Salam aleykoum / Coucou
Journal de Soukaina...
Résumé :
Elle s'apprêtait à sortir quand ça toque à la porte elle se dirige vers celle-ci avant de l'ouvrir et j'entends des voix que je ne reconnais pas mais quand les visages se présentent à moi je les reconnais.
Sékou, Imrân et Sékou.
Imrân : LE RETOUR !!!!
Je me mets à rigoler, il n'a pas changé en trois mois celui-là.
Moi : vous allez bien ?
Kassym : c'est à toi qu'il faut demander.
Moi : je vais bien Al Hamdoulillah. Comment ça s'est passé pendant les trois mois ?
Sékou : on s'est débrouillé, ne t'inquiète pas.
Moi : tant mieux, euh vous avez été voir mon frère ?
Sékou : oui je lui ai passé un téléphone il va sûrement t'appeler ce soir.
Moi : d'accord mais je n'ai pas de téléphone.
Imrân sors un téléphone de sa poche et il me le tend.
Imrân : maintenant t'en as un.
Je le saisis et je lui souris.
Moi : merci, et Wassim il est rentré enfaite ?
Sékou : ...
{•36•}
Il ne répond pas tout de suite, ils se regardent tous sans rien dire, mon coeur accélère, je me fais d'innombrables films dans ma tête, des films tout autant horribles que les autres.
Moi : eh répondez ne jouez pas avec mes nerfs.
Sékou : il est revenu s'occuper du réseau pendant ton absence.
Moi : et bah ? C'était si difficile à dire ?
Sékou : non, mais il ne voulait pas que tu le saches.
Moi : pour quelles raisons ?
Sékou : je ne sais pas du tout w'Allah.
Moi : ça ne m'étonne plus de lui, il part du jour au lendemain en me laissant seule.
Sékou : t'inquiète pas il est revenu maintenant.
Moi : il est venu me voir ?
Ils baissent tous les trois la tête, j'en tire ma propre conclusion que non, je vous avoue que j'ai été blessé qu'il ne se déplace pas me rendre visite alors que ça m'a rendu malade qu'il soit parti loin de moi.
Moi : ouais bref ce n'est pas grave. Vous allez bien vous ?
Eux : ça va.
Moi : tant mieux alors. La mère de Wassim est revenue ?
Ils se regardent tous les trois un peu paniqué je dirais, ça me semble bien étrange.
Moi : qu'est-ce que vous avez ?
Imrân : bah comment tu savais qu'elle n'était plus là ?
Moi : ah parce que vous le saviez et vous ne me l'avez pas dit ?
Sékou : euh...
Moi : bref elle est revenue ?
Kassym : oui.
Moi : pourquoi elle était partie ? Et où ?
Sékou : elle était partie au bled.
Moi : sans prévenir ?
Sékou : elle a dû partir précipitamment.
Je ne les croyais pas mais je vais faire genre que je les crois. Je découvrirai par moi-même la vérité.
Sékou : comment tu le savais qu'elle n'était pas là ?
Moi : je suis allée chez elle le jour de mon accident et elle n'était pas là puis dans mes souvenirs quelqu'un m'a dit qu'elle n'était plus là.
Sékou : ah d'accord.
Moi : il ne veut pas me parler ?
Kassym : pourquoi tu dis ça ?
Moi : rien bref, il a repris les affaires c'est bon ?
Sékou : ouais mais tu vas devoir reprendre sa place quand tu seras remise sur pied.
Moi : pourquoi faire ?
Sékou : il t'expliquera je pense, je t'avoue qu'il n'en a pas plus parlé que ça.
Moi : je ne lui parlerai pas, bref il a pu régler le problème avec les trois fils de p*tes ?
Imrân : ouais, mais ils ont fait leur retour.
Kassym : je crois que c'est pour ça que tu dois reprendre le réseau, enfin je pense que ça a un lien.
Moi : dans les prochains jours ils ne seront plus un problème pour nous.
Sékou : comment ça ?
Moi : un inspecteur de police est venu me voir, il gère l'enquête concernant ce qu'il s'est passé et je me suis dit que j'allais les balancer et c'est ce que j'ai fait. C'est un risque mais je l'ai pris.
Sékou : c'est un bon risque que tu as pris. Mais ils vont se demander pourquoi des trafiquants de drogue s'en prennent à ton frère.
Moi : j'ai expliqué que c'était une p*te et qu'elle avait dû les convaincre comme ça parce qu'elle est amoureuse de mon frère mais lui non, j'ai parlé de ce qu'elle a fait à Hayat pas longtemps avant aussi comme ça, ça crédibilise ce que je dis.
Kassym : franchement bien vu.
Moi : je n'allais pas nous mettre dans la merde.
Kassym : je n'en doutais pas.
Imrân sors son téléphone de sa poche il observe l'écran d'accueil de celui-ci avant de se mettre à parler.
Imrân : les gars on doit y aller.
Ils se mettent à me sourire avant de me dire au revoir puis ils quittent ma chambre. Je me retrouve seule et par ennui la fatigue augmente.
Alors je finis par me rendormir...
{...}
Rêve :
Je revois toute la scène de l'accident mais d'un œil extérieur, j'ai vu le moment où j'ai pris la voiture et que j'avais un mauvais pressentiment.
J'ai aussi vu quand j'ai testé la voiture sur le parking de la prison, quand j'ai été voir mon frère.
J'ai aussi vu quand on est remonté dans la voiture en direction du McDo sur les champs Élysées.
J'ai aussi vu quand j'ai reçu l'appel de Sabrina qui m'expliquait la situation dans laquelle elle m'avait mise.
J'ai aussi vu la panique de ma soeur et ma cousine ainsi que ma détresse quand j'ai appelé Sékou et que j'ai demandé un démineur pour cette bombe.
J'ai aussi vu quand j'ai appelé la police et qu'ils m'ont demandé d'aller sur le parking du centre commercial de Rosny-sous-Bois.
J'ai aussi vu quand je roulais au pas pour que les filles sortent de la voiture.
J'ai enfin vu quand j'ai arrêté la voiture et que j'ai commencé à courir en regardant ma soeur et ma cousine, également quand je suis tombée au sol et que ma vision se troublait.
J'ai tout revu et tout ressenti depuis un banc dans un parc seul comme si j'étais spectatrice de l'événement qui se déroulait sous mes yeux alors que j'en suis la principale actrice.
C'était comme si j'étais à la première d'un film dans lequel j'étais... et j'avoue que la situation était particulièrement bizarre...
Mais ça m'a surtout mis la haine, je sentais mon corps céder à la haine et à la colère traduite par les tremblements que mes mains faisaient ainsi que la crispation de mes membres.
... : comment tu vas ?
Je me retourne, je reconnais cette voix qui ne m'a absolument pas manqué. Il vient s'installer à côté de moi, toujours la même dégaine rien à changer.
Moi : ça va...
... : c'était moins une hein ?
Moi : ouais et bah quoi ?
... : soukaina il faut que tu te mettes en sécurité, ça devient de plus en plus dangereux pour toi.
Moi : qu'est-ce que tu veux que j'y fasse, ça sera de plus en plus dangereux jusqu'à qu'il y en a une d'entre nous qui y passe et ça ne sera pas moi.
... : ne joue pas à ça, t'as trop à perdre.
Moi : je n'en ai rien à faire, elle m'a provoqué, j'ai répondu ça ne peut pas se finir aussi facilement.
... : tu te mets en danger toi et ce que tu fais en ce moment.
Moi : je n'en ai rien à f*utre tu comprends le français ou pas ? De moi je m'en fous puisque je veux la fin de cette partie, et de ce réseau de merde qui m'a apporté tant de problème je n'en ai encore plus rien à f*utre.
... : et ta famille ? Et tes proches ?
Moi : ils se sont passés de moi pendant 3 mois qu'ils continuent.
... : tu es aveuglée par la haine. Quand elle sera redescendue tu verras que tu redeviendras rationnelle.
Je lui lance un regard noir de haine, il croit que c'est facile de vivre tout ça, il croit que c'est facile de passer l'éponge sur ce qu'elle m'a fait.
Elle va payer deux fois plus que ce qu'elle m'a fait, et ça sera toujours comme ça jusqu'à que l'une d'entre nous aille si loin que l'autre périra à cet ultime affront.
Moi : je suis complètement rationnelle et ce n'est sûrement pas toi qui vas me faire changer d'avis, je ne suis pas du genre à écouter les autres mais alors toi encore moins.
... : bah tu devrais pourtant, la vie ce n'est pas un jeu dans lequel tu es, tu n'as pas plusieurs vies.
Moi : bah tu ne m'apprends rien là enfaite, si t'es assez débile pour croire que je puisse penser que la vie est un jeu c'est ton problème pas le mien.
... : sors de ça, sors tes frères de là et les autres et vivez une vie paisible loin de toute cette merde.
Moi : bah j'aimerais bien mais les choses se sont compliquées.
... : tu as conscience que tu parles comme tes frères te parlaient ?
Je fronce les sourcils, pourquoi est-ce qu'il est en train de me comparer à mes frères là ? Il dit que je suis comme eux maintenant ?
Moi : eh ferme ta g*eule, ne commence pas à raconter de la merde.
... : pourquoi tu t'énerves et tu te braques comme ça ?
Moi : je ne me braque pas et je ne suis pas énervé mais tu parles de choses qui n'ont absolument rien à voir. Tu compares mes frères et moi comme si c'était la même chose.
... qu'est-ce qui change ?
Moi : eux ils connaissent cet univers par coeur, ils savent comment en sortir et ils ont des contacts que moi je n'ai pas alors ferme là.
... : t'as conscience que t'es en train de devenir une boule de haine ? Ça ne va pas t'aider d'être comme ça...au contraire ça va te désavantager parce que tu es aveuglée par la haine et tu n'agiras pas de manière réfléchie alors apaise ton coeur.
Moi : ne me chauffe pas le crâne à me faire le psychologue du coin, déjà juste ta présence suffit à m'énerver parce que tu me fais ch*er tu as conscience de ça ?
... : je suis ton ami je ne veux que t'aider moi.
Moi : ami de quoi ? Je ne sais rien de toi pas même ton prénom ou à quoi tu ressembles !! Je ne suis pas ami avec des fantômes moi maintenant laisse moi en paix.
... : tu n'as pas besoin de savoir tout ça, dans ces moments-là, je viens juste t'aider tu n'as pas besoin de savoir autre chose.
Moi : je ne parle pas aux inconnus ma mère m'a appris ça. Tu dois connaître monsieur je sais tout.
... : qui t'a dit que j'étais un monsieur déjà ?
Et sur ces mots il disparaît, tandis que moi je me réveille presque en sursaut.
Moi : p*tain...
Noor : ça va ?
Je sursaute en ouvrant les yeux, elle m'a fait peur je ne savais pas qu'elle était là.
Moi : euh ouais j'ai juste fait un rêve.
Noor : le même homme que d'habitude ?
Moi : oui...
Noor : qu'est-ce qu'il t'a dit ?
Moi : de la m*rde comme d'habitude.
Noor : Soukaina il faut qu'on parle toi et moi...
Moi : qu'est-ce qui a ?
Noor : je sais où tu travailles...
Mon coeur se met à battre de plus en plus, comment ça elle sait où je travaille ? Comment elle sait déjà ?
J'ai l'impression que mon coeur va sortir de sa poitrine tellement il bat vite et fort. Et involontairement je baisse la tête de honte...
Noor : tu as repris ce que les garçons faisaient n'est-ce-pas ?
Je n'ose ni la regarder ni lui répondre, je me fige complètement, je me paralyse même, elle doit tellement être déçue de moi...
Noor : relève le menton.
Je n'arrive pas à bouger ou faire quoi que ce soit...alors elle pose sa main sur mon menton et elle me le remonte.
Noor : je ne t'en veux pas...je ne suis plus choquée, on est surpris la première fois pas la deuxième...
Moi : tu...tu ne m'en veux pas alors ?
Noor : non...
Moi : tu as été déçue de moi ?
Noor : non, je sais que si t'as plongé la tête dedans c'est que tu n'avais pas le choix...et que dans tous les cas je n'aurais pas pu t'empêcher de faire ça parce que tu penseras toujours aux autres sans prendre conscience des conséquences pour toi...et dans le cas présent le danger que ça représente...
Je ne dis rien, je ne fais que la regarder et l'écouter parler.
Noor : néanmoins je sais que tu as conscience du danger, que tu fais attention et je sais que t'es plus maligne que nos frères et que tu redoubles de vigilance pas seulement pour toi voire pas du tout mais plutôt pour les garçons, nos frères, tes amis, Ahlem et moi...
Je la laisse parler sans l'interrompre et puis parler pour dire quoi ? Me justifier ? Aucune utilité et puis rien ne justifie ce que j'ai fait pour elle parce qu'elle ne connaît pas ce monde et tout ce que ça implique.
Noor : j'ai conscience que si tu t'ai mis dedans c'est pour une raison qui en cache une autre, tu as dû te retrouver là pour une raison mais je sais qu'il y a une autre raison, celle de faire disparaître ce monde malsain de toi, de moi, des garçons et surtout de nos frères à qui ça a apporté tant de problèmes...
Ce n'est qu'ici que je trouve quelque chose à lui répondre...
Moi : oui...mais je suis désolée d'avoir fait ça et surtout de te l'avoir caché, mais si tu en sais moins c'est le mieux parce que tu ne sais pas ce que tout cela implique...et je ne veux pas que tu t'imagines des scénarios horribles ou que tu vis constamment dans la peur qu'il m'arrive malheur...je veux que tu vives une vie paisible comme si aucun de nous n'avait les pieds trempés dans ce monde de m*rde et de malheur...
Noor : je comprends, c'est aussi pour ça que je ne t'en veux pas, tu as pensé bien faire mais d'un autre côté j'aurais aimé le savoir, m'attendre à que tu sois moins à la maison et que je sache pourquoi...
Moi : oui, je comprends...
Noor : c'est aussi pour m'écarter du danger que toi tu subis n'est-ce-pas ?
Moi : oui, mais je ne subis rien qui soit lié à ça, il y a moins d'une dizaine de personnes qui sont au courant et ce sont les plus intimes.
Noor : les vendeurs et guetteurs qui travaillent pour toi ne savent pas que c'est toi qui est à leur tête ?
Moi : non, ils ne le savent pas, s'ils savent je prends un risque considérable.
Noor : oui t'as bien fait de ne rien dire, j'espère que tout se terminera très vite...
Moi : j'espère aussi abla...
Noor : bon !! Parlons de choses plus intéressantes !!
Moi : oui ? Toi t'as quelque chose à me dire n'est-ce-pas ?
Noor : effectivement !!
Elle sourit, un grand sourire et j'avoue que j'arque un sourcil, je me demande qu'est-ce qu'elle veut me dire qui la rend si heureuse.
Moi : oula tu me fais peur racontes-moi tout !!
Noor : tu vois je suis rentrée à la fac ?
Moi : oui ?
Noor : il y a un garçon dans ma promo avec qui on s'échange des regards et je t'avoue que pour la première fois je suis intéressée par un garçon...
J'ouvre la bouche tellement je suis choquée, puis je commence à sourire comme une folle, je suis trop contente !!! J'espère que cet homme fera sourire ma soeur aussi longtemps que possible sans lui faire aucun mal.
Moi : t'es amoureuse ? TROP BIEN !!!!!!
Noor : mais ferme ta bouche qu'est-ce que tu racontes ? Ça fait 1 semaine que je suis en cours mais j'aime bien les regards qu'on s'échange lui et moi, j'aime bien le voir et j'aime beaucoup son sourire.
Moi : oh purée !!!!!!! Je suis trop contente !!! Attends, attends, comment il s'appelle ? Il a quel âge ? Il est de quelle origine ?
Noor : mais calme toi ( en rigolant ) je sais qu'il s'appelle Aydin donc je pense qu'il est turc enfin ça se voit.
Moi : en plus c'est un turc ?? Ça y est c'est l'homme de ta vie !!
Elle explose de rire et moi aussi, je suis trop investie dans cette histoire.
Noor : mais t'abuses trop toi.
Moi : je veux le voir !!
Noor : quand tu sortiras d'ici, viens me chercher à la fac quand j'ai un cours magistral j'espère qu'il sera là-bas et comme ça tu pourras le voir.
Moi : ouiii et mais d'ailleurs je sors quand ?
Noor : je ne sais pas il faudra demander au médecin. Je te trouve d'ailleurs bien en forme pour une meuf qui a passé trois mois dans le coma.
Moi : grave ( en rigolant ).
Noor : bon, il faut que j'y aille j'ai cours dans deux heures, je passe après quand j'ai fini les cours, Ahlem finis à la même heure que moi donc on va se rejoindre.
Moi : attends, mais elle vit chez nous ?
Noor : c'est compliqué mais oui.
Moi : hein ? Jure ????
Noor : oui w'Allah je vais devoir vous supporter toutes les deux.
J'explose de rire, miskina parce qu'Ahlem et moi le nombre de conneries qu'on peut faire en une journée c'est assez remarquable.
Noor : bon allez j'y vais bisous.
Moi : fais des beaux eyes contacts bisous.
Noor : ferme là je commence à regretter de t'avoir dit ça, je vais t'embêter avec Wassim moi.
Wassim...son prénom m'a donné un frisson...
Moi : ça ne risque pas, il ne me calcule plus lui, jusqu'à qu'il ne vienne même pas me voir...
Elle fronce les sourcils puis elle arque un sourcil avant de me répondre de manière très simple..
Noor : ah...
Moi : tu y crois toi ?
Noor : bah pour le coup non...
Moi : comment ça ? Tu ne savais pas qu'il n'était pas venu me voir ?
Noor : non ce n'est pas ça, on en reparle après d'accord ?
Moi : oui !! Bisous.
Noor : bisous.
Elle quitte ma chambre et je reçois un appel d'un numéro masqué, mon coeur se met à battre vite, je n'aime pas ça, je n'aime pas recevoir des appels en masqué et encore plus maintenant.
Mon instinct me dit de répondre alors je décroche en espérant ne pas regretter cet appel.
J'ai peur de rapprocher ce téléphone de mon oreille et apprendre un nouveau problème orchestré par cette p*te de Sabrina.
Mais je finis par mettre ce téléphone au niveau de mon oreille en soupirant.
Moi : allô ?
... : je n'arrive pas à y croire, alors c'est vrai ?
NDA
Coucou !! Vous allez bien ? Moi ça va Al Hamdoulillah !!
Désolé pour le retard de cette partie malgré vos menaces...je suis tombée malade (comme d'habitude), j'ai la grippe 😔.
Enfin bref !! Partie sans trop de suspens, sauf la fin (comme d'habitude) vous me connaissez maintenant 😅🤗.
Alors !! Vous avez aimé cette partie ? Dites-moi tout !! Je veux tout savoir même si c'est une partie simple, sans trop d'enjeu. Je dirai que c'est une espèce de partie de transition.
Bref !! N'oubliez pas mes commentaires et mes votes hein comme d'habitude. J'aime trop lire vos commentaires, rigoler devant, être surprise, m'énerver des fois quand je vois des haters.
fUck les haters ( pardon j'étais obligée 😔) en plus vous aimez trop mes fUck. Littéralement ma marque de fabrique 🤭💅🏼.
Pourquoi je raconte ma vie là ? Bonne question !
Bref je me tais, je vous laisse mes stars en attendant la prochaine partie, prenez soin de vous.
Je vous aime mes stars ❤️.
Bisous de Inès🧣💅🏼.
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Soukaina : l'exception à la règle
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