence à paniquer — regarde ce que tu as fait, espèce de pervers, je... J'ai viens de trompé Léa?.
— Ne me traite pas de pervers, espèce d'idiot, pour qui te prends-tu ? - je lui questionne en m'énervant — Je n'arrive pas à croire que j'aillais me couché avec quelqu'un comme toi.
Dylan : C'est de ta faute, salope, si tu n'avais pas montré...
Je lui ai coupé la parole.
—Je n'ai rien fait que tu n'aies voulu, tu aurais pu m'arrêter, mais tu ne l'as pas fait, alors ... - je lui sourit
Dylan n'a rien dit d'autre, il s'est mis les mains sur la tête et a semblé réfléchir.
— ne t'inquiète pas Dylan , notre secret est entre de bonnes mains, je te verrai dans la tente, mon amour – dis-je en lui envoyant un baiser.
Il m'a regardé avec colère, j'ai ri et je suis partie...
Emanuela, attends-moi...