Salem aleykoum mes tomatiich♡♡🍅🍅
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《J't'ai pas perdue d'vue, t'es aveuglé par les scores, toi, t'as peur de Dieu, mais j'sais qu'ta peur de la mort 》werenoi
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La gynécologue lâche un petit rire.
Mme. Mayer : vous êtes encore plus excité que la principal concerné, j'y viens
On se met a rire, et au même temps madame Mayer s'occupe de bien scruté l'écran.
Mme. Mayer : c'est un petit garçon félicitation
Un énorme sourire s'affiche sur mon visage, je suis super contente.
Elle me pointe du doigt un endroit sur l'écran.
Mme. Mayer : vous voyez la ?
Moi : oui
Mme. Mayer : et bien c'est son penis
Moi : on vois a peine
Mme. Mayer : c'est normale, il faut juste trés bien se concentré
A force de regarder j'ai fini par voir.
Mme. Mayer : bon...
Elle me tend un paquet de mouchoir.
Mme. Mayer : veuillez essuier votre ventre, maintenant, on a fini
Moi : d'accord
Je m'essuie donc le ventre redescent mon debardeur, me léve du lit medical et met ma veste.
Je paye la ginécologue et on sort de son cabinet.
On monte en voiture, j'avais toujours cet enorme sourire collé au visage.
Dounia : alors, comment tu compte l'annoncé a zaim ?
Moi : je ne sais pas, mais une chose est sûr je ne tournerai pas autour du pot
Dounia : comme tu veux
Moi : tu veux que je te dépose quelque part, ou je te ramène chez moi ?
Dounia : dépose moi à la cité
Moi : d'accord, envoie un message au filles pour les prévenir qu'on est sortie, j'avais complètement oublier
Dounia : d'accord
Le reste du trajet s'est passé en silence, je la depose puis je vais au travail.
De la je plonge à l'intérieur de mon ordinateur et mes document.
~21h12°
Je ne rentre que maintenant à la maison, alors comme d'habitude, je met ma veste prend mon sac verrouille la porte de mon bureau a clef, presque toutes les lumières du bâtiment sont éteinte tout le monde est rentrer chez sois, il ne restais que moi.
Je prend l'ascenceur, arrivé au rez de chaussé je sort du batiment, je salut les hommes de securité, puis je prend ma voiture et je rentre chez moi.
Je vois une personne plus loin de ma voiture, marcher mais pas normalement celle-ci avait l'air d'être blessé, plus j'avance plus je remarque que c'est une jeune fille qui doit avoir quinze ans tout au plus.
Après plusieurs secondes d'hésitation, je m'arrête derrière elle, je descend de la voiture, et je vais vers cette fille.
Je pose ma main sur son épaule qui d'ailleurs était mouillé, je me rend vite compte qu'elle est toute mouillé, elle a les cheveux sale marron clair, de vieux vêtement déchiré plus exactement un t-shirt noir manche longue, un jogging beige et des pantoufles a fourrure rouge.
Elle avait la tête baissé et une respiration sacadé.
Moi : ça va ?
Elle ne bouge pas d'un poils.
Moi : tu t'appel comment hbiba ?
Elle ne me repond toujours pas.
Moi : je veux seulement t'aider
Elle ne bouge toujours pas, sa commence vraiment à devenir bizarre mais je persiste peut être qu'elle a peur.
Moi : n'ai pas peur, en quoi puis-je t'aider ?
Elle : je n'ai pas peur
Elle avait la voix cassé et légèrement rouillé.
Moi : tu fait quoi dans la rue à une heure si tardive en hiver ? Ou sont t'es parents ?
Elle : mes parents sont mort...
Moi : ah euh
Elle : tout comme ton fils
D'un seul coup elle lève la tête vers moi, et plante un énorme couteau dans mon ventre, et le retire violemment.
Je tombe tout de suite à terre en me tenant le ventre.
Un grand sourire s'affiche sur son visage, je n'ai pas pu la voir pour identifier la possiblité que je la connaisse, qu'une voiture bleu clair sans ématriculation arrive et emmene la jeune fille.
Je reste quelques seconde par terre, et j'essaye de toute mes force de me lever, je lache quelques gemissement de douleur et plusieurs grimasse, mais j'arrive devant ma voiture, je monte difficilement a l'interieur de celle-ci.
Je cherche mon telephone, une fois trouvé j'appel tout de suite l'hopital le plus proche, pour la premiere fois de ma vie je tremble de peur, j'ai peur de perdre mon fils, notre fils.
- hôpital ******** bonsoir, que puis-je faire pour vous ?
Moi : j..je..j'aurai besoin que vous prépariez un brancard tout de suite
- que se passe t-il madame, vous allez bien ?
Moi : non, je suis enceinte et j'ai reçu un coup de couteau au ventre
- vous étes seul ?
Moi : oui
- personne ne peut vous conduire jusqu'ici ?
Moi : non, je crois pouvoir me débrouiller pour sa, je vous demande seulement de me préparer un brancard au plus vite
Je démarre la voiture, j'avais très mal, mais j'essayais du mieux que je pouvais de conduire correctement.
- vous arrivez dans combien de temps madame ?
Moi : à peu près dix minutes
- d'accord restez en ligne avec moi
Moi : d'accord
- on vous prépare un brancard
Moi : oui
- ou se trouve votre mari actuellement ?
Moi : en voyage d'affaire
- ou ?
Moi : en chine
- vous venez d'où ?
Moi : je viens de sortir du travaille
- vous avez mal ?
Moi : oui
- vous tiendrai ?
Moi : oui
- vous tremblez ?
Moi : oui
- tout se passera bien madame
Moi : inshAllah
- comment vous appelez-vous ?
Moi : youssra, youssra khlifi
- très bien, garez vous directement en face de l'hôpital, ne perdez pas de temps a chercher une place dans le parking, la sécurité comprendra
Moi : oui
Quand d'un coup je sent un liquide coulé le long de mon entre jambe.
Moi : madame ?
- oui ?
Moi : je saigne, c'est pas bon signe, hein ?
- euh oui effectivement, mais rien n'est perdu youssra
Moi : oui
...
Moi : je suis arrivé
- j'arrive
Je vois une femme et deux hommes a ses cotés sortir de l'hopital.
- c'est vous avec la mazerati noir ?
Moi : oui
Elle arrive vers moi, ouvre ma portiére.
Je sort doucement.
Elle me tien la main, les deux hommes me porte et me mettent sur le brancard.
Moi : madame ?
- appelez moi louisa
Moi : louisa appelez mon mari s'il vous plait
Je lui tend mon telephone.
Moi : il est enregistré sous le nom de omri
Je ferme les yeux pour mieux supporter la douleur, les deux mains toujours sur ma blessure.
Louisa : allo ?
...
Louisa : non monsieur khlifi, votre femme est actuellement a l'hopital
...
Louisa : elle a reçu un coup de couteau dans le ventre
...
Louisa : calmez vous monsieur-
...
Louisa : oui je sais mais-
...
Louisa : on va bien s'occuper d'elle
...
Louisa : oui
...
Louisa : vous comptez-
On arrive devant une salle, de la je commence a voir flou, les lumieres sont de moin en moin visible leur voix étaient lointaine.
~~[•dans la peau de zaim•]~~
Sa fait des heures que j'essaye de joindre youssra, mais rien du tout, elle est surement trés occupé aujourd'hui mais elle doit avoir fini maintenant.
Je suis sur le lit de cette chambre d'hotel.
Et je la rappel mais rien du tout, je fini par abandonner mes pensé dirigé completement vers elle, elle me manque tellement.
Mon telephone se met a sonné, je tourne ma tête vers celui-ci.
Appel entrant "hobi dyali 💕"
-allo ?
Ce n'est pas youssra sa.
Moi : euh allo, youssra ?
- non monsieur khlifi, votre femme est actuellement a l'hopital
Moi : quoi ?! Que s'est-il passé ?
- elle a reçu un coup de couteau dans le ventre
Moi : quoi ?! Comment sa ?! Qui a fait sa ?!
- calmez vous monsieur-
Moi : elle est enceinte merde !
- on va bien s'occuper d'elle
Bien s'occuper d'elle mon cul ouais.
Moi : vous avez intérêt
- oui
Moi : j'arrive tout de suite
- vous comptez-
Je raccroche.
Je prend vite ma valise, je m'habille rapidement, et je cours, arriver en bas, je monte dans la voiture que j'ai loué.
Je pose mon téléphone sur le coté passager.
Moi : siri quel sont les vol present actuellement pour paris
Siri : je trouve trois vol libre, un dans quinze minutes-
J'éteins mon téléphone.
J'arrive à toute vitesse a l'aéroport de pékin, je descend de ma voiture, et rentre a l'intérieur de celui-ci.
J'achete un billet et quelques minutes plus tard je me retrouve dans l'avion.
Celui-ci décolle, je sent que ces douze heures de vol vont être trés longue.
Il est actuellement 22h00 a paris.
J'arriverai donc a 9h00 a paris.
Je stresse enormement, je tape du pieds, toutes mes pensé vont vers youssra, je m'inquiete vraiment beaucoup.
Je prend mon telephone et je fait plusieurs recherche sur sa.
~onze heures plus tard°
Je vien d'atterir a paris, je descent, je cours dans tout l'aeroport, en sortant je cherche un taxi.
Une fois trouvé je rentre a l'interieur de celui-ci.
Je rappel le numero de youssra.
- allo ?
Moi : ma femme est dans quel hôpital
- *******
Je raccroche et je demande au taxieur de nous y emmener en moins de vingt minutes on y arrive.
Je le paye et je vais vers l'accueil, je demande son nom, on me donne sa chambre je monte en courant, en rentrant dans sa chambre, je vois qu'elle dort.
Je remarque vite que...
Elle n'a plus son petit ventre.
Un infirmière vient vers moi.
Moi : el- elle va bien ?
Infirmière : oui, elle ne tardera pas a se réveiller, elle aura un peu de mal a marcher pendant quelques temps, mais rien de plus
Les larmes me montent au yeux.
Moi : mon enfant, mon enfant, il- il est mort ?
Elle me regarde quelques secondes avec peine.
Infirmière : je suis désolé mais on a rien pu faire, oui, oui votre fils est mort
Moi : c'était un garçon
Infirmière : je suis désolé
De la quelques larmes viennent coulés de mes yeux.
Je rentre a l'intérieur de la chambre ou se trouve youssra, je m'assois sur une chaise a coté d'elle, je prend sa main dans la mienne, et la serre fort.
Quelques minutes plus tard un médecin rentre dans la chambre.
Docteur : je suppose qu'une infirmière vous a expliquer ?
Moi : hum oui
Docteur : je suis désolé pour vous, mais ce n'est pas tout
Je relève la tête vers lui.
Moi : qu'est ce qui se passe
Docteur : votre femme aura déformé très peu de chance d'avoir une deuxième fois la chance de tomber enceinte
Je tombe du dixième étage.
Moi : non
Docteur : je suis désolé
Elle va être anéanti elle a toujours rêver d'avoir des enfants.
Le médecin sort, je me retrouve donc seul face a youssra.
Je n'aurai pas du la laisser seul, elle aurait pu venir avec moi, mais je n'en ai fait qu'a ma tête, elle m'avait prévenu que si quelque chose lui arrivais j'en serai entièrement responsable.
Et elle n'a pas tors, tout est de ma faute, qu'est ce qui ma pris de partir, je n'aurai pas du partir, a cause de moi un petit enfant qui n'a même pas eu le temps de la voir la lumière du jour est monter au ciel.
Je serre fort la main de youssra dans la mienne, se sera peu être la dernière fois avant longtemps que je pourrais la toucher.
Je pose ma tête sur ses cuisses et je ferme les yeux.
A vrai dire, je suis très triste que mon enfant sois partie avant même que je ne le connaisse, mais si sa s'est passé ainsi, c'est que c'était sa destiné, c'est ce qui devais lui arrivé.
Sa n'empêche pas le fait que dés que je retrouverai la personne qui a fait cet acte, je la tuerai, et sans aucun regret ni aucun remord.
Au bout de plusieurs minutes j'ai fini par m'endormir d'épuisement.
~~[•dans la peau de youssra•]~~
~11h03°
J'ouvre les yeux doucement, ma main est serré fort dans celle d'une personne.
Je vois un peu flou, je me frotte les yeux, et étire ma main libre.
Je remarque vite que je suis a l'hôpital, je sent un poids sur mes cuisses, donc je regarde vers celles-ci, et je vois zaim, entrain de dormir profondément.
Un petit sourire s'affiche sur mon visage, je serre ainsi ma main dans la sienne.
Quand d'un coup une infirmière rentre dans la pièce.
Elle : ah, euh vous êtes réveiller, comment allez-vous ?
Moi : ça va, mais pourquoi suis-je ici ?
Je ne me rappelle pas de ce qui s'est passé hier, je me souviens seulement que j'ai vu une jeune fille dans la rue que je me suis arrêter pour aller l'aider, mais mes souvenirs ne vont pas plus loin que sa.
Elle : vous avez été poignarder au ventre
Je perd tout de suite mon sourire, je pose ma main sur mon ventre, et a ma plus grande horreur, il est plat.
Moi : j- j'ai perdu le bébé
Elle : malheureusement oui, et vous n'avez désormais que très peu de chance de tomber enceinte une nouvelle fois
Je n'arrive même plus a sortir un mot de ma bouche, j- je ne sais plus quoi dire, j'ai perdu mon fils, j'aurai du m'en douter, dans un autre cas zaim n'aurait jamais été présent.
Elle : je vous laisse digérer l'information, je reviens dans quelques temps pour vous examiner
A peine sortie, mes larmes commencent a coulés sans arrêt, pourquoi y'a Allah ? pourquoi tu me fait sa ? Tu m'a pris l'une des seul personne qui aurai pu compter pour moi, tu m'a enlever mon sang, mon oxygéné, mon tout, je ne connaissait pas cet enfant, je ne l'ai jamais vu, mais je l'aime comme si je le connaissais depuis des années, c'est inexplicable, mais je l'aime de tout mon être.
Face au bruit de mes sanglot zaim fini par se réveiller.
Il vient tout de suite me prendre dans ses bras en me serrant fort, je ressent une tristesse énorme, mélangé a un vide.
Zaim : je suis désolé, je suis désolé, je suis désolé, je suis désolé, je suis désolé, je suis désolé
Il a répète cette phrase en boucle pendant au moins une heure.
Je fini par me calmer, aucune larmes ne coulaient de mes yeux, j'était comme sec, plus aucune larme ne voulait sortir.
Je suis la sans les bras de zaim, sous le choc des nouvelles que je viens d'apprendre.
Zaim : j'aurai pas du partir, je t'ai laisser seul sachant que tu es enceinte, je suis désolé youssra
Moi : ce n'est rien zaim, c'est a cause de moi, je n'aurai pas du descendre aider cette fille
Il se détache de moi.
Zaim : quelle fille ?
Moi : je me souviens seulement être descendu de ma voiture, et être allé l'aider, puis tout est flou je ne me souviens plus
Zaim : tu pense pouvoir t'en rappeler ?
Moi : surement, je n'ai que des image très flou de la suite
On reste dans un silence pendant quelques temps.
Zaim : je ne veux pas que tu te sente coupable de ce qui est arrivé youssra, ce n'est pas de ta faute, d'accord ?
Moi : hum
Zaim : youssra
Moi : oui mais zaim
Zaim : dit toi seulement que c'est le mektoub, si sa s'est passé de cette manière c'est que c'était le destin, il est retourner auprès de son créateur, on le rejoindra a notre mort
Je le regarde seulement sans lui répondre.
Zaim : tu es beaucoup plus forte que tu ne le pense, tu peux supporter cette nouvelle, tu as eu a faire a des situation beaucoup plus dur que celle-ci, beaucoup d'être cher a tes yeux sont mort, ou encore ont disparu, et tu réussi a vivre avec sa encore actuellement, notre fils repose en paix la haut au près des anges
Moi : je sais mais je n'arrive pas a m'y faire, cet enfant a comme même partager mon corp pendant un peu plus de quatre mois
Zaim : je sais et je te comprend, mais il faudra t'y faire
Moi : je sais, je sais
Zaim : n'importe quel autre femme serai encore entrain de sangloter a se tirer les cheveux a faire une crise, tu es calme et sa montre bien que tu peux supporter cette épreuve
Il a continuer a me rassurer, je m'étais encore plus calmé.
Moi : on devra l'enterrer
Zaim : hum
Moi : on l'appel comment ?
Zaim : je ne sais pas
Moi : sohan ou ibrahim ?
Zaim : ... ibrahim c'est très beau mais très commun, sohan c'est beaucoup plus original en plus c'est beau
" le prénom sohan veut dire étoile, beau ou alors magnfique "
Moi : khlifi sohan...
Zaim : sa sonne bien
Moi : approche s'il te plait
Il s'approche de moi et je remarque vite qu'il est très cerné.
Moi : t'a dormis combien de temps ?
Zaim : il est quel heure
Moi : euh 11h00
Zaim : une heure
Je me pousse et lui laisse presque toute l'intégralité du lit.
Zaim : mais t'a vu la place que tu m'a laisser ?
Moi : je n'ai jamais vraiment beaucoup utiliser de place, ce que je me suis laisser me convient largement
Zaim : tu es sûr youssra
Moi : sa fait presque vingt-quatre heures que tu n'a pas dormis donc oui
Il retire ses chaussure et sa veste, et vient dans le lit, je pose ma tête sur son torce, et je ferme les yeux, après quelques minutes on fini par s'endormir.
[...]
Je sort du travail et je vais dans ma voiture, je roule et a un moment je vois une jeune fille qui je dirais a quinze ans, je la reconnais c'est la fille que j'ai vu la dernière fois.
Je descend la voir, je lui parle mais elle ne me répond pas quand d'un coup elle se retourne vers moi et me plante dans le ventre avec un couteau, je me laisse tomber au sol.
...