( Selem Aleykoum mes stars, ce chapitre est moins long que les autres, car il y'a des chapitres ou il y'a d'autre chose que j'aimerais faire en plus long, c'est pour cela que celui là est moins long, désoler du retard encore une fois et bonne lecture mes stars !)
Je me dirige vers le dressing, mon choix se porte sur un ensemble de jogging noir, ample et confortable.
Mes cheveux, longs et soyeux, sont libérés de leur attache, retombant librement sur mes épaules. Je prends ma brosse et je les démêle délicatement.
Une fois mes cheveux parfaitement coiffés, je me dirige vers ma coiffeuse pour me maquiller légèrement. J'opte pour un maquillage naturel, mettant en valeur mes traits sans en faire trop.
Une touche de mascara, de l'anti cerne pour couvrir mes cernes, puis je me parfume.
Je saisis mon sac à main, un accessoire indispensable qui contient tout ce dont j'ai besoin pour la journée. Je vérifie une dernière fois que je n'ai rien oublié, avant de quitter la chambre je remarque Jihan qui dort paisiblement. Je décide de la laisser reposer, sachant qu'elle ne commence pas tout de suite puis je quitte ma chambre.
Pour une fois que personne n'est réveillé, a part hami Bader assis sur le canapé en train de boire un café accompagné d'un coran dans les mains.
Je m'approche de lui et m'assoie près lui.
H.B : Selem Aleykoum benti, ta bien dormi ?
Moi : Oui al hamdulilah et toi ?
H.B : Al hamdulilah, ta manger ?
Moi : Non.
H.B : Tu veux je te prépare quelque chose ?
Moi : Non merci, je n'ai pas trop faim.
H.B : Tu es sûre ?
Moi : Oui, t'inquiète pas hami, tu fait quoi ?
H.B : Je lis un peu de coran.
Moi : MashAllah c'est bien hami.
H.B : Oui, toi tu lis ?
Moi : Bien sûre.
H.B : MashAllah, je suis fier de toi Nihal.
Moi : Merci hami !
H.B : Tu finis à quelle heur ?
Moi : 16h après j'ai mes heures de conduites.
H.B : C'est bien.
Moi : Oui !
H.B : Haya benti, vas-y, tu va être en retard.
Moi : Oui, bisous hami.
HB : Bonne journée benti fait attention la route, si jamais ta besoin tu m'appelle parce que je vais pas tarder à partir au travail.
Hami Bader s'est trouvé un travail, il est maintenant électricien, il aime beaucoup son travail, ça lui plaît beaucoup.
Moi : D'accord hami.
Je me lève du canapé, mes bras s'ouvrent pour l'enlacer chaleureusement, puis il me dépose un bisous sur le front.
Après ça je sort de la maison, en refermant la porte derrière moi avec détermination. Les escaliers m'attendent, et je les descends un à un.
Et là, en bas du bloc, je vois la voiture d'Ismail garée juste devant.
Ismail vient souvent me chercher pour me ramener en cours.
Mais bien sûr, il y a des jours où je choisis de prendre le bus ou bien Sahid m'emmène. C'est hela d'avoir un deuxième frère sur qui compter, que ce soit pour les trajets ou pour tout autre chose.
Je m'approche de sa voiture et je monte côté passager.
Ismail : Selem ma reus préféré ça va ?
Moi : Ça va al hamdulilah et toi ?
Ismail : Oui, al hamdulilah aussi.
Moi : J'ai pas envie d'aller en cours.
Ismail : Tu viens de commencer wsh.
Moi : Je sais mais c'est ennuyant.
Ismail : Ouais j'avoue, heureusement je suis pas à ta place.
Moi : En parlant de ça toujours pas trouver de travail ?
Ismail : Qui t'a dit j'en ai pas ?
Moi : T'es tout les jours chez toi aussi.
Ismail : J'ai un travail.
Moi : C'est quoi ?
Ismail : Je travail avec des shabs, on est garagistes.
Moi : Sahid facteurs et toi garagiste ?
Ismail : Bah si je te le dit.
Moi : Et Khalid ?
Ismail : Lui il vient m'aider des fois.
Moi : Mhh c'est bien.
Ismail : Tu finis à quel heur ?
Je fais mine de ne pas être au courante, mais en réalité, je suis tout à fait consciente que certains d'entre eux sont impliqués dans des activités liées à la drogue. Je me rappelle le jour ou j'ai clairement observé Ismail remettre un sachet suspect à Khalid. Et même lorsque j'étais chez Khalid, j'ai remarqué un sachet de drogue soigneusement dissimulé juste en dessous de son bureau mais la je ne peux plus résister à ouvrir ma bouche.
Ils bricavent tous..
Ils sont tous dans le haram..
Ismail : Oh ma reus pref je te parle.
Je tourne ma tête vers Ismail et le regarde droit dans les yeux.
Moi : Pourquoi vous mentez comme ça ?
Ismail : Tu me raconte quoi ?
Moi : Tu demande sérieusement Ismail la ?
Ismail : Y'a quoi ??
Moi : Vous êtes dans la drogue, vous bricaver tous..
Je le remarque clairement, il pose ses yeux sur moi pendant un instant, puis son regard se détourne vers l'horizon. Son visage est empreint d'une expression de profonde réflexion alors qu'il soutient sa tête avec sa main en soufflant.
Ismail : Tu n'étais pas censé le savoir.
Moi : Je le sais depuis.
Ismail : Et comment ?
Moi : Quand tu devait parler à Khalid et tu m'a dit de partir un peu loin, ta cru j'avais pas vu ce que tu lui avais donner, tu pensait être discret ?
Ismail : Si tu savais.
Moi : De quoi ?
Ismail : Nihal, wAllah on a pas le choix.
Moi : Pourquoi ?
Ismail : Sah, j'ai pas envie de parler de ça maintenant, je t'emmène en cours et on en reparle plus ok ?
Moi : Tu-
Ismail : Et ça reste entre nous, je te fait confiance ma reus ça bouge pas, tout ce qu'on dit ça reste ici.
Moi : Oui mais Ismail, tu te rends compte de l'impact que tes actions peuvent avoir sur ta vie et sur les autres ?
Ismail : Ouais mais-
Moi : La consommation de drogue est considérée comme haram dans l'Islam, ce qui signifie qu'elle est interdite, en tant que croyants nous devons nous efforcer de vivre selon les enseignements de notre religion et de chercher la satisfaction d'Allah, Ismail.
Ismail : ...
Moi : Je te conseille vivement de reconsidérer tes choix et de viser un bon travail qui te permettra de t'épanouir et de contribuer positivement à la société, n'oublie pas que tu as le pouvoir de changer ta situation et de choisir une voie meilleure et plus saine.
Ismail : ...
Moi : Je parle à toi mais ça concerne aussi Khalid et Sahid et tout les musulmans qui sont dans ce haram.
Ismail : Je t'ai dit qu'on avait pas le choix Nihal.
Moi : Dit moi pourquoi alors ?
Ismail : C'est un gars il nous oblige à vendre sinon il nous tabasse lui et ses hommes.
Franchement, quand j'ai entendu ces mots, j'ai été complètement choqué .
J'étais là, à l'écouter attentivement, et je n'en croyais pas mes oreilles. Je veux dire, je pensais que ce genre d'histoires ne se produisait que dans les films, je ne m'attendais pas du tout à ce que ça existe dans la vraie vie.
Moi : Pardon ?
Ismail : Ouais, une fois on a voulu arrêter mais il nous avait cramer, il nous a envoyer ses hommes à notre recherche.
Moi : Ils vous on retrouver ?
Ismail : Non, mais quand on a appris qu'ils nous cherchaient, le landemain on a dû relancer.
Moi : Et c'est qui ce mec ?
Ismail : Je pense pas tu le c- si si tu le connais mais de vu.
Moi : C'est qui ?
Ismail : Tu vois le mec quand il t'a frapper avec Sanah, j'suis même venu pour qu'il arrête.
Alors c'est lui, c'est Enes..
Moi : Ah oui, je vois.
Ismail : Ouais, on veux tellement le voir mort ce fils de pute.
Moi : Mhh.
J'étais dans mes pensées jusqu'à ce que mon téléphone commence à vibrer, je le sors de ma poche et je vois que c'est Jawed.
Ismail : C'est qui ?
Moi : C'est Jawed, attend je répond.
Je n'hésite pas et je répond en mettant le haut parleur.
Moi : Allo ?
Jawed : T'es où wsh tu viens pas ?
Purée, je suis en retard j'avais même pas vu l'heur.
Moi : Si j'arrive la je suis avec Isma, mais attend tu n'est pas censé être en cours ?
Jawed : Bah si, c'est juste la prof elle est parti faire des photocopies et je profite la.
Moi : Mdrr non mais toi.
Jawed : De toute façon j'ai dit à la prof que y'a des problèmes de bus quand elle m'a demandé t'étais où.
Moi : Mdrr, merci tu gère.
Jawed : Au calme, vsy je t'attends j'ai garder ta place.
Moi : Vsy j'arrive.
Jawed : Vsy a toute.
...
Après avoir raccroché avec Jawed, je prends un moment pour ranger mon téléphone dans ma poche.
Ismail : J'en peux plus de Jawed.
Moi : Mdrr.
Ismail : Bon il s'agirait que je démarre parce que la t'es en retard tout ca à cause de moi.
Moi : Exactement.
Ismail démarre la voiture et commence à rouler pendant que moi je regarde la fenêtre.
Il commence a mettre de la musique, de Jul je fais ma vie, il aime trop jul ici, moi je le connaissais même pas.
Ismail : Ce son il est spécial, c'est pour ma team en clio pété, ça charge la minch, moi c'est Ju-Jul, d'or et d'platine !!!
Moi : Mdrrr.
Ismail : Tout seul dans l'game, les couilles à poutine, comment s'faire respecter sans sortir l'outil, chez moi ça nique des mères que pour des broutilles avant elle faisait la mac maintenant elle fait la groupie !!!
Ta la il commence à faire des zigzag et à claxonner a 8h20 du sbah mdrrr.
Moi : Ismail !
Ismail : Laisse moi chanter !
Moi : On va faire un accident.
Ismail : Mais non, ta devant toi Isma le plus fort, avec lui tu fera jamais d'accident.
Moi : Mais oui.
Ismail : C'est grave la vérité.
Moi : Oui t'inquiète.
Ismail : Ton oui t'inquiète me plaît pas là.
Moi : Mdrr, je rigole.
Il rigole, puis quelques minutes plus tard on est arrivé a l'université.
Ismail : Voila, ma reus préférée est à destination.
Moi : Mdrr, merci aller à toute.
Ismail : Appelle moi quand ta fini.
Moi : Okay, t'inquiète.
Je lui fais un sourire et je descends, puis je marche jusqu'à l'université et j'y rentre.
...
12:00
Enfin, on se lève tous et on se dirige vers la cantine pour la première fois, Jawed et moi avons décidé de manger là-bas pour ne plus être en retard aux prochains cours mdrr.
Jawed : Ta entendu mon ventre ? il a gargouillé tout le long du cours mdrr.
Moi : Ah c'était toi ?
Jawed : Ouais mdrr.
Moi : T'avais autant faim ?
Jawed : Ouais, trop.
Moi : Fou rire.
On s'approche des plateaux, on prend notre temps pour choisir nos repas, bien sûr on prend que des plats végétariens.
Une fois servis, on se met en quête d'une table libre dans la cantine animée. Les discussions résonnent dans l'air.
On repère finalement une place et on s'assoit.
Il y'avais du poisson avec du riz, une salade de tomate et au dessert un beignet au chocolat.
Jawed : On est au hebs ou quoi ?
Moi : C'est mieux que rien.
Jawed : La prochaine fois je ramène avec moi.
Moi : Mais mange on sais jamais, l'apparence est trompeuse des fois.
Jawed : Je mange pas, c'est sur j'aurais la gastro.
Moi : Attend je goute et je te dit.
Jawed : Vsy.
Je prends une cuillère de riz avec du poisson et je la mets délicatement dans ma bouche.
Je commence à mâcher doucement, le plat n'est pas du tout épicé, et en plus, il a un goût amer qui ne me plaît pas du tout.
Moi : C'est trop bon wsh je suis choquée goute.
Jawed : Jure ? Attend je goute.
Je voulais vraiment éclater de rire, mais d'un coup, il goûte le plat et crache dessus en faisant une grimace affreuse sur son visage mdrr.
Jawed : Ahoudoubillah c'est quoi ça ??
Moi : Ptdrrrr.
Jawed : C'est bon ça pour toi ?
Moi : Non mdrr j'voulais tu goûte pour voir ta tête.
Jawed : On dirait j'ai manger le manger que Mahdi fait.
Moi : Mmdrrrr.
Jawed : Nan sah, viens la prochaine fois on ramène avec nous, ou sois on mange dehors.
Moi : Ptdrr vsy.
Jawed : Plus jamais la cantine.
On était en train de bien rigoler quand tout à coup, une personne s'est approchée de nous avec son plateau.
On remarque que c'est une fille voilée toute mignonne.
Mais c'est bizarre j'ai l'impression de l'avoir déjà vue quelque part, mais je n'arrive pas encore à me souvenir où.
?? : Selem aleykoum désolé du dérangement, mais je peux venir manger ici ?
Moi : Oui bien sûr.
Elle nous sourie et elle s'assoie près de moi.
?? : Excuse moi mais je te connais non ?
Moi : Moi ?
?? : Oui.
Moi : Mais moi aussi, tu me dit quelque chose je sais pas d'où.
?? : On c'était pas croisée dans un bus ? même une vielle m'a mal parler et toi et une autre personne m'avez défendue ?
Flashback******
Jihan : Vous voulez vous assoir madame ?
La vielle ce tourne vers nous.
Vielle : Ah non, c'est juste que cette jeune fille me dérange.
La voilée ce retourne vers la vielle.
Fille voilée : En quoi je vous dérange ?
Vielle : Simplement ton tissus sur la tête.
Moi et Jihan on la regarde avec imcompréhension.
Jihan : Pardon ? C'est un voile musulman.
Vielle : Je comprend, mais les femmes voilée salissent la france, donc cette fille la me dérange.
Moi : StarfAllah, madame vous vous rendez compte de ce que vous disiez la ?
Fille voilée : Me regarder pas alors, regarder le paysage qui selon vous à l'air plus mieux que moi.
Vielle : Il n'ya pas que les femmes voilée qui salissent la france ne vous en faite pas, c'est l'islam tout court.
Moi : Vous allez bien madame ??
Jihan : Vous êtes folle !
Fille voilée : L'islam est l'une des religions les plus pratiquer dans le monde, presque tout le monde ce convertit à l'islam car c'est la religion de la vérité, si vous n'êtes pas contente partez vivre ailleurs.
Jihan : Bien dit !
Moi : MashAllah, c'est vrai.
Vielle : Mais vous parler pour vous la, aller vivre en syrie.
?? : Wsh elle est sah la vielle la ?
?? : Madame, vous êtes raciste.
?? : Moi je suis chrétien, mais je respecte toute les religions, toute les croyances, chacun sa religion, chacun sa culture et chacun sa vie.
Moi : Merci monsieur !
?? : Faut faire président monsieur !
Vielle : J'espère que l'islam n'existera plus !
Jihan : Mais !?
?? : Au pire aller vivre ailleurs, arrêtez de nous soûlez avec votre racisme !
Jihan : wAllah.
Vielle : Et puis merde !
La vielle elle sort du bus et tout les gens la regarde mal.
?? : Qu'elle aille ce faire foutre cette vielle la.
Jihan : Tu va bien ?
Fille voilée : Oui alhamdoullah, merci de m'avoir défendu.
Moi : Y'a pas de soucis, il faut tout faire pour notre religion.
Fille voilée : (sourie) Oui.
Jihan : Tu t'appelle comment ?
Fille voilée : Soukayna.
Fin du flashback****
Moi : Ah mais si je m'en souviens ! Tu t'appelle pas Soukayna ?
?? : Mais oui ! et toi du coup ?
Moi : Omg comme on ce retrouve, moi je m'appelle Nihal.
Soukayna : Trop beau le prénom Allah y berek.
Moi : Y berek fik merci comme le tien !
Jawed : Parler comme si je n'étais pas là.
Soukayna : T'es qui toi ?
Jawed : Moi c'est Jawed.
Soukayna : Ah d'accord.
Moi : Sinon ça va tout ce temps qu'on s'est pas revu plus d'un an !
Soukayna : Oui al hamdulilah tout ce passe bien et toi ?
Moi : Oui aussi al hamdulilah !
Soukayna : Al hamdulilah ! Vous n'avez pas manger ?
Jawed : Eh c'est pour ton bien wAllah mange pas, tu va vomir.
Moi : Oui c'est vrai, c'est pas bon.
Soukayna : Ah bah j'allais manger, ouf heureusement vous m'avez dit.
Jawed : Ouais mais sinon on va mourir de faim toute la journée.
Soukayna : Ah non même pas, j'ai ramener avec moi.
Jawed : JURE !!
Moi : Pourquoi tu crie tout le monde te regarde mdrr.
Jawed : C'est juste je suis ému..
Soukayna : Mdr, j'ai juste pris de la chorba.
Jawed : Meilleur plat.
Moi : Vraiment !
Soukayna : Heureusement j'en ai pris beaucoup, vous en voulez ?
Jawed : Bah bien sur, tu vois qu'on a pas manger et tu nous demande ?
Soukayna : Mdrr, attendez je met le bol au milieu et on ce sert avec une louche ?
Jawed : Et on va chercher ou la louche ?
Soukayna : Bah chez le serveur ?
Jawed : Et on va mettre ou ?
Soukayna : Mais t'es bête toi ? Dans un bol tu veux on met où dans une boîte ?
Jawed : Tu vois tu viens d'arriver commence à bien parler.
Moi : Jawed stp tu peux aller chercher trois bol et trois cuillère avec une louche.
Jawed : Olala, vsy.
Il ce lève et part chez le serveur.
Soukayna : Il parle mal celui là hein.
Moi : Faudra être habitué.
Soukayna : D'ailleurs depuis quand t'es là ?
Moi : Depuis la rentré et toi ?
Soukayna : Moi aussi mais pourtant je t'ai jamais vu.
Moi : Tu mange tout les jours à la cantine ?
Soukayna : Oui.
Moi : Alors c'est pour ça, nous c'est la première fois on mange ici.
Soukayna : Et aussi parce qu'on est pas dans la même classe.
Moi : Exactement.
Soukayna : Alala, sinon la deuxième personne elle est où ?
Moi : Qui ça ?
Soukayna : Celle qui était avec toi au bus avec moi.
Moi : Ahh Jihan.
Soukayna : Oui, elle devient quoi ?
Quand elle dit ça on dirait ça fait 5 ans on la connais mdrr.
Moi : Toujours la même hein mdrr.
Soukayna : Je vois mdrr.
Jawed revient avec des bols, des cuillères et une louche.
On s'est tous servi généreusement et on a commencé à déguster cette délicieuse chorba qu'à préparer Soukayna.
Les saveurs étaient incroyables, les épices parfaitement équilibrées, c'était vraiment un régal pour nos papilles.
On n'aurait jamais imaginé que la cuisine de Soukayna puisse être aussi délicieuse.
C'était bien meilleur que ce qu'on peut trouver à la cantine, c'est sûr.
Jawed : C'est grave bon !
Moi : Grave !
Soukayna : Merci !
Après ca, il nous restait environ 20 minutes avant de rejoindre nos salles de classe respectives.
Pendant ce temps, on a tous continué à discuter en groupe, et c'était vraiment sympa de partager ces moments ensemble. Soukayna et moi, on s'est échangé nos numéros pour pouvoir rester en contact en dehors des cours.
On a décidé de se retrouver tous les jours à la cantine ou pendant les pauses.
16:00
Après une journée bien remplie de cours, Jawed et moi avons enfin terminé nos cours. C'était un soulagement de pouvoir enfin se détendre un peu.
Soukayna nous a rejoints, car elle aussi avait fini ses cours.
Jawed : J'appelle Ismail ?
Moi : Oui, appelle le.
Jawed : Vsy.
Soukayna : Bon moi je dois partir Nihal? on ce retrouve demain InshAllah.
Moi : Attend tu veux pas on te raccompagne moi et le shab a mon frère ?
Soukayna : Ça vous dérange pas ?
Moi : Mais non, t'inquiète !
Soukayna : Merci beaucoup !
Moi : Mais t'habite ou ?
Soukayna : A la cité *******.
Moi : Ah mais c'est un peu à côté de notre cité.
Soukayna : Ahhh tes de la cité ******* ?
Moi : Oui mdrr.
Soukayna : Je vois ou c'est.
Moi : Normal c'est à coté.
Jawed : Il arrive normalement.
Moi : D'accord.
Alors qu'on était en pleine discussion animée, une voiture s'est subitement arrêtée juste à côté de nous. La vitre du véhicule s'est lentement baissée, laissant apparaître une silhouette familière, eh bien c'est Ismail mdrr.
Ismail : Aller montez.
Jawed monte et moi je reste planter là avec Soukayna.
Ismail : Bah monte Nihal.
Moi : Euh attend y'a Soukayna qui viens avec nous, tu peux l'emmener chez elle ?
Ismail fixe Soukayna intensément, tandis qu'elle détourne le regard timidement.
Ismail : Ouais, vsy.
Soukayna : BarakAllahu fik, c'est gentil.
C'est alors qu'on monte toutes les deux derrière, pendant que Ismail démarre.
Quelques minutes plus tard...
Une fois que nous avons déposé Jawed et Soukayna à leur destination, nous nous retrouvons seuls tous les deux.
Ismail : C'était qui elle ?
Moi : Qui ça ? Soukayna ?
Ismail : Ouais.
Moi : Je la connaissait avant et je ne l'ai plus revu, mais maintenant on s'est reconnue et retrouver dans le même université.
Ismail : Ah c'est bien.
Moi : Oui.
Ismail : Sinon j'viens chez toi.
Moi : Pourquoi ?
Ismail : J'vais jouer à la play avec Sahid.
Moi : Ah vsy.
Pendant qu'il continuais de rouler il commence encore à mettre de la musique.
Il commence à chanter tout fort, pendant que moi je rigolais mdrr.
Moi : Doucement !
Ismail : Mdrr pardon.
On rigole tous les deux jusqu'à ce qu'on arrive à la cité, puis il se gare au parking et on descend ensemble. On s'approche du bloc, on rentre, on prend l'ascenseur et on arrive à notre étage, ensuite, on toque à la porte.
Sahid nous accueille en ouvrant la porte, tenant Sanah dans ses bras.
Je suis complètement surprise et choquée de voir Sanah ici chez moi.
Sanah : Barbie !!
Sahid me donne Sanah dans les bras pendant que je lui fait plein de bisous.
Moi : Ma vie ! Ça va ?
Sanah : Un peu !
Moi : Pourquoi ? Qu'est-ce qui ce passe ?
Sanah : Je sais pas..tout le monde est triste.
Je regarde Sahid avec incompréhension.
Moi : Y'a quoi ?
Sahid : Va voir khalti, j'dois parler avec Isma.
Je les regarde distraitement, sans vraiment y prêter attention, puis je rentre à la maison en posant délicatement Sanah.
Mais à ma grande surprise, en entrant, je découvre khalti Hadifa en train de pleurer, entourée de khalti Kamilia et khalti Fouzia.
Leur visage marqué par la tristesse et les larmes qui coulent me laissent totalement perplexe.
Je ne comprends pas du tout ce qui peut bien se passer et cela m'inquiète de plus en plus. Mon cœur se serre et je ressens un mélange d'appréhension et de confusion face à cette scène.
Moi : Tout va bien ?
Khalti Hadifa pose ses yeux remplis de larmes sur moi, et d'un pas hésitant, elle se précipite dans mes bras, cherchant refuge et réconfort.
Ses pleurs sont empreints d'une douleur profonde, d'une peine inexprimée. Je la serre tendrement, laissant mes bras lui offrir le soutien dont elle a besoin en cet instant de vulnérabilité. Le poids de son chagrin se fait ressentir, et je suis là, prête à l'écouter, à partager sa douleur et à lui offrir mon épaule sur laquelle elle peut se reposer.
K.H : Benti...
Moi : Vous me faite peur...
K.H : Jamila est a l'hôpital...
En entendant ces paroles, mon cœur se serre de tristesse et de choc.
Apprendre que khalti Jamila est à l'hôpital est une nouvelle déchirante.
C'est tellement difficile de voir quelqu'un qu'on aime tant, comme khalti Jamila, traverser des moments difficiles et se retrouver à l'hôpital.
On ressent un mélange d'amour et de préoccupation pour elle, car elle a vécu tellement de choses dans sa vie et elle mérite vraiment d'être en bonne santé et heureuse.
Les pensées positives et les prières peuvent avoir un effet puissant sur la guérison et le rétablissement de khalti Jamila.
C'est pourquoi Sanah était chez moi, pour qu'on puisse prendre soin d'elle pendant cette période difficile.
Mais dans toute cette situation, je me demande où se trouve Khalid.
J'espère de tout mon cœur qu'il est avec sa mère à l'hôpital.
Moi : Elle à quoi ??
K.H : On a voulu aller chez elle et on voyais Sanah pleurer, on s'est approcher du salon et la on a vu Jamila par terre...
Moi : Ya rabi...
K.H : J'ai peur pour elle..
Moi : Allah y chafiha... tout ira bien In Shaa Allah..
K.H : Mhh... In Shaa Allah.
K.K : Demain on ira lui rendre visite In Shaa Allah..
K.F : Tu viens avec nous tout le monde sera la à part les enfants, y'aura que toi et Maryam.
Moi : À quel heur ?
K.F : 15h..
Moi : Ça tombe bien.. je finis à 15h.
K.H : Quand tu finis tu viens direct à l'hôpital.
Moi : Oui, et Sanah ?
K.H : Elle va rester chez nous le temps que sa mère guérisse et elle sera aussi la demain..
Moi : Et..Khalid ?
K.K : On sais pas où il est, il n'est même pas avec sa mère.
Moi : Pas avec sa mère ?
K.H : Avant il était là, mais quand on il a reçu un appel de l'hôpital il a mis le haut parleur et on a tous entendu, il a couper et il est direct sorti..
K.F : On pensais qu'il serait avec sa mère mais il n'y a pas de visite jusqu'à demain, on avait appeler le docteur juste avant..
Khalti se sépare de moi et essuie ses larmes, tandis que je reste immobile, perdu dans mes pensées, me demandant quelle serait la meilleure chose à faire.
Devrais-je partir à la recherche de Khalid ?
Moi : Je..khalti je reviens dans 30 minutes.
K.H : Vas-y benti..
K.K : Fait attention à toi.
Moi : Oui..
Je me hâte vers la sortie, traversant Sahid et Ismail qui sont toujours plongés dans leur conversation, sans même remarquer mon départ. Et c'est peut-être mieux ainsi.
Alors que je descends les escaliers, je tente désespérément d'appeler Khalid sur mon téléphone, espérant qu'il décroche de l'autre côté. Mais malheureusement, il n'y a aucune réponse, seulement le silence qui me laisse dans l'incertitude et l'inquiétude.
Des pensées tourbillonnent dans ma tête, me demandant où il peut bien être et s'il va bien. J'espère simplement qu'il est en sécurité et que tout va s'arranger.
En sortant du bâtiment, je me mets à errer sans but précis, empruntant tous les chemins possibles dans l'espoir de trouver Khalid.
Mais malheureusement, aucune trace de lui ne se manifeste. Cependant, soudainement, un souvenir me traverse l'esprit, celui d'un endroit spécial où nous avions partagé un moment ensemble par le passé.
Sans prendre le temps de réfléchir, je me lance à toute vitesse en direction de cet endroit, situé près d'une rivière. Mon cœur bat la chamade, l'excitation et l'appréhension se mêlent en moi.
Alors que j'arrive à destination, mon regard se pose sur un banc.
Et là, je le vois. Khalid, assis, les bras posés sur ses genoux, le regard fixé sur le cours paisible de la rivière.
Un mélange de soulagement, de joie et de curiosité m'envahit. Je m'approche lentement, hésitante, avant de m'installer à ses côtés. Le silence règne pendant un instant, mais il est réconfortant, comme si nos pensées se comprenaient sans avoir besoin de mots.
Khalid : Pourquoi t'es là ?
Moi : Je vais partir t'inquiète pas.
Khalid : Nan nan.
Moi : Mhh..
Alors que je me retrouve assise sur ce banc près de la rivière, je ne peux m'empêcher de laisser mon regard se perdre dans les doux remous de l'eau.
C'est à ce moment précis que mes yeux se posent sur mon poignet, où repose un bracelet si cher à mon cœur.
Khalid qui a su trouver le moyen de me faire sentir en sécurité à travers ce simple objet.
Chaque fois que je le porte, je me sens enveloppée d'une chaleur réconfortante, comme si Khalid était toujours près de moi.
Khalid : T'aime bien mon bracelet à ce que je vois.
Moi : Trop même.
Je sens un léger mouvement à côté de moi et je remarque qu'il tourne doucement sa tête dans ma direction. Mes sens s'éveillent et je sens son regard se poser sur moi.
Khalid : Comment ta su que j'étais là ?
Moi : Tu te souviens pas quand on est venu ici ?
Khalid : Je m'en souviens très bien même.
Moi : Bah voila, c'est pour ça, je me suis dit belek t'es ici.
Khalid : We..
Je me tourne lentement vers lui, captivée par son regard qui se dirige vers le mien. Nos yeux se croisent.
Un sourire se dessine doucement sur son visage, laissant apparaître ses fossette.
Quand mes yeux se posent sur lui, mon cœur s'emballe avec une intensité incroyable, son sourire, d'une beauté captivante, illumine mon monde.
Son sourire est comme une œuvre d'art, avec chaque courbe et chaque éclat qui transmettent une joie pure et contagieuse.
Il éclaire mon visage et fait fondre mon cœur. C'est un sourire qui réchauffe mon âme et me rappelle à quel point la beauté peut être trouvée dans les petites choses de la vie.
Ce sourire, si doux et sincère, reflète la bonté et la bienveillance qui résident en lui, il est le reflet de sa personnalité chaleureuse et aimante, chaque fois que je le vois sourire, je me sens privilégié d'être témoin de cette lueur de bonheur qui rayonne de lui.
Ce moment où nos regards se croisent et que son sourire enchanteur se dessine sur son visage restera gravé dans ma mémoire.
Khalid : Ça m'avais manquer.
Moi : De quoi ?
Khalid : T'es yeux.
Mes yeux ? Il aime regarder mes yeux..
Moi : Khalti Jamila..
Soudain, comme si une ombre avait voilé sa joie, son sourire s'est effacé et son regard s'est perdu dans le reflet miroitant de la rivière.
Khalid : Je vais la voir demain.
Moi : Moi aussi..
Khalid : Mhh.
Alors que mes yeux se perdent dans les eaux calmes de la rivière, je sens mon esprit s'évader dans un tourbillon de réflexions et de souvenirs. Le murmure de l'eau me transporte dans un état de contemplation profonde, où les pensées se mêlent et se démêlent.
Soudain, au milieu de cette méditation tranquille, une pensée me traverse l'esprit comme un éclair : "Oh là là, j'ai complètement oublié que j'ai mes heures de conduite à faire !" Mon cœur s'accélère légèrement, réalisant l'urgence de la situation.
Je me demande comment j'ai pu laisser cette information essentielle s'échapper de ma mémoire. Les heures de conduite sont un élément crucial pour obtenir mon permis.
Moi : Olala mais j'ai mes heures de conduites !!
Khalid : Zebi tu m'a fait peur frère.
Moi : J'y vais désolé !
Je me redresse brusquement, mais il me saisit fermement le bras et me tire doucement vers lui. Mon cœur bat la chamade alors que je me retrouve soudainement assise sur ses genoux, une légère gêne s'emparant de moi.
Je sens le rouge me monter aux joues alors que je cherche mes mots, essayant de comprendre ce qui vient de se passer.
Khalid : C'est trop tard, reste avec moi.
C'est incroyable comment nos regards se sont croisés à cet instant précis. Mon cœur s'est emballé et j'ai ressenti une connexion instantanée. Je me suis levé avec empressement, submergé par l'excitation, et je me suis précipité pour m'asseoir à côté de lui sur le banc. Une chaleur intense a envahi mes joues, les teintant d'un rouge vif, et je me suis instinctivement caché le visage entre mes mains, espérant dissimuler ma gêne.
Khalid : Kesta ?
Moi : Euh rien.
Khalid : Je savais que je te faisait de l'effet.
Moi : Pas du tout.
Je me sentais tellement gênée que j'ai fini par me dire que ce n'était pas si important mes heures de conduite ce jour-là. Je me suis dit que je pourrais trouver un autre moment pour les rattraper.
Mais à cet instant précis, je me sentais presque obligée de rester près de Khalid.
Moi : T'étais avec ta mère le moment ou elle est tombé ?
Khalid : Nan, même pas.
Moi : Faut tu sois de plus en plus présent pour ta mère Khalid, on ne sais pas ce qui peux arriver.
Khalid : We..
Moi : Demain on ira la voir In Shaa Allah, t'aura une discussion avec elle.
Khalid : In Shaa Allah.
Moi : On a pas tous la chance d'avoir une mère, tu vois moi j'ai voulu connaître ma mère mais malheureusement je n'ai pas eu le temps de passer des bons moment avec elle, donc profite avec ta mère..
Khalid : C'est pas parce que je reste pas toujours avec elle que je l'aime pas, ma mère c'est ma vie wAllah, mais le problème c'est cette maison, ça me rappelle des mauvais souvenirs.
Moi : Comment ça ?
Khalid : C'est la ou on a grandit tous en famille, là où y'avait mon père et quand je suis là bas ça me rappelle des mauvais souvenirs, c'est pour ça je suis jamais à la maison.
Moi : Mhh, mais tu sais faut que tu oublie tout ça.
Khalid : C'est pas facile d'oublier une personne qui a grandit avec nous pour au final nous abandonné.
Moi : Je comprend.
Khalid : Y'a que toi qui me comprend.
Moi : Bah encore heureux, j'ai vécu aussi des choses inoubliables.
Khalid : T'es la seule qui me comprend Nihal, c'est pour ça je te raconte tout mes problèmes alors que de base je raconte ça a personne.
Alors qu'il se tenait là, les yeux fixés sur les eaux calmes de la rivière, ses paroles étaient accompagnées d'une émotion palpable.
Je pouvais voir dans son regard une lueur particulière, une brillance qui semblait être des larmes retenues, prêtes à jaillir mais qui refusaient de tomber.
C'était comme si son cœur était lourd de tristesse, mais qu'il se retenait de laisser ses émotions s'échapper.
Ces yeux brillaient d'une intensité émotionnelle, témoins silencieux de ce qu'il ressentait au plus profond de lui-même.
C'était un moment où les mots ne suffisaient pas à exprimer toute la complexité de ses sentiments, et je me sentais privilégié d'être témoin de cette profondeur émotionnelle qu'il partageait avec moi.
Khalid : J'ai juste envie de rejoindre mon grand père, wAllah je l'aimais trop, plus que ma vie.
Moi : ...
Khalid : Je veux quitter cette vie de merde wAllah.
Moi : Non.
Khalid : Si, avec tout les problèmes que j'ai.
Moi : Non, reste avec moi, moi je t'abandonnerais pas Khalid, tu peux en être sûre, peut importe les conséquences je ne t'abandonnerais jamais Khalid, je serais toujours là pour toi.
Alors que je le fixais, ses yeux se posèrent sur moi et nos regards se croisèrent une fois de plus.
À cet instant précis, mon cœur s'emballa, battant la chamade à la suite de mes paroles récemment prononcées. C'était comme si le temps s'était arrêté, figeant cet échange intense entre nous.
Mon cœur semblait vouloir s'échapper de ma poitrine, palpitant avec une force débordante. C'était un moment chargé d'émotions, où nos regards se parlaient silencieusement, amplifiant l'impact de mes paroles.
Khalid : T'es bien la seule.
Moi : ...
Khalid : Ta toujours été là Nihal, plus que les autres et ça wAllah que j'ten remercie.
Moi : C'est normal Khalid.
Tout à coup, il se leva brusquement, ce qui me fit sursauter. Instinctivement, je me levai aussi, cherchant à comprendre ce qui se passait, nos regards se croisèrent, il regardait derrière moi alors je regarde derrière moi ne comprend pas ce qu'il ce passe.
Et puis, avec douceur, il met sa main en dessous mon menton et la tourna délicatement vers lui. Nos yeux se fixèrent l'un dans l'autre, créant une connexion profonde et électrisante. Mon cœur s'emballa, battant à tout allure dans ma poitrine, comme s'il voulait s'échapper.
Dans un geste tendre, il m'enlaça, me serrant fort contre lui. Je pouvais sentir sa chaleur et sa présence réconfortante. C'était comme si le monde entier s'était arrêté à cet instant précis, ne laissant place qu'à cette étreinte sincère et puissante.
Khalid : T'es là pour moi, je serais là pour toi.
Je ne savais pas quoi dire, j'étais bouché bée.
Khalid : Nihal, promet moi une chose.
Moi : Oui..
Khalid : Promet moi de te souvenir de moi, même si je part loin d'ici.
Moi : Tu..tu va partir ??
Khalid : Promet le moi.
Moi : Promis..
Il me relâche et nos regards se sont encore croisés d'une manière tellement captivante.
Et puis, il a posé ses mains délicatement sur ma taille, ce qui a fait monter en moi une vague d'émotions indescriptibles. Je pouvais sentir son contact chaleureux et cela m'a fait frissonner de la tête aux pieds.
Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine. C'était comme si toutes les émotions étaient concentrées à cet instant précis.
Lorsqu'il a approché ses lèvres des miennes, et que nos lèvres ce sont toucher j'ai senti une montée d'adrénaline parcourir tout mon corps. Le simple effleurement de nos lèvres a provoqué une explosion de sensations. C'était à la fois doux et passionné, tendre et intense. Je me sentais complètement transporté dans ce moment magique.
On s'est embrasser..
Cents la première fois que je ressentais une émotions différentes de toute celle que j'ai..
Je ne voulais pas que cela s'arrête. Je voulais rester là, dans cet instant suspendu, avec mon cœur qui battait la chamade. C'était comme si le monde entier avait disparu et qu'il n'y avait plus que lui et moi.
Quand il a relâcher ses lèvres des miennes il m'a regarder droit dans les yeux avant de me dire.
Khalid : Non potevo trattenermi dal baciarti, volevo farlo da tanto tempo principessa.
Moi : J..je..
Khalid : Sei l'unico che mi interessa.
Il m'a regardé d'un air si chaleureux et a esquissé un sourire qui a illuminé mon cœur. Je me suis sentie submergée par une vague de bonheur et de surprise..
Il est partit la me laissant seule.
Je me suis retrouvée sans voix, ne sachant pas quoi dire. J'étais tellement étonnée et émerveillée par cette attention inattendue. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, et j'avais du mal à reprendre mes esprits. C'était comme si toutes les émotions positives se mélangeaient en moi, créant une sensation indescriptible de bonheur et de joie.
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Nihal